Jacinda Ardern s'associe à Bill Gates pour déployer l'identification numérique
Le Premier ministre néo-zélandais Jacinda Ardern s'est associé à Bill Gates pour déployer subrepticement des identifiants numériques à travers le pays.
Le programme gouvernemental d'isolement et de quarantaine gérés (MIQ) du pays qui, pendant la pandémie, fonctionnait en conservant manuellement les dossiers, passe maintenant aux outils logiciels produits par le JNCTN qui serviront de vérification d' identité numérique pour le personnel du MIQ.
L'importance du passage à un portefeuille d'identification numérique est particulièrement prononcée puisque le MIQ était l'un des éléments clés de la manière rigide et souvent radicale de la Nouvelle-Zélande de traiter Covid.
Non seulement cela, mais l'approche du problème s'est traduite par une opération massive. Pendant la pandémie qui a impliqué plus de 14 000 personnes et 650 organisations dans la gestion des installations MIQ (MIQF).
L'agence gouvernementale derrière le MIQ, le ministère de l'Innovation des entreprises et de l'Emploi (MBIE), était chargée de s'assurer que les travailleurs frontaliers du MIQ compilaient à tout moment, et maintenant, une fois de plus, la «commodité» est mentionnée comme une raison clé pour changer aux identifiants numériques - apparemment, ces travailleurs ont dû passer par une routine "manuelle" pour prouver leur identité et leur état de santé, ce qui aurait été "répétitif et chronophage".
Entrez dans le portefeuille numérique. Il dépend du service cloud Azure de Microsoft et est fourni par JNCTN, qui affirme qu'il s'agit d'une plate-forme SaaS de premier plan permettant l'émission et la gestion des informations d'identification en temps réel.
L'outil sans contact qu'il fournit aurait été testé par la sécurité du MIQ et «réduit déjà considérablement» le temps nécessaire pour se conformer aux règles d'entrée et de sortie des travailleurs dans lesdites installations.
Les économies d'argent sont citées comme l'un des avantages de tout cela - mais seulement comme une "prédiction" - le déploiement du JNCTN est censé faire économiser au gouvernement néo-zélandais 6 millions de dollars par an en réduisant "le temps et les ressources".
L'accord MIQ n'est qu'un ajout au portefeuille de clients gouvernementaux du portefeuille JNCTN, qui pourrait bientôt inclure des demandeurs d'emploi.
- Source : Planet Today (Etats-Unis)