« Pasteur l’imposteur » et l’arnaque des vaccins – Marc Menant et Jérémie Mercier

Pasteur est-il le grand scientifique que tout le monde pense ? La vaccination repose-t-elle sur une approche scientifique qui a montré ses bénéfices sur la santé humaine ou sur une imposture ? Le journaliste Marc Menant répond aux questions de Jérémie Mercier.
Le mythe du sauveur : une rage artificielle
Louis Pasteur, ce fils de tanneur pieux et besogneux, forgea sa légende sur des expériences douteuses, tel ce vaccin antirabique dont l’efficacité repose sur des cas marginaux et des manipulations avouées par ses propres adjoints. Émile Roux, son collaborateur éminent, confesse dans les archives l’absurdité d’un protocole où des enfants inoculés périssent, tandis que la presse, complice, proclame des miracles sur fond de placebo et de système immunitaire ignoré. Les notes de laboratoire laissées par Pasteur lui-même ont pu être consultées au bout de 120 ans. Elles confirment que non seulement Pasteur n’a pas inventé le vaccin contre la rage, mais qu’il a fondé sa carrière sur le plagiat. L’institut Pasteur lui a consacré une crypte au style byzantin, lieu de culte d’une religion et non d’une étape scientifique.
Ainsi, le tétanos, non contagieux, ou la variole, atténuée par des rites ancestraux bien plus naturels, révèlent un paradigme guerrier contre l’infiniment petit, où la France, bastion pasteurien, impose douze piqûres à des nourrissons prématurés, sans égard pour la psyché ou les antécédents, érigeant l’aluminium adjuvant en toxine cérébrale sous couvert de progrès. L’obligation vaccinale relève d’une politique eugéniste et non d’un choix scientifique.
La santé ne naît pas de la dictature des seringues
L’héritage de Pasteur, ce réductionnisme mécanique qui relègue l’humain à une machine vulnérable aux lilliputiens malveillants, engendre une tyrannie médicale. Face à cette contagion intellectuelle, l’émancipation passe par la reconnaissance de notre résilience innée : éléphants centenaires et tortues millénaires défient les microbes sans piqûre, rappelant que la santé véritable naît non des adjuvants mercuriels, mais d’une hygiène de vie assumée, libérée des dogmes qui nous asservissent au nom d’une science figée en autorité absolue.
A lire : La petite histoire des grandes impostures scientifiques, de Gilles Harpoutian, Chêne.
Source de la vidéo : Jérémie Mercier
- Source : Le Média en 4-4-2