Zelensky, le roi des corrompus, commande 100 Rafale à Macron, le roi de la dette
Comment commander 100 Rafale à la France quand on est sans le sou et que la France est endettée jusqu’au cou ?
Il suffit de faire comme avant avec la COFACE (devenue privée depuis 1994), et de faire avancer le fric inremboursable par l’État vendeur, qui se remboursera en taxes et impôts sur le dos de ses contribuables. En clair, Macron vient de vendre 100 Rafale aux Français, qui n’en verront pas la couleur.
Au fait, pourquoi vendre des avions à un pays défait ? C’est simple, pour le comprendre, il suffit de remplacer « résister » par « mourir » dans la déclaration suivante du fossoyeur de l’État français :
« La Russie ne doit pas croire qu’elle peut miser sur la fatigue des Européens. Nous sommes prêts à continuer à aider l’Ukraine à résister ».
À côté de ces cent coucous quasi imaginaires, dont la livraison s’étalera sur dix ans au moins, l’Ukraine a acquis pour un demi-milliard de locomotives auprès d’Alstom. Là, c’est la BERD qui finance, c’est-à-dire l’UE, c’est-à-dire vous et moi dans 27 pays cocufiés par la Commission, qu’on devrait d’ailleurs renommer la RétroCommission de Bruxelles.
Mieux, Leyen et sa bande de voleurs estiment que l’Ukraine aura besoin à terme (d’ici le printemps 2026) de 70 milliards supplémentaires, toujours pris dans les poches des travailleurs des 27 pays. La guerre en Ukraine, pour nous faire les poches, c’est dix fois mieux que le covid, dont tout le monde – sauf les multivax endurcis – a compris l’inutilité.
Vautrin et Vautrage sont dans un bateau
Toujours aussi cohérent, Macron a déclaré : « J’espère que la paix sera obtenue avant 2027 ». Décidément, ça ne s’arrange pas, au Château. Du côté de Vautrin, le clown-ministre des Armées dépouillées, on vient d’en sortir une bonne, qui montre le niveau de cette bande de prédateurs :
🔴INSOLITE - La brillante Catherine Vautrin (ministre des Armées) confond le président ukrainien Zelensky avec Wolinski, un dessinateur de Charlie Hebdo assassiné en 2015…
— Gabriel de Varenne (@G_deVarenne) November 16, 2025
pic.twitter.com/lJpTSJeYVd
Même notre bonne vieille Loiseau, à côté de ça, fait sérieuse. Avec Vautrin, notre armée fait peur, mais pas comme on voudrait. Sur LCI, on ne croit plus à la victoire ukrainienne. Macron non plus, mais il espère que « ses » Rafale dissuaderont les Russes d’attaquer. D’attaquer quoi, dans dix ans ? Une Ukraine partitionnée ? Une France en ruines ?
« Ce n’est plus de l’attrition aujourd’hui... Dans le sud, c’est en train de craquer... »
Olivier Kempf répond à une journaliste qui demande si Kiev peut reprendre l’initiative militairement.
— Un baron fou (@EuropaMagnifica) November 17, 2025
• Pas d’avancée 🇺🇦 depuis 1,5 ans.
• Initiative 🇷🇺
• Le rythme de progression russe augmente
• Au-delà de l’attrition, il y a craquement
• Supériorité 🇷🇺 dans les drones pic.twitter.com/aP0PmLmOXa
L’argent volé aux Français, sous prétexte de défense et de souveraineté de l’Ukraine, atterrit dans les poches d’oligarques ukrainiens liés à des intérêts occidentaux, qui planqueront cet argent dans des paradis fiscaux. Et après, Darmanin ou Nuñez vont nous parler de l’argent de la drogue, ces milliards envolés, qu’il faut faire la guerre aux dealers...
🇪🇺💸 Bruxelles joue les vierges effarouchées, mais la corruption ukrainienne n’a jamais été un secret.
— Camille Moscow 🇷🇺 🌿 ☦️ (@camille_moscow) November 16, 2025
Pierre de Gaulle le rappelle aux médias russes : rien de ce qui se passe à Kiev n’est une découverte.
Selon lui, Zelensky — « président illégitime » — pilote un système où des… pic.twitter.com/sjKdyMhNog
C’est le même schéma, mais avec un circuit plus officiel quand cent milliards ont été volés aux Européens par Big Pharma, via la Commission européenne, qui se pose de plus en plus comme un giga-escroc international. Le braqueur de la supérette du coin, lui, risque dix ans de taule, et vingt s’il braque à main armée. Les oligarques de Bruxelles, eux, sont intouchables.
À la veille de l'effondrement de la machine de guerre OTAN/Ukraine, les langues se délient en France !
— Rémi Philiponet 🇨🇵 (@remi_philiponet) November 15, 2025
Macron a envoyé plus de 60 milliards € en Ukraine !
Savez-vous ce qu'on peut faire avec 60 milliards € pour la France et en France ?
En réalité, les Français travaillent dur… pic.twitter.com/XG6jpjNS9C
Quand cette information toute simple arrivera au cerveau du grand public, on sera sauvés. Mais le grand public est un Diplodocus : quand on lui marche sur la queue, la douleur met beaucoup de temps à remonter jusqu’au cerveau, et autant à revenir vers la queue, qui peut alors balayer la menace.
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L’Ukraine achète des avions de combat avec de l’argent qu’elle n’a pas ?
par Moon of Alabama
Au cours des deux prochaines années, l’Ukraine prévoit de dépenser quelque 140 milliards d’euros (162 milliards de dollars) qu’elle n’a pas pour poursuivre sa guerre contre la Russie. Il y a de sérieux doutes quant à la capacité de l’Union européenne, qui a déjà versé 180 milliards d’euros (216 milliards de dollars) à l’Ukraine, à payer ne serait-ce qu’une fraction de cette somme.
Malgré le manque d’argent de l’Ukraine, son président par intérim, Volodymyr Zelensky, annonce des accords pour l’achat d’avions militaires coûteux à une échelle sans précédent.
Fin octobre, il s’est rendu en Suède pour acheter des avions de combat multirôles JAS 39 Gripen-E construits par Saab :
«L’Ukraine pourrait obtenir 150 avions de combat suédois de pointe dans le cadre d’un accord qui vient d’être signé – CNN, 23 octobre 2025
La Suède, nouveau membre de l’OTAN, s’est déclarée prête à vendre à l’Ukraine jusqu’à 150 de ses avions de combat les plus avancés. Il s’agit de la première offre d’un membre de l’alliance visant à fournir un nombre important d’avions à Kiev, qui cherche à moderniser sa petite armée de l’air vieillissante.
L’accord signé mercredi par Volodymyr Zelensky et le Premier ministre suédois Ulf Kristersson est une lettre d’intention, ce qui signifie que les conditions exactes, les coûts et les dates de livraison de 100 à 150 avions Saab Gripen-E restent à déterminer.
Mais les deux dirigeants ont déclaré que cet accord pourrait changer la donne, non seulement pour l’Ukraine, qui a désespérément besoin de renforcer ses capacités de combat aérien dans sa lutte contre la Russie, mais aussi pour l’OTAN et la sécurité européenne en général».
Ces avions ne sont pas bon marché :
«Le dernier accord connu est celui conclu fin août 2025 par la Thaïlande pour l’achat de quatre Gripen supplémentaires (trois Gripen E monoplaces et un Gripen F biplace). Le prix fixe annoncé était d’environ 5,3 milliards de couronnes suédoises, soit environ 553 millions de dollars, ou 138,25 millions de dollars par avion.
Cependant, la Thaïlande est déjà un opérateur Gripen et n’a donc pas eu besoin d’acheter d’équipements au sol, de pièces de rechange ou d’autres infrastructures supplémentaires. À titre de comparaison, le Pérou, qui a également manifesté son intérêt pour le chasseur suédois, estime le coût à environ 145,8 millions de dollars par avion.
Il convient également de noter que ces chiffres n’incluent pas les armes, qui doivent être achetées séparément».
Le prix total des avions de combat est supérieur à 20 milliards de dollars. Ce prix est susceptible d’augmenter, car la construction des avions prendra de nombreuses années :
«Même pour la propre armée de l’air suédoise, Saab prévoit de ne terminer sa commande de 60 avions qu’en 2030.
Actuellement, les installations de production de Saab à Linköping peuvent fabriquer environ 12 avions par an. Cependant, l’entreprise vise à augmenter considérablement ce rythme grâce à la localisation dans d’autres pays».
Moins d’un mois plus tard, Zelensky se rend en France pour acheter des avions Rafale encore plus chers :
«L’Ukraine va acheter «jusqu’à 100» avions de combat français, annonce l’Élysée – CNN, 17 novembre 2025
L’Ukraine va acheter «jusqu’à 100» avions de combat Rafale de fabrication française ainsi que des systèmes de défense antiaérienne et des drones à la France, a confirmé l’Élysée, alors que le président ukrainien Volodymyr Zelensky était en visite à Paris lundi. (…)
L’Élysée a déclaré que les achats couverts par la lettre d’intention s’étendraient sur les dix prochaines années».
Le prix réel des avions Rafale n’est pas connu, mais ils sont équipés de deux moteurs, tandis que le Gripen-E n’en a qu’un. Le Rafale serait le deuxième avion de combat le plus cher utilisé par les forces aériennes occidentales.
On ignore également quand les avions qui viennent d’être commandés seront livrés. La capacité de production est déjà épuisée pour les cinq prochaines années :
«Le constructeur aéronautique français à l’origine du Rafale, Dassault, cherche à augmenter sa production à quatre avions de combat par mois et la société a déclaré avoir encore 233 avions en commande au 7 octobre.
L’accord signé lundi n’est qu’une lettre d’intention, encore loin d’un achat concret, ce qui soulève des questions sur la manière dont l’Ukraine va payer les avions français alors qu’elle a signé en octobre une lettre d’intention pour 100 à 150 avions Gripen de fabrication suédoise».
Je m’interroge sur la stratégie qui sous-tend l’annonce d’accords impliquant des sommes aussi importantes dont l’Ukraine ne dispose pas pour des avions qui ne seront même pas construits au cours des cinq prochaines années.
Quelle impression cela donne-t-il aux citoyens européens à qui l’on demande de s’endetter davantage pour financer la guerre en Ukraine ?
«Les dirigeants de l’UE ont convenu le mois dernier de répondre aux «besoins financiers urgents» de l’Ukraine pour les deux prochaines années, mais ils n’ont pas approuvé le projet d’utiliser les avoirs russes gelés pour financer un prêt colossal à Kiev, en raison des préoccupations soulevées par la Belgique.
Les dirigeants de tous les pays de l’UE, à l’exception de la Hongrie, ont demandé à la Commission de proposer des options pour soutenir financièrement l’Ukraine.
«Nous avons identifié trois options principales, à savoir un soutien financé par les États membres sous forme de subventions, un prêt à recours limité financé par l’Union empruntant sur les marchés financiers, ou un prêt à recours limité lié aux soldes de trésorerie des actifs immobilisés», a déclaré von der Leyen dans la lettre, consultée par Reuters».
Il existe bien sûr d’autres options que de continuer à financer la guerre. Mais von der Leyen refuse même de les identifier.
La mention de «recours limité» par von der Leyen est un jeu de mots qui cache le fait que l’Ukraine ne remboursera jamais aucun prêt :
«La dette à recours limité est un type de dette qui donne au créancier un droit sur une partie, mais pas la totalité, des actifs de l’emprunteur en cas de défaut de paiement. Elle se situe entre la dette à recours total et la dette sans recours en termes de capacité du créancier à saisir les actifs de l’emprunteur au-delà de la garantie qui couvre le prêt».
Il est évident que l’Ukraine ne sera jamais en mesure de rembourser des sommes aussi importantes. Quels actifs l’Ukraine offre-t-elle en garantie pour soutenir un prêt à recours limité ? Je n’ai entendu personne d’autre en parler.
Je suis très intéressé d’entendre la réponse de v.d. Leyen à cette question.
source : Moon of Alabama
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La facture Macron-Zelensky : Nos impôts partent en Rafale
Emmanuel Macron a une nouvelle fois joué les mécènes sur la scène internationale. Lundi, au côté de Volodymyr Zelensky, il a signé avec emphase une « déclaration d'intention » pour la fourniture de cent Rafale à l'Ukraine. La communication de l'Élysée voudrait nous faire croire à un geste héroïque et décisif. Pourtant, derrière la façade du soutien inconditionnel se cache une équation financière des plus troubles. Comment la France, étranglée par ses propres déficits, compte-t-elle assumer cette facture pharaonique, estimée entre 10 et 24 milliards ?

Sous couvert de solidarité européenne, un transfert massif de fonds publics vers l’industrie de l’armement.
Le « cadeau » qui n’en est pas un : une sémantique trompeuse
Ne nous y trompons pas : l’Élysée use d’une langue de bois bien rodée. Il ne s’agit pas d’un « don », mais d’un contrat de vente que l’Ukraine, son économie en lambeaux, est incapable d’honorer. La manœuvre est habile : Macron ne « donne » pas les avions, il organise simplement leur financement par d’autres moyens. Traduction : le contribuable français et européen est mis à contribution pour acheter à Kiev des Rafales qu’elle ne pourrait jamais s’offrir, saupoudrant l’opération d’une légitimité mercantile.
Macron vient d’inventer le concept : donner 100 Rafale… et envoyer la facture aux Français.
— Camille Moscow 🇷🇺 🌿 ☦️ (@camille_moscow) November 17, 2025
Un “accord stratégique sur des années” qui plombe la LPM, siphonne les budgets nationaux et aligne une addition évaluée entre 10 et 24 milliards selon les configurations. pic.twitter.com/x4TSJyXXx6
L’art subtil de faire payer les autres
Notre cher Président a détaillé, dans un flou artistique bien commode, un cocktail financier pour le moins acrobatique.
1/ Le pillage des finances publiques françaises : La Loi de Programmation Militaire sera mise à contribution. Une décision qui signifie, en clair, que des milliards initialement destinés à la modernisation de notre propre armée, à nos hôpitaux ou à nos écoles, seront détournés au profit de ce contrat. Une saignée budgétaire présentée comme un investissement stratégique.
2/ L’Arlésienne des fonds européens : Macron brandit l’étendard européen, évoquant la Facilité Européenne pour la Paix. Une manière élégante de noyer le coût dans la mutualisation, faisant payer aux autres pays leur « part de solidarité ». Ces négociations promises sont pour le moment un vœu pieu, laissant planer le risque que la France doive, in fine, avancer seule la mise.
3/ L’escroquerie des avoirs russes : Le plus savoureux reste cette « justice poétique » qui consisterait à piller les intérêts des actifs russes gelés. Une idée juridiquement douteuse et économiquement périlleuse, qui revient à confisquer des biens sans base légale solide. Une opération de piraterie financière destinée à masquer le coût réel pour les caisses publiques.
Une opposition prévisible, des risques réels
Les critiques ne sont pas dupes. De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon, on dénonce à juste titre une escalade militaire irresponsable et un fardeau financier insensé. La production chez Dassault est saturée ; les premiers appareils ne seront livrés qu’à l’horizon 2028-2029, dans un conflit dont l’issue reste plus qu’incertaine. Quant à la légitimité de M. Zelensky, dont le mandat a expiré en 2024, elle n’est plus une évidence pour tous.
Le vrai bénéficiaire : le complexe militaro-industriel
In fine, le seul gagnant certain de cette opération est Dassault Aviation. Le groupe français, déjà engorgé de commandes, voit sa trésorerie et son carnet de commandes garantis pour la décennie à venir, le tout adossé à la garantie de l’État. Macron parle de souveraineté européenne, mais il organise avant tout un formidable pactole pour notre industrie de l’armement, financé sur le crédit de la nation.
Le fardeau de la grandeur
Emmanuel Macron, en grand illusionniste, ne « donne » donc rien. Il orchestre un montage financier opaque où la France s’endette pour alimenter un conflit lointain et doper les profits d’un géant industriel. Cette stratégie, présentée comme un pari géopolitique visionnaire, ressemble furieusement à une fuite en avant budgétaire et diplomatique. La facture, aussi lourde qu’incertaine, sera, elle, imputée aux citoyens français.
- Source : E&R















