Élévation du niveau de la mer : le GIEC s’est totalement planté ! Pas la moindre accélération observée

En 2021, le GIEC a publié de nouvelles projections du niveau de la mer. Pour la première fois, ces projections ont permis de mieux comprendre l’élévation relative attendue du niveau de la mer au niveau local.
Un concepteur d’infrastructures côtières prudent souhaitera comparer les projections locales aux observations locales.
Cette comparaison n’a pas encore été effectuée. Nous avons comparé les projections et les observations locales concernant le taux d’élévation en 2020. Nous avons utilisé deux jeux de données contenant des informations locales sur le niveau de la mer dans le monde entier. Dans les deux jeux de données, nous avons trouvé environ 15% des jeux disponibles permettant d’établir le taux d’élévation en 2020. La couverture géographique des sites appropriés est faible, la majorité se trouvant dans l’hémisphère nord. L’Amérique latine et l’Afrique sont fortement sous-représentées. Des tests statistiques ont été effectués sur tous les jeux de données sélectionnés, en prenant comme hypothèse l’accélération de l’élévation du niveau de la mer.
Dans les deux jeux de données, environ 95% des sites appropriés ne présentent aucune accélération statistiquement significative du taux d’élévation du niveau de la mer.
L’étude suggère que des phénomènes locaux non climatiques sont une cause plausible de l’élévation accélérée du niveau de la mer observée dans les 5% restants des sites propices.
En moyenne, le taux d’élévation projeté par le GIEC est biaisé à la hausse, d’environ 2 mm par an, par rapport au taux observé.
L’orthodoxie climatique s’effondre.
L’équipe de la «science établie» composée d’Al Gore et de l’élite est exposée par de vraies données, de vrais scientifiques et nos propres yeux. Une nouvelle étude à grand succès sur l’élévation du niveau de la mer bouleverse le discours sur le changement climatique.
Le New York Post rapporte : Des chercheurs ont mené une analyse mondiale et ont constaté que dans environ 95% des endroits propices, on ne constate aucune accélération statistiquement significative de l’élévation du niveau de la mer.
Pour les 5% restants, l’étude suggère que des phénomènes locaux non climatiques (comme les glissements tectoniques) constituent la «cause plausible» – et non le changement climatique.
Il s’agit d’une réfutation directe de l’allégation alarmiste fondamentale. C’est de ce courage dont nous avons besoin : des scientifiques enfin libres de dire la vérité sans craindre d’être annulés. Pendant ce temps, les élites proposent des «solutions» insensées à un problème que les données révèlent être faux. Bill Gates veut bloquer le soleil en injectant des aérosols stratosphériques.
Mais aujourd’hui, même les experts du prestigieux Institut Scripps mettent en garde contre ces projets de géo-ingénierie, affirmant qu’ils sont «peu susceptibles d’aider» mais «pourraient nuire à l’écosystème». L’opinion publique se réveille.
Un nouveau sondage mené au Royaume-Uni montre que le nombre de Britanniques qui estiment que les dangers du réchauffement climatique sont exagérés a augmenté de plus de 50% en quatre ans. Un électeur sur quatre perçoit désormais cette exagération, alimentée par les coûts exorbitants des politiques de neutralité carbone. Le château de cartes s’effondre. C’est un divorce avec l’alarmisme et un retour à la vraie science.
- Source : Le blog de Patrice Gibertie