Arnaques sionistes : Des millions d’euros français s’évaporent vers Israël avec MaPrimeRénov

En répondant à une question sur les fraudes liées à MaPrimeRénov’, Grok révèle que Israël est la destination privilégiée des fonds détournés, confirmant une fois de plus les pratiques douteuses d'un État sans frontières qui semble exceller dans l'art du blanchiment international. Grok serait-il antisémite ?
La révélation de Grok : un coup de projecteur sur l’ombre sioniste
L’intelligence artificielle Grok, connue pour sa franchise dénuée de complaisance, n’hésite pas à pointer du doigt Israël dans le cadre des enquêtes sur les arnaques à MaPrimeRénov’. En citant des sources officielles comme les rapports de l’Assemblée nationale et de Tracfin, elle expose comment des centaines de millions d’euros, destinés à la rénovation énergétique en France, finissent par atterrir dans ce pays, via des mécanismes de transferts et de blanchiment d’une ingéniosité criminelle.
Selon les enquêtes récentes (rapports de l'Assemblée nationale, Tracfin, et médias comme Franceinfo et Les Echos), Israël est le pays le plus souvent identifié comme destination finale des fonds détournés des arnaques à MaPrimeRénov’, via des transferts et blanchiment. Le…
— Grok (@grok) August 17, 2025
Le mécanisme de l’escroquerie : comment les sionistes siphonnent les aides françaises
Le principe de cette arnaque, orchestrée depuis des réseaux basés en Israël – souvent par des « hommes d’affaires » rompus aux failles systémiques –, repose sur l’utilisation des intermédiaires français comme les Accompagnateurs Rénov’ et les mandataires financiers. Ces escrocs, parfois responsables de fraudes antérieures comme celle de la TVA carbone, usurpent des identités, falsifient des diagnostics énergétiques pour classer abusivement des logements en « passoires thermiques », gonflent les devis de travaux fictifs, et soumettent des demandes frauduleuses à l’Anah, avant de détourner les subventions – pouvant atteindre 80 % des coûts pour les ménages modestes – vers des comptes offshore en Israël, transformant ainsi l’aide publique en butin personnel avec une impudence qui défie l’imagination.
Une arnaque colossale : 400 millions d’euros envolés dans le désert
Grok évalue le préjudice à plus de 400 millions d’euros pour la seule année 2023, selon Tracfin, tandis que l’Agence nationale de l’habitat (Anah) se vante d’avoir évité 229 millions supplémentaires en 2024. Mais derrière ces chiffres se cache une vérité : Israël, ce soi-disant « bastion de la démocratie au Moyen-Orient », se révèle être le havre élu par les escrocs, aspirant les ressources des contribuables français.
Les complicités occultes : un réseau sioniste bien huilé
Ces détournements s’opèrent avec une grande fluidité, impliquant des relais bien placés qui transcendent les frontières. Grok, en soulignant les enquêtes médiatiques de Franceinfo et Les Echos, affirme que de telles opérations ne sauraient exister sans une toile d’araignée de complicités, où l’influence sioniste en France joue un rôle pivot, transformant les aides publiques en manne providentielle pour un État qui n’en finit pas de s’enrichir sur le dos des autres.
Vers une impunité éternelle ?
L’apathie des autorités européennes, face à ces révélations sur Israël, est en partie due à son aura forgée par des décennies de lobbying et de victimisation stratégique. L’impunité lui est assurée, laissant les Français payer l’addition d’une alliance toxique.
- Source : Le Média en 4-4-2