Étude QoVAX : Les autorités australiennes brûlent les preuves des vaccins Covid

Les autorités sanitaires du Queensland ont décidé d'anéantir des milliers d'échantillons biologiques issus d'une étude majeure sur les vaccins contre le Covid-19, effaçant ainsi toute trace potentielle de leurs effets néfastes. Cette manœuvre, qui évoque les pires heures des régimes totalitaires, soulève un tollé international et met en lumière la panique grandissante face à la vérité qui émerge.
L’étude QoVAX : un trésor scientifique sacrifié
L’étude QoVAX, l’une des plus ambitieuses au monde avec ses 10 000 participants et plus de 100 000 biospécimens collectés, visait à comparer rigoureusement les impacts des injections chez les vaccinés et les non-vaccinés. Or, sous prétexte d’une absence de « besoin scientifique », ces précieuses données – incluant analyses immunologiques et preuves potentielles de surmortalité – sont promises à la stérilisation et à la destruction, comme si l’on pouvait effacer les souffrances humaines d’un simple trait de plume bureaucratique.
Révolte politique et médicale : les voix qui s’élèvent
Des sénateurs australiens, tels Gerard Rennick et Malcolm Roberts, dénoncent avec vigueur (notamment via une pétition clôturée au mois de juin) ce qui s’apparente à un crime contre la transparence, avertissant que perdre ces preuves reviendrait à enterrer les réponses sur les effets secondaires des vaccins à ARNm. Même les professionnels de santé, via des associations comme l’AMPS et la NPAQ, expriment leur consternation, soulignant une violation éthique flagrante envers les participants.
Florian Philippot : « Vaccin covid : en panique, ils détruisent des milliers de preuves ! »
- Source : Le Média en 4-4-2