La France de Macron organise les assises mondiales de la russophobie
Oublions 1914 et l’ouverture d’un second front à l’Est qui a grandement soulagé l’armée française ; oublions la destruction de la Wehrmacht en 1944 qui a grandement aidé à la libération de la France ; oublions de Gaulle qui signa les accords franco-soviétiques de 1966 ; oublions l’amitié Poutine-Chirac, le président français ayant pris le jeune premier sous son aile ; oublions l’admiration culturelle réciproque entre écrivains et lecteurs des deux pays : place à la russophobie !
On savait que tous ceux qui vont s’exprimer ici était de sacrés larbins, mais là, l’ordre vient directement de l’Élysée, qui reçoit ses ordres de Bruxelles, une ville sous commandement du pouvoir profond américain. Il n’y a plus de journalistes, que des supplétifs, prêts à tout pour garder le cul au chaud, quitte à soutenir le déclenchement d’une guerre nucléaire. Parce qu’on ne voit pas Poutine lâcher ses T-90 à travers l’Europe, à portée de drone. Un missile hypersonique est si vite arrivé...
Ce mardi 25 novembre 2025 est le jour de la grande salve antirusse dans nos médias mainstream. Naturellement, les réponses sur X des Français qui ont conservé leur raison et leur libre-arbitre sont assez cinglantes, mais l’idée consiste à terroriser les déjà-terrorisés. Il ne faut pas que la terreur retombe, surtout pas !
C’est comme ça qu’on tient les moutons, un jour le robinet d’eau glacée, le lendemain l’eau tiède, un yoyo mental qui fait basculer les fragiles dans une angoissante schizophrénie.
Cerise sur le gâteau, le politologue Philippe Méchet nous apprend que le parapluie nucléaire français ne servira à rien, car les Russes vont attaquer au sol, avec des sabres et des chevaux, à la cosaque.
«On est dans l’illusion que la force nucléaire nous protège. C’est une fausse approche. La menace russe montre que nos besoins militaires sont conventionnels», réagit le politologue Philippe Méchet aux propos du CEMA Fabien Mandon. pic.twitter.com/yJyEPxAYz4
— Le Figaro TV (@LeFigaroTV) November 24, 2025
Le général Trinquand, qui s’est planté sur tout depuis trois ans, donne des leçons de diplomatie à « un promoteur immobilier ».
▶️️️#International - Plan Trump : flagrant délit de copier–coller russe “On ne doit pas être très surpris quand on sait qu’on a demandé à un promoteur immobilier de faire de la géopolitique.”@trinquand#24hPujadas #LCI #Ukraine #Europe #guerre ⤵️ pic.twitter.com/wbV6r2cD64
— 24h Pujadas (@24hPujadas) November 24, 2025
Le socialiste sauce moutarde Olivier Faure veut nous faire croire que le Donbass a une frontière commune avec la France. Attaquer le Donbass, c’est envahir la patrie de François Hollande !
🔴 Soutien à l'Ukraine ➡️ "Ce qui se passe aujourd'hui en Ukraine, c'est la sécurité d'un continent et pas simplement l'avenir d'un seul pays. La résistance ukrainienne aujourd'hui, c'est la résistance de l'Europe entière ", affirme Olivier Faure pic.twitter.com/ixua3nAwUs
— franceinfo (@franceinfo) November 25, 2025
Caroline roux, fidèle servante du Système, nous prévient : ça va péter dans trois, quatre ans. C’était donc ça, l’Agenda 2030 ?
Un conflit avec la Russie à l’horizon 2030 "est devenu une hypothèse de travail européenne (...) Le chef d’état-major des armées est dans son rôle, non pas pour inquiéter, mais pour jouer son rôle de militaire qui dit aux Russes : je suis dans un pays courageux". @PierreHaroche pic.twitter.com/GP9K31DgZ9
— C dans l'air (@Cdanslair) November 24, 2025
Prenant des accents churchilliens, le grand Raphaël Glucksmann fustige les accords de Munich (Genève) en cours. Lui veut la guerre. C’est un chef de guerre comme on en a peu connus. Un Gamelin de sous-préfecture de Tel-Aviv.
💬"Si l'Europe veut rester libre, elle doit reprendre le contrôle de sa sécurité.[...] Nous devons montrer à tous, et particulièrement à Poutine, que l'Europe ne rime plus avec l'impuissance, ou la démocratie avec la faiblesse", affirme Raphaël Glucksmann#BFM2 pic.twitter.com/xYHTZ2x2sL
— BFM (@BFMTV) November 25, 2025
Tous ces « politologues », généraux, journalistes, jouent leur poste dans ce conflit. Si les Russes attaquent, comme ils le pensent, ils joueront leur tête. C’est curieux, mais on ne les voit pas combattre : on les voit plutôt fuir.
- Source : E&R















