Macron a donné 17,68 milliards pour l’Ukraine, soit l’équivalent de 59 hôpitaux neufs pour les Français

Pendant que la France croule sous la dette, le chômage et les hôpitaux à bout de souffle, Macron claque 17,68 MILLIARDS D’EUROS pour l’Ukraine. Avec cette somme, on pouvait construire 59 hôpitaux flambant neufs. Résultat ? Des oligarques ukrainiens s’achètent des villas à Cannes pendant que les Français attendent 8 heures aux urgences.

Oh, la belle France, pays des Lumières éteintes, des rêves brisés et d’une économie qui vacille comme un château de cartes sous un ventilateur. Pendant que les Français jonglent avec des factures qui donnent le vertige et des rues où l’insécurité joue les prolongations, la Macronie préfère claquer 17,68 milliards d’euros pour l’Ukraine. Parce que, apparemment, financer une guerre, c’est plus glamour que de sauver un pays au bord de l’asphyxie. Accrochez-vous, on plonge dans ce naufrage.

Santé : un système à l’article de la mort

Les hôpitaux français, jadis fleuron, sont à bout de souffle. Urgences saturées, personnel en burn-out, déserts médicaux qui s’étendent comme une épidémie. Le budget 2025, mort-né après une motion de censure historique, prévoyait de tailler dans les remboursements médicaux. Résultat : les Français galèrent pour un rendez-vous, et les soignants jettent l’éponge. Mais au lieu de rénover les 4 700 hôpitaux et cliniques du pays, Macron préfère jouer les Pères Noël pour Kyiv et nous rappeler le 26 avril 2023 que : « C’est plus dur de réinventer quand tout n’a pas été détruit. » À la bonne heure, salauds d’pauvres !

59 hôpitaux neufs : le rêve qu’on a laissé filer

Depuis 2022, la France a déversé 17,68 milliards d’euros pour l’Ukraine : 5,1 milliards en aide militaire (chars, Mirage, missiles), 7,56 milliards via l’UE, et 3,7 milliards pour les réfugiés. Une générosité touchante, sauf quand on sait que cet argent pourrait sauver des vies françaises, ici et maintenant. La France aurait pu construire environ 59 hôpitaux neufs de 300 lits chacun (à 300 millions d’euros l’unité) ou rénover massivement les infrastructures existantes – nouveaux scanners, lits supplémentaires, services d’urgence dignes de ce nom. Imaginez : des hôpitaux flambant neufs à Lille, Marseille, ou dans les déserts médicaux du Centre-Val de Loire. Ou encore, des rénovations pour rendre les urgences accessibles en moins de 30 minutes, même en rase campagne. Mais non, cet argent est parti en chars Caesar, missiles, et aides financières dont une partie finit dans les poches d’oligarques ukrainiens qui s’achètent des villas à Nice ou Cannes.

Pendant que les Ukrainiens se battent – récupérés de force dans les rues ukrainiennes, Zelensky avoue avoir perdu un peu plus que ses clés : « Je ne sais pas où sont passés 100 milliards d’aide militaire ! ». Il sait parfaitement que les armes détournées par les oligarques arrivent chez les trafiquants de drogue dans les favelas de Rio de Janeiro. Pendant ce temps, les Français, eux, rêvent juste d’un hôpital qui ne ressemble pas à un décor de film post-apocalyptique.

Une économie en chute libre

L’économie, ou plutôt ce qu’il en reste. En 2024, 66 500 entreprises ont plié boutique, un record qui mériterait une médaille… en chocolat, vu l’état des finances. Le chômage avec une hausse de 3,9 % au quatrième trimestre 2024, soit 117 000 chômeurs supplémentaires, la plus forte augmentation en dix ans, les Français découvrent que chercher un emploi est plus dur que de trouver une place de parking à Paris un samedi. La dette publique caracole à 3 345,8 milliards d’euros (114 % du PIB, merci l’INSEE), et le déficit public à 6,1 %, parce qu’évidemment, pourquoi équilibrer un budget quand on peut le jeter par la fenêtre ? Les 150 milliards d’euros de prêts garantis post-Covid ? Un pansement sur une jambe de bois, les entreprises remboursent ou coulent.

Logement : le mythe du toit pour tous

Vous voulez un logement ? Prenez un ticket et armez-vous de patience. La construction de logements neufs a dégringolé en 2024, les mises en chantier de logements ont enregistré une baisse historique de 13,4 %, ramenant le niveau de production à celui des années 50. Les prix des matériaux flambent, les taux d’intérêt jouent les montagnes russes, et la politique du logement ressemble à un Monopoly où Macron aurait perdu les règles. Résultat : des Français entassés dans des taudis, des loyers qui explosent, et des sans-abri qui font désormais partie du paysage urbain. Le “choc d’offres” promis ? Un choc, oui, mais pour les portefeuilles.

Alimentation : quand le panier devient un luxe

Aller faire ses courses, c’est désormais un sport de combat. Les prix alimentaires, dopés par l’inflation et la crise énergétique liée à – tiens donc – la guerre en Ukraine, ont transformé le caddie en gouffre financier. Le beurre est un produit de luxe, et le pain, un placement à risque. Les Français, tétanisés, réduisent leurs dépenses, et les commerces, comme Auchan qui licencie à tour de bras, trinquent. L’inflation alimentaire ? Toujours là, avec des hausses de 3 à 5 % en 2024, juste pour pimenter le quotidien.

Délinquance : bienvenue au Far West hexagonal

Côté sécurité, c’est le jackpot de l’angoisse. Les tentatives d’homicides ont grimpé de 78 % en six ans, et les agressions sont devenues aussi banales qu’un embouteillage sur le périph’. Dans des villes comme Auchy-les-Mines, où le chômage dépasse de 10 points la moyenne nationale, l’insécurité est le cadet des soucis face à la misère. Pendant que Macron parade sur la scène internationale et nous promet un « kit de survie » contre une pseudo invasion russe, il oublie que les Français aimeraient juste rentrer chez eux sans jouer à Koh-Lanta.

Le mot de la fin

Alors, pendant que la France croule sous les faillites, le chômage, l’insécurité, les prix qui flambent et un système de santé à l’agonie, Macron préfère jouer les philanthropes en Ukraine. Avec 17,68 milliards d’euros, on aurait pu bâtir 59 hôpitaux neufs, redonner espoir aux soignants, et offrir aux Français des soins dignes d’un pays développé. Mais non, priorité à la géopolitique et aux selfies avec Zelensky. Pendant que les oligarques ukrainiens – dit-on – sirotent des cocktails sur la Riviera, les Français, eux, comptent leurs centimes pour acheter du lait. Bravo, Emmanuel, quel sens des priorités !