Guerre en Ukraine : les satanistes entrent en scĂšne
Un agent de l’OTAN, une attachée du CRIF, et une présentatrice écrasée par deux consœurs-Système, voilà le tableau gouleyant des médias mainstream français aujourd’hui. Une féminisation toute en gros sabots et désinformation à 180 degrés.
[ đȘđș EUROPE | đșđŠ UKRAINE ]
đž «âŻLa capitulation de l’Ukraine, c’est un danger mortel pour l’Ukraine bien sûr, mais aussi pour l’Europe⯻, avertit l’eurodéputée de France đ«đ·, Nathalie Loiseau. pic.twitter.com/twqC5cuQ5f
Personne ne connaît les plans réels de Vladimir Poutine. Il n’existe pas d’indices irréfutables dont disposeraient les services de renseignement annonçant les intentions guerrières du Kremlin. Les facteurs d’incertitude n’empêchent pas les voyants d’être au rouge et de réelles possibilités d’engrenage. (Le Figaro)
Il s’agit de la fameuse étude norvégienne (à fond dans l’OTAN, qui lui a demandé de tripler ses effectifs à la frontière russe à l’horizon 2032) qui nous explique, humblement, qu’il faut doubler l’aide à l’Ukraine, pays pourtant le plus corrompu d’Europe, pour qu’elle vainque la Russie. On y croit tellement, côté OTAN, qu’on envoie cette mascarade bouffie sur pattes qu’on appelle Loiseau.
Une étude norvégienne estime qu’un accord de paix favorable à Moscou entraînerait jusqu’à 1633 milliards d’euros de coûts supplémentaires en quatre ans pour le Vieux Continent. Soit le double du financement nécessaire pour faire gagner Kiev sur le terrain. https://t.co/IUc6ZKtjLN
— Nathalie Loiseau (@NathalieLoiseau) December 19, 2025
Pendant ce temps, temps obtenu contre la paix par les Européens, les Ukrainiens se font pilonner par l’artillerie russe, qui vise désormais massivement le réseau de chemins de fer, après avoir réduit les centrales thermiques en cendres. L’UE de Leyen-Macron-Merz est en train de ramener ce pays à l’âge de pierre. Qu’on les aime ou pas, les Russes ne reculeront pas.
đ«đ·Comme en France ou en Allemagne, au Royaume-Uni, un gros porc immonde appelle les jeunes à se sacrifier !
— sergio-ddeđđ (@sergiodde) December 19, 2025
Se sacrifier pour que ce sac à merde puisse continuer à se goinfrer dans l'impunité totale.
Jeunes gens, vous devez effectivement vous mobiliser pour faire la guerre à… pic.twitter.com/AZupG6R486
Dans le même registre que Boris Johnson, le président polonais Donald Tusk part en surenchère :
L’Histoire regarde et jugera les dirigeants européens réunis à Bruxelles.
— Marion Van Renterghem (@MarionVanR) December 18, 2025
“Soit nous envoyons l'argent pour stopper Poutine en Ukraine dès aujourd'hui, soit nos propres enfants verseront leur sang au front demain. Le temps n’est plus aux excuses.”
D.Tusk. pic.twitter.com/goyoWWZdgr
Pendant ce temps, la ligne de front ukrainienne recule, et craque par endroits. Poutine annonce la prise de Koupiansk, et après l’encerclement de Pokrovsk, les grandes plaines ukrainienne n’ont plus de défenses solides.
Avertir ne suffit plus. Il faut se préparer. Tout en espérant encore pouvoir dissuader Vladimir Poutine, les Européens ont pris acte de la menace que représente la Russie à court terme pour la sécurité du continent. « Nous devons nous préparer à une guerre d’une ampleur comparable à celle qu’ont connue nos grands-parents ou nos arrière-grands-parents », a mis en garde le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, mi-décembre. Près de quatre ans après l’invasion de l’Ukraine, Moscou poursuit une stratégie toujours plus agressive. « Imaginez un conflit touchant chaque foyer, chaque lieu de travail, entraînant destruction, mobilisation massive, des millions de personnes déplacées, des souffrances partout et des pertes extrêmes », a ajouté Rutte. Il faut frapper les esprits.
Le Figaro, à travers les déclarations du malade mental Rutte – décidément, l’OTANUE ressemble de plus en plus à un asile d’aliénés –, relaie la psychose. On n’oublie pas que l’Ukraine, c’est-à-dire les forces mondialistes, a alléché la maison mère du quotidien avec un contrat historique de cent Rafale...
Cette oligarchie enragée et moralement perdue a intérêt à la guerre, c’est-à-dire à renverser la table, tant on touche au bout de sa corruption, de son extorsion, de son illégitimité, de ses mensonges et de ses choix criminels. Franchement, de ce point de vue, la qualifier de sataniste est encore gentil.
Désormais, ils parlent de « sang », de « sacrifice », de « jeunes », c’est-à-dire d’enfants, parce qu’à 19 ans on n’est pas un homme, exactement le vocabulaire des satanistes de théâtre. Évidemment que le vrai satanisme, ce ne sont pas ces bouffons en tenue de carnaval avec des 666 partout qui découpent des enfants en morceaux, après les avoir violés et torturés, pour les dévorer en psalmodiant des trucs bizarres dans un langage inconnu au bataillon.
Non : le satanisme, ce sont ces grands sorciers sacrificateurs qui révèlent leur vrai projet quand on a révélé leurs nature sordide.
- Source : E&R















