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Vendredi, 30 Mai 2025

Barbarossa 2 : Merz, le nouveau chancelier allemand, se prend pour Hitler

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Jeudi, 29 Mai 2025 - 12h09

Fritz Merz n’a pas dû digérer l’échec de l’opération Barbarossa. Il multiplie les déclarations belliqueuses à l’encontre des Russes, ne se cachant même plus derrière Zelensky. C’est désormais lui qui dirige la coalition antirusse. On a trouvé pire que Macron, qui, lui, ne fait que parler, même si c’est à tort et à travers.

Un des objectifs avoués de l’empire allemand dirigé par le petit dictateur Merz est de frapper en premier lieu le pont de Kertch, qui avait déjà été visé par un missile britannique Storm Shadow. Les Russes avaient rebouché le trou dans la foulée.

Le trio Merz-Macron-Starmer veut la guerre mais ne peut pas la faire sans les Américains, et Trump, de son côté, cherche à en finir avec le massacre en mettant la pression sur Poutine.

Il y a 84 ans, très exactement, puisqu’on est à 24 jours de l’anniversaire du déclenchement de Barbarossa – une trouvaille d’Hitler –, on ne pouvait pas frapper un pays à distance, sauf par l’aviation. Aujourd’hui, les missiles à longue portée permettent de toucher des cibles en profondeur chez l’ennemi. Si l’Allemagne peut frapper la Russie à partir de l’Ukraine, la Russie peut frapper non seulement les bases de lancement en Ukraine, mais aussi des cibles en Allemagne, puisque Merz, à l’instar d’Hitler, parle aussi d’une guerre économique, heureusement pas d’extermination. Il est fou, mais pas à ce point.

Alors, le discours du chancelier n’est-il que le cache-sexe de son impuissance, à l’image de Macron, ou veut-il vraiment une guerre longue contre Poutine, afin de sauver la croissance allemande dans un programme de réarmement industriel, comme l’ont fait les Américains sous Roosevelt en 1941 ? Des spécialistes arguent que les porteurs, des Tornado allemands, ne sont pas encore sur place avec leur personnel, ce qui laisse un certain délai avant la déflagration.

On sait déjà que les enfants de Leyen n’iront pas mourir en Russie, c’est une bonne chose pour cette excellente dirigeante du désastre européen.

Pour info, selon d’autres sources, les missiles air-sol allemands ne sont pas encore sur place, en Ukraine (ou en Pologne). Peut-être que Trump, en pourparlers avec Poutine, a mis un veto. L’Allemagne, au fond, dépend toujours pour sa défense des États-Unis, et l’élection de Merz n’y a rien changé. Pour l’instant, on en reste la guerre des mots germano-russe.

L’analyse LCI avec la vieille cinglée

C’est l’émission comique de la guerre mondiale. « Est-ce que ça peut atteindre Moscou ? », demande le général Rochebin tout excité à l’amiral Vichot, flanqué de son capitaine de crevette Macha Méril.

Entre Merz, le Macron allemand, et ces tocards, on nage dans une hallucination oligarchique collective, ces représentants politiques ou médiatiques n’ayant plus aucune autorité. Qui les suivra pour sauver une Ukraine qui n’existe presque plus, dépecée qu’elle est par les grandes puissances ?

La Russie a repris son Donbass, la Pologne lorgne sur la Galicie et la Volhynie (où 100 000 Polonais ont été massacrés par les Ukrainiens pronazis entre 42 et 44), et Trump a négocié du sous-sol. À l’Union européenne, il reste le blé et les poulets à 4 euros, plus les esclaves de la terre sur place. Ensuite, une fois les soldats ukrainiens démobilisés, on risque d’avoir des opérations de terreur jamais vues à l’ouest...


- Source : E&R

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