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Mercredi, 15 Mai 2024

Macron, cohérent : des médailles pour les covidistes de pointe

Auteur : Modeste Schwartz | Editeur : Walt | Lundi, 02 Oct. 2023 - 18h56

En médaillant plusieurs des organisateurs français de l’arnaque covidiste (Salomon, Fischer…), Macron fait un choix naturellement scélérat – comme tout le reste de son existence –, mais parfaitement logique, partant du principe (que je partage, et même soutiens) qu’il n’y aura jamais de réconciliation entre les empoisonneurs (et leur cheptel de moutons enthousiastes de l’abattoir) et les brebis galeuses qui ont choisi la liberté comme unique garantie de la dignité humaine.

Tandis que certaines études évaluent à 17 millions à travers le monde (pardonnez du peu…) le nombre des victimes d’AVC climatiques survenus, de façon purement fortuite, au lendemain d’une injection de sérum sûr et efficace contre une pandémie imaginaire, il devrait être évident pour tout animal pensant qu’il n’y aura jamais de main tendue entre les auteurs de ce meurtre de masse et celles des victimes potentielles qui se sont réveillées à temps pour échapper aux bienfaits de la dépopulation.

Au vu du sort réservé (notamment par un certain tribunal de Nuremberg) à certains représentants de l’eugénisme précédent, l’oligarchie davosienne sait au contraire qu’elle n’échappera à une juste sentence qu’à condition de rester groupée.

C’est d’ailleurs – dans un contexte européen – tout particulièrement vrai de la France, système pseudo-monarchique où l’hyperprésidence empêche (au moins symboliquement) toute dilution de la responsabilité covidiste de Macron – tandis qu’en Grande-Bretagne, par exemple, la mise à l’écart du fauteur de guerre Johnson a facilité l’adoption d’une stratégie de démolition contrôlée du récit covidiste.

Tous les Resets mènent à Nuremberg

C’est pourquoi, en France, les palinodies post-covidistes – qu’elles soient gouvernementales ou médiatiques – restent strictement implicites, tandis que le statut vaccinal des élus reste un sujet rigoureusement tabou. En ce sens, le respect du dogme covidiste par l’intégralité de la « représentation » politique au printemps-été 2020 contenait déjà, en germes, la grande capitulation des pleins pouvoirs au Maréchal Macron, mise en scène 30 mois plus tard à Saint-Denis.

Avec, toutefois, une différence de taille : le jour où on sortira du placard ces quelques 53 000 morts dont l’INSEE ne sait trop quoi faire, les clowns de la pseudo-opposition pourront toujours raconter qu’ils n’y ont vu que du feu (personne ne les croira, mais ils ont l’habitude), et ne pourront être accusés que de complicité passive.

Les hommes que l’empoisonneur en chef décore en ce jour, en revanche, sont sa garde rapprochée, qui partagera son sort.


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