Boîte de Pandore : Le gouvernement prépare l’obligation vaccinale pour les soignants et les résidents d’Ehpad

Dans un silence médiatique complice, notre cher gouvernement s’apprête à franchir un nouveau cap dans la négation des libertés individuelles. Selon des informations révélées par France Info, un projet de loi préparé dans l’ombre vise à imposer le vaccin antigrippal aux résidents des Ehpad et à l’ensemble du personnel soignant. Ne nous y trompons pas : cette mesure ciblée n’est qu’un prélude à une obligation étendue à l’ensemble de la population.
Alors que s’ouvre la campagne de vaccination grippe et Covid 2025-2026, promue avec un enthousiasme suspect, il importe de démasquer les véritables enjeux. Sous couvert de santé publique, ce texte constitue avant tout une aubaine pour les laboratoires pharmaceutiques, aux dépens de l’autonomie des citoyens.
La résistance s’organise d’ores et déjà face à un projet de loi sur la vaccination grippe obligatoire, qui pourrait ouvrir la voie à des obligations d’injections ARN messager scandaleuses et inacceptables !
— Florian Philippot (@f_philippot) October 15, 2025
Nouvelle vidéo ! https://t.co/OWW4MFkoG2
Résistance et désobéissance… pic.twitter.com/pHqPqfOghB
Une obligation progressive, prélude à la généralisation
Le projet, tel que divulgué, concernerait d’abord les résidents des Ehpad – des aînés affaiblis, déjà éprouvés par des traitements mortifères comme le Rivotril – ainsi que l’ensemble des personnels, soignants ou non. Les professionnels hospitaliers devraient suivre, sous réserve d’un avis de la Haute Autorité de Santé attendu au second semestre 2026. Mais qui peut croire que l’État s’en tiendra à ces seuls publics ? Une fois le principe accepté, la généralisation deviendra inéluctable. Les médias officiels, du Monde au Figaro, agitent déjà le spectre d’une épidémie « redoutable », sans produire la moindre preuve tangible. Même rhétorique qu’en 2020 : on cultive la peur pour mieux imposer l’obéissance.
Les conséquences ? Des milliers de soignants suspendus, comme entre 2021 et 2023, pour avoir refusé un produit à l’efficacité notoirement limitée. La grippe est mortelle, certes, mais les vaccins classiques n’offrent qu’une protection plus que relative. Quant aux nouveaux sérums à ARN messager, ils représentent un pari hasardeux sur l’intégrité de notre système immunitaire. Moderna développe déjà un vaccin antigrippal à ARNm, et les injections combinées grippe-Covid, elles aussi fondées sur cette technologie, sont en cours de validation. Les Échos l’ont confirmé : ces produits hybrides arrivent, et leur promotion battra son plein.
Conflits d’intérêts : le pouvoir sous influence
Au centre de cette manœuvre, la nouvelle ministre de la Santé, Stéphanie Rist, nommée par Big Pharma. Les archives sont éloquentes : entre 2012 et 2017, elle a déclaré 309 liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, pour un montant total de 40 196 euros. Congrès, formations rémunérées, avantages divers : tout a été mis en œuvre pour tisser des relations privilégiées avec les géants du secteur. La ministre affirme avoir rompu ces attaches depuis son entrée en politique – mais comment croire en son impartialité, alors qu’elle dialogue quotidiennement avec Pfizer ou Sanofi ?
Le vaccin Efluelda est quatre fois plus dosé en antigènes et « seulement » deux fois plus onéreux que VaxigripTetra (11,75 euros) du même Sanofi. VaxigripTetra est moins efficace chez les plus de 65 ans. En 2024, La HAS avait jugé Efluelda non rentable, évoquant un surcoût de 231 millions d’euros. En effet, il était vendu 31,92 € TTC. Devant tant d’incompréhension de la part de l’HAS, Sanofi en avait arrêté la commercialisation. Cette année, Efluelda ne coûte plus que 23,97 euros tout comme son concurrent FLUAD® de CSL Seqirus, son concurrent qui l’a obligé à diminuer ses prétentions tarifaires.
Inutile, comme le fait Le Canard Enchaîné, d’expliquer ce revirement par des rapports trafiqués : des paragraphes défavorables supprimés, des conclusions modifiées sous l’influence d’infectiologues médiatiques, à l’initiative de Frédéric Oudéa, proche du président et successeur de Serge Weinberg – celui-là même qui introduisit Macron chez Rothschild. Le Canard Enchaîné a torpillé Fillon en 2017. Il semble toujours obéir à des ordres, qui ont changé en 2025. Il s’agit maintenant de couler Macron et tous les moyens sont bons.
ARNm, fausses économies : l’arnaque démasquée
Cette obligation vaccinale ne sert ni la santé publique ni les finances de l’État. Elle ouvre la voie à l’implantation durable des technologies à ARNm, expérimentées à grande échelle avec les vaccins Covid – et leurs effets secondaires trop souvent minorés (myocardites, troubles neurologiques, etc.). Moderna prépare son mRNA-1010 contre la grippe ; les combinés grippe-Covid approchent. L’Union européenne dispose de centaines de millions de doses Pfizer à écouler : le contribuable en fera, une fois encore, les frais.
- Source : Le Média en 4-4-2