www.zejournal.mobi
Vendredi, 26 Avr. 2024

Covid-19 et immunité. Les personnes vaccinées sont beaucoup plus dangereuses sanitairement que les personnes guéries

Auteur : ZUR ZEIT (Autriche) | Editeur : Walt | Jeudi, 09 Sept. 2021 - 15h36

En Israël, sur la base des données de santé de 2,5 millions de personnes, la survenue d’une infection à covidés chez des personnes vaccinées et récupérées a été méticuleusement enregistrée et évaluée scientifiquement sur une période de 17 mois. Les résultats sont frappants et jettent un doute considérable sur les arguments actuels des « experts » et des autorités.

L’étude (à consulter ici) intitulée « Comparaison entre l’immunité naturellement acquise contre le SRAS-CoV-2 et l’immunité induite par le vaccin : réinfections contre percées vaccinales » a été préparée par une équipe de dix médecins et épidémiologistes dirigée par le Dr Sivan Gazit, le Prof. Gabriel Chodick et le Dr Tal Patalon. Il ne s’agit pas de « francs-tireurs » ou d’obscurs « théoriciens du complot », mais de la crème de la crème de l’élite médicale israélienne. Il s’agit de scientifiques de haut niveau des services de santé Maccabi, le deuxième plus grand fournisseur de services médicaux d’Israël, qui dessert plus d’un quart de la population du pays, de l’hôpital universitaire d’Ashdod et de l’université médicale de Tel Aviv.

Résultat de l’étude : le risque d’infection par le Covid-19 chez les personnes vaccinées est 13 fois plus élevé que chez celles qui se sont remises d’une maladie liée au SRAS-CoV-2 et qui ont acquis leur immunité naturellement. Cela incluait explicitement la nouvelle variante delta ; tous les individus vaccinés étaient entièrement vaccinés avec BioNTech/Pfizer (BNT162b2). La probabilité d’une maladie symptomatique grave était 27 fois plus élevée chez les vaccinés que chez les guéris.

Littéralement, le Dr Gazit, responsable de l’étude, écrit dans sa conclusion : « Cette étude a montré que l’immunité naturelle confère une protection plus durable et plus forte contre l’infection, la maladie symptomatique et l’hospitalisation causées par la variante delta du SRAS-CoV-2, par rapport à l’immunité vaccinale générée par deux doses de BNT162b2″.

Sur 32 pages, la méthodologie, la base de données et l’analyse sont détaillées et expliquées. Il n’y a aucun doute sur la qualité scientifique : Par exemple, une distinction précise est faite entre une simple infection détectée par un test PCR et une maladie symptomatique, ainsi que l’hospitalisation et, malheureusement, la mort. Au sein de la population étudiée de 778 658 personnes âgées de 16 ans et plus, des groupes de comparaison individuels ont été constitués en fonction du sexe, de l’âge, du lieu de résidence, de la date de vaccination, du statut social et des facteurs de risque afin d’exclure tout biais dû à des conditions marginales.

Cette étude, qui est, selon les auteurs, la plus grande et la plus longue étude de terrain au monde sur ce sujet à ce jour, livre un résultat clair et sans ambiguïté : épidémiologiquement, les personnes vaccinées sont plus de dix fois plus dangereuses que les personnes guéries en ce qui concerne l’infection et la transmission éventuelle du virus Corona !

Avec ces résultats, l’exigence d’un traitement préférentiel des vaccinés par rapport aux non-vaccinés, tel qu’il est prévu dans la vie publique en Autriche, par exemple, est toutefois devenue scientifiquement intenable. Là-bas, seul le FPÖ se bat contre la mise en œuvre de tels plans, qui ne reposent sur aucune base médicale et ne visent qu’à accroître la pression sur les personnes vaccinées.

Traduit par breizh-info.com, dans le cadre d’une COOPÉRATION MÉDIATIQUE EUROPÉENNE.

Crédit photo : DR


- Source : ZUR ZEIT (Autriche)

Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...