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Vendredi, 19 Avr. 2024

Inde : Covid et Ivermectine, suite

Auteur : Gérard Maudrux | Editeur : Walt | Samedi, 29 Mai 2021 - 09h02

Il y a un mois, la totalité de nos « spécialistes Covid » et de la presse se ruaient sur l’Inde, comme les mouches sur le vinaigre. J’avais de suite pris le contrepied le 27 avril dans un billet, pour expliquer que d’une part leur situation épidémiologique (je ne parle pas de leur situation sanitaire, mauvaise, c’est un autre problème) n’était pas pire que la nôtre, au contraire, et d’autre part je disais qu’il fallait attendre un peu pour voir le résultat de l’utilisation de l’Ivermectine à grande échelle, face à une vague puissante, dont on disait en France (comme ici) que le pic ne serait pas atteint avant plusieurs semaines alors qu’il était déjà passé !

Qui avait raison ? Les alarmistes ? Les défenseurs de l’Ivermectine ? Le résultat est là, éclatant, indiscutable. Pourtant, pas un mot dans la presse, pas un mot de nos spécialistes. Personne ne se demande comment les indiens, avec moins de moyens, ont fait dix fois mieux que nous. Personne ne cherche à savoir pour les copier ou s’en inspirer.

Voici la courbe des nouveaux cas de Covid en Inde, dernière mise à jour publiée le 27 mai. On constate le pic des cas à la date que j’avais prévu, et non après plusieurs semaines comme annoncé, puis une chute extrêmement rapide. Cette chute est plus rapide que pour leur première vague qui avait été peu traitée, qui s’était étalée bien que moins forte. Et pourtant ils ont le variant indien, eux !

INDE

Lorsque les gouvernements de plusieurs États se sont mis à conseiller, voire à distribuer l’Ivermectine, on a assisté à une offensive de l’OMS qui a fait des communiqués disant qu’elle ne conseillait pas l’Ivermectine, et de Gilead arrosant le pays de Remdesivir à prix dérisoire sans que la communauté médicale internationale ne s’en émeuve, sachant pourtant ce médicament inefficace et dangereux. Il fallait contrer l’Ivermectine.

Le résultat est encore plus flagrant quand on compare les États qui traitent, et ceux qui ne traitent pas comme le Tamil Nadu, qui a décidé de suivre les consignes de l’OMS.

Voici les courbes dans des États qui traitent largement à l’ivermectine comme l’Uttar Pradesh, l’Uttarakhand et Dehli. Le premier est passé de 37 900 cas au pic à 3 100 cas, le second de 9 600 à 2 800 cas, le troisième de 28 400 à 1 500 cas. D’autres États comme le Maharashtra, le Rajasthan ou le Madhya Pradesh affichent les mêmes scores, proportionnels à l’importance de l’utilisation de l’Ivermectine.

À l’opposé, le Tamil Nadu, qui interdit le traitement, était à 11 000 cas quand les autres étaient à leur pic, et aujourd’hui il est à 35 100 cas (il semble avoir atteint un plateau).

Encore plus parlant, une courbe récapitulative :

Signalons que ces résultats portent sur plusieurs centaines de millions d’habitants (l’Uttard Pardesh, c’est 3 fois la France), et ne sont obtenus qu’avec les traitements précoces, dans un pays où 3 % de la population seulement a reçu ses deux doses de vaccins.

À l’inverse, en France, on se félicite de la fin de notre seconde vague, « grâce à la vaccination ». La comparaison des courbes et des pentes décroissantes est éloquente : 6 mois d’un côté versus 1 mois de l’autre. Pic à 56 000 cas le 3 novembre, pour 13 933 hier.

FRANCE

Ces courbes indiennes, leur traitement médiatique il y a 1 mois et maintenant, ces résultats, illustrent bien la grande manipulation de l’opinion française à propos des traitements possibles pour la Covid.

J’en profite pour vous remercier pour vos réactions au billet précédent qui m’ont touché, en espérant surtout qu’elles auront touché aussi l’Ordre des Médecins et le fera réfléchir quant à son attitude vis-à-vis de ceux qui essayent de traiter leurs patients. Je le répète, nous avons obligation de moyens, pas forcément de réussite. Ne pas essayer de traiter, et surtout empêcher les autres d’essayer de traiter est indigne de la profession, une faute, surtout de la part des donneurs de leçons de déontologie. Qu’ils regardent aussi ce que font les médecins ailleurs, et quels sont leurs résultats, résultats dont ils ne semblent pas vouloir chez nous.

Quant à vos propositions d’aides, merci également. Je n’ai pas accepté car rien ne se passera avant un an, et si vous investissez aujourd’hui, et que rien ne se passe avant des mois, vous vous poserez des questions. Nous en reparlerons quand l’occasion se présentera.

***

Ivermectine, hydroxychloroquine : chute des cas de Covid en Inde grâce à un nouveau traitement

Alors que le monde regarde des experts comme le Dr Fauci peser sur la situation en Inde, le pays a décidé d’adopter une approche différente souvent condamnée par l’Organisation mondiale de la santé. 

Le ministère indien de la Santé a mis à jour ses directives Covid-19 pour indiquer que les patients asymptomatiques devraient envisager de prendre de l’ivermectine. La directive dit de prendre 200 mcg kg une fois par jour, à jeun pendant 3 à 5 jours pour aider à combattre le virus. L’agence a également demandé aux soignants dont les patients sont mis en quarantaine de « prendre une prophylaxie à l’hydroxychloroquine conformément au protocole et comme prescrit par le médecin traitant ». 

Alors que l’OMS s’efforce de promouvoir le vaccin, l’Inde bat lentement le virus tandis que le nombre de cas commence à chuter. Et ils l’ont fait sans campagne massive ni restrictions farfelues. L’Inde a prouvé que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine peuvent non seulement combattre le Covid-19, mais en fait le tuer dans les heures ou les jours suivant leur administration.

Cette bonne nouvelle est accueillie avec une certaine amertume par les médias d’hommes d’affaires qui ont sans doute des actions dans les laboratoires. « L’Inde lutte contre une crise sanitaire d’une ampleur inimaginable avec une science terriblement dépassée » titre qz.com.

« Le gouvernement indien continue à encourager les traitements Covid-19 qui ont été bannis par les scientifiques », ça on le trouve sur un site d’information numérique créé par le milliardaire fondateur d’ebay, Pierre Omidyar. Siège social dans le Delaware (paradis fiscal).
Le bonheur des uns…


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