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Mercredi, 24 Avr. 2024

« Corrompue », « criminelle » : Leyen se fait recadrer devant le Parlement européen

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Vendredi, 16 Sept. 2022 - 14h54

La pourrie tient le choc : devant Bardella (un eurodéputé français de droite) et Sonneborn (un eurodéputé allemand de gauche), la présidente de la Commission, c’est-à-dire de l’autocratie européiste inféodée aux USA, n’a pas bronché. Juste un petit déraillement sur une syllabe, et elle est passée au parlementaire suivant.

« Pourrie » parce qu’elle est accusée de corruption en Allemagne à des postes ministériels successifs, dont la Défense. Elle y a laissé des traces vraiment nauséabondes en grévant ses budgets – des centaines de millions – au profit de consultants et de sous-traitants privés. Comme Macron avec ses boîtes de conseil, dont la plus fameuse, McKinsey, qui incarne la gestion mondialiste qui noyaute l’État français.

C’est l’un des nombreux et désolants effets secondaires de la politique de corruption de Leyen et de sa Commission au bénéfice de la multinationale Pfizer. Rappelons que l’UE, sans demander l’avis de ses 450 millions d’habitants, a commandé 4,2 milliards de doses de vaccin entre 2021 et 2023 selon Libération.

À ces commandes s’ajoutent celles formulées auprès de Pfizer, qui demeure le plus gros pourvoyeur de vaccins auprès de l’Europe, avec un total qui atteint aujourd’hui 2,4 milliards de doses sécurisées (parmi lesquelles, donc, une option sur 900 millions). Ce chiffre de 2,4 milliards se décompose en trois commandes successives, nous rappelle la Commission européenne : deux commandes de 300 millions de doses chacune, en décembre 2020 et janvier 2021. Auxquelles s’ajoute une dernière commande – celle de mai dernier – d’1,8 milliard de doses.

Or, la dose Pfizer coûtant 20 euros (on arrondit), ça donne un pactole de 48 milliards de chiffre d’affaires pour Bourla, le copain de Leyen, cette dernière ayant refusé de publier leurs échanges de tweets...

À tout seigneur, tout honneur : on commence par Martin Sonneborn, le satiriste devenu député :

 

Au tour de Bardella de cogner sur la corrompue :

 

Petite critique à propos du texte du futur numéro 1 du RN, quand il dit que « l’enfer est pavé de bonnes intentions » : il se trompe. Leurs intentions sont mauvaises dès le départ, Leyen étant le ver de l’Empire dans la pomme européenne.


- Source : E&R

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