Révélations choc au Sénat américain sur la sécurité des vaccins infantiles

Le voile se lève sur l'un des plus grands scandales sanitaires de notre époque. Une étude rigoureuse, menée au sein d'un prestigieux établissement médical, livre des conclusions accablantes que le système a choisi d'étouffer.

Commandité en 2013 par les autorités sanitaires américaines elles-mêmes, un rapport de l’Institute of Medicine (IOM) constatait déjà l’absence totale d’études comparant la santé globale des enfants vaccinés à celle des non-vaccinés. Pire, lorsqu’une telle étude fut enfin réalisée par des chercheurs favorables à la vaccination de l’hôpital Henry Ford, ses résultats furent délibérément enterrés.

La raison en est simple et terrifiante : elle révèle que les enfants vaccinés présentent un risque significativement accru – jusqu’à six fois supérieur – de développer de l’asthme, des maladies auto-immunes ou des troubles neurodéveloppementaux. Alors que 57% des enfants vaccinés souffrent d’au moins une pathologie chronique, ce taux n’est que de 17% chez les non-vaccinés. Face à ces chiffres accablants, la censure a prévalu sur la science, confirmant une corruption systémique où seules les conclusions favorables aux vaccins ont droit de cité.