Les macronistes soumis à Big Pharma accusent Raoult d’être le gourou d’une secte
La loi sur les dérives sectaires était examinée à l’Assemblée Nationale hier. Son article 4, qui vise, sous couvert de lutter contre les sectes, à criminaliser l’opposition aux vaccins à l’ARN messager et aux traitements expérimentaux rendus mystérieusement obligatoires par le gouvernement dans des conditions d’une opacité totale, déjà bloqué au Sénat, a de nouveau fait l’objet d’un rejet clair et franc, contre l’avis des macronistes. On retiendra que, dans son intervention, le député Sacha Houlié, ex-socialiste et désormais président de la commission des lois, a reconnu que la loi visait à faire taire un Didier Raoult, présenté désormais comme le gourou d’une secte. Vive la démocratie selon le microcosme parisien !
Nous avons évoqué à plusieurs reprises le désormais fameux article 4 de la loi sur les dérives sectaires, que le Conseil d’Etat a fortement critiqué en considérant que “ni la nécessité, ni la proportionnalité de ces nouvelles incriminations ne sont avérées”. Donc, même le Conseil d’Etat, qui, en son temps, a validé toutes les mesures liberticides, a considéré que la loi portait une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression. L’obéissance à la dictature exercée par la caste mondialisée aurait donc des limites !
Nous reproduisons ici l’intervention de Nicolas Dupont-Aignan (à partir de 1:48:04), qui a mené la charge contre les tentatives macronistes de rétablir un article liberticide abandonné par le Sénat la semaine dernière. La réponse que Sacha Houlié, président de la Commission, lui a apportée, mérite d’être soulignée, car elle sonne comme un aveu. Selon ce jeune coq du macronisme, l’article 4 vise à interdire la promotion de l’hydroxychloroquine pour soigner le COVID. Raoult serait donc le gourou d’une secte qu’il faut faire taire.
Donc, si, initialement, l’article 4 était justifié par la nécessité de lutter contre des Casanovas, son objectif réel est bien de faire les opposants qui surgiront lors des prochaines prétendues urgences sanitaires.
- Source : Le Courrier des Stratèges