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Lundi, 24 Nov. 2025

La réponse cinglante d’un vrai militaire au CEMA Mandon

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Lundi, 24 Nov. 2025 - 12h06

C’est Clairval qui devrait être à la place de Mandon, et Mandon à la corvée de chiottes, ou à la retraite. Les militaires du rang sont infiniment plus respectables. Leurs chefs, tout en haut, corrompus par le confort et le lècheculisme politique, la soumission à l’OTAN et la lumière des plateaux télé, sont des dangers publics.

Ils font honte à la nation, et personne ne voudra mourir pour eux. Défendre la France, oui ; défendre ces escrocs, jamais. Ce ne sont pas des Français.

« Au vu de l’état réel de nos armées, affaiblies, sous-équipées, sous-dotées, incapables de tenir plus de quelques jours dans un conflit de haute intensité, un discours comme celui que vous avez prononcé ne peut pas être un discours opérationnel, c’est pas possible. Il ne peut pas être l’annonce d’une réalité militaire, parce que la réalité militaire, vous la connaissez mieux que quiconque, nous ne sommes pas prêts, comme je le disais précédemment.

Alors, qu’est-ce qu’il reste ? Une seule chose : la propagande. Ce que vous avez tenu au Congrès des maires, ce n’était pas un briefing militaire, c’était un discours psychologique, un discours conçu pour agir sur les émotions, pour installer de la tension, pour préparer les esprits, ou pour justifier les décisions que personne n’ose présenter frontalement aux Français.

Mais voilà le problème, mon général, la France ne supporte plus ce mode de communication. Depuis des années, on maintient nos concitoyens dans un climat de peur permanente, peur sanitaire, peur énergétique, peur économique, peur sécuritaire, et, maintenant, peur militaire. Ce que vous n’avez pas compris, c’est que le ressort est cassé. Au lieu de mobiliser, votre discours exacerbe une colère déjà immense. Au lieu d’unir, il fracture davantage. Au lieu d’inspirer, il devient un symbole de morgue, de mépris et de déconnexion totale envers un peuple qui souffre déjà assez ».

Mandon, lui, déguisé en clown alors qu’il n’est pas dans une caserne, continue à délirer tout seul, happé par les caméras. Il en devient accro, comme les gamelins de plateau de LCI ou BFM. Piégé par Macron, il tente de rétropédaler, mais il est déjà carbonisé. Un larbin, ça sert à ça : faire le sale boulot, et une fois sali, partir à la poubelle.

Si une armée se lève en France, et qu’un jour il faille lutter contre un ennemi mortel, ce ne sera pas avec ces faux durs à notre tête. Mandon et ses collègues ne sont pas des chefs pour une bonne et simple raison : à part les journalistes-carpettes, personne ne les respecte. Déjà, c’est pas avec cette tête à rictus qu’on peut mener des hommes au combat.

La Macronie, c’est choisir les pires aux meilleures places, c’est un effondrement moral et professionnel. Pas difficile pour Macron de briller au milieu de ce troupeau de médiocres lèche-culs.

Heureusement, l’axe Macron-Mandon peut compter sur l’agent de la CIA Glucksmann, qui veut à tout prix que les peuples français et russe, qui s’admirent mutuellement, s’entretuent. C’est déjà le cas en Ukraine, où des peuples frères s’exterminent pour le compte de l’euro-mondialisme.

Mais qu’y a-t-il donc de commun aux Français, aux Russes et aux Ukrainiens pour qu’un BHL ou un Glucksmann veuillent qu’ils s’anéantissent ? Grr, nous ne comprenons pas.

La réponse d’un militaire à Glucksmann

Monsieur Glucksmann

Il y a une chose que votre déclaration oublie : la guerre n’est pas un concept moral, ni une métaphore pour discours vibrants.
C’est une réalité physique, brutale, que seuls ceux qui l’ont approchée savent reconnaître.

J’ai servi.
J’ai transporté du matériel, des hommes, parfois des corps.
J’ai entendu ce que l’on n’oublie pas.
J’ai vu ce que l’on ne raconte jamais.
Et je peux vous assurer d’une chose : ceux qui ont vu la guerre ne jouent jamais avec le sacrifice des autres.

Alors quand j’entends qu’interroger un chef militaire, c’est « capituler », je m’interroge.
Parce qu’à mes yeux, le principe même du commandement est de tout faire pour que les parents n’aient jamais à enterrer leurs enfants. Pas de préparer l’opinion à s’en accommoder.

Vous évoquez la « force d’âme », comme si le courage consistait à applaudir la possibilité de nouvelles pertes humaines.
Pour ceux qui n’ont jamais porté un uniforme, la « force d’âme » est un mot commode.
Pour ceux qui ont connu la réalité opérationnelle, elle a un sens précis : éviter que la mort devienne une option normale.

La France vaut mieux que les tirades martiales de ceux qui n’ont jamais vu la guerre autrement qu’à travers des notes et des briefings.
Elle vaut mieux qu’un récit où demander des explications serait une preuve de faiblesse.

Protéger nos enfants n’est pas un déni.
C’est un devoir que certains semblent avoir oublié.

***

Lavrov au sujet du discours du chef d’état-major français

par Dialogue Franco-Russe

«À mon avis il y a déjà une vague d’indignation en France quant à sa volonté de sacrifier les enfants de ses concitoyens. Je ne sais pas d’où viennent ces chefs militaires, dans quelles universités ils sont formés».

source : Dialogue Franco-Russe


- Source : E&R

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