«Macron est une provocation en costume cravate», déclare Viktor Orban
Cette vidéo nous dévoile enfin les enjeux du bras de fer entre Viktor Orban et Macron/UE.
Nous, Peuple de France, rêvons d’être, en ce moment, Hongrois, ce peuple fier qui soutient un président déterminé à faire plier l’UE.
Cette vidéo vous donnera toute la dimension de Viktor Orban et toute la médiocrité crasse de Macron et de nombre de dirigeants européens. Nul doute que la Hongrie sera suivie par l’Italie.
Les Young Global Leaders placés au pouvoir pour détruire les états nations ne peuvent plus se cacher. Orban les contre et il a tout un peuple avec lui, sans compter le soutien des USA de Trump et, à travers la Russie, de la puissance des BRICS.
Cette vidéo est un condensé de pilules rouges et de bonnes nouvelles vers la fin de cette UE et des dirigeants qui n’ont comme mission que l’aboutissement du nouvel ordre mondial.
Macron est fini, il est temps de tirer sur l’ambulance !
"Macron est une provocation en costume cravate..."
— sergio-dde (@sergiodde) November 1, 2025
déclare Viktor Orban.
Cette vidéo nous dévoile enfin les enjeux du bras de fer entre Viktor Orban et Macron / UE.
Nous, Peuple de France, rêvons d'être, en ce moment, Hongrois, ce peuple fier qui soutient un président déterminé… pic.twitter.com/QZ0ui8qewl
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Bukele 91%, Macron 13% : le classement qui humilie l’Occident

par Mounir Kilani
Le Sud construit. L’Occident commente. Bukele enferme, Modi trace, Poutine engrange… et Macron chute dans ses sondages. Le monde assiste, sidéré, au renversement des puissances.
Un classement tombe comme une gifle. Nayib Bukele, 43 ans, tatoué, président du Salvador : 91% d’approbation. Vladimir Poutine : 79%. Narendra Modi : 72%. Et à l’autre extrémité du spectre ? Emmanuel Macron, 13% – lanterne rouge mondiale, talonné par d’autres épaves européennes. Loin d’être un simple sondage, ce constat dessine un séisme géopolitique. Ce miroir multipolaire renvoie à l’Occident son reflet fané : un leadership en ruine, un soft power réduit au murmure.
Alors que les BRICS et le Sud global imposent leurs mots – souveraineté, sécurité, résultats -, Paris et Washington s’accrochent à un dictionnaire usé jusqu’à la corde. Décryptage d’un basculement qui n’a pas besoin de chars pour s’imposer.
Le Sud global dicte la mode
Bukele n’est pas un président. C’est un phénomène. En trois ans, il a fait chuter les homicides de 90%. Il a fait du Bitcoin une monnaie nationale et construit des prisons high-tech pour 40 000 criminels. Résultat ? 91% d’approbation.
Jadis capitale mondiale du meurtre, le Salvador est aujourd’hui le pays le plus sûr d’Amérique latine selon les touristes – et le plus critiqué par l’ONU. Sa narration tient en une formule :
«Sécurité d’abord, droits humains en optionnel».
Et cela fonctionne, car les gens aspirent à dormir tranquilles, bien plus qu’à écouter des leçons de morale venues de Genève.
Les autres leaders du Sud global
Cette soif d’efficacité se retrouve ailleurs.
- Poutine, lui, caracole à 79%. Accusé de tous les maux par l’Occident, il bénéficie d’un soutien forgé dans l’acier de la «défense nationale». Son message, d’une simplicité redoutable –
«L’Occident nous encercle, nous ripostons» est cru par 79% des Russes. Non parce qu’ils seraient manipulés, mais parce que l’économie tient bon. Par un retournement inattendu, les sanctions occidentales dopent les alternatives eurasiatiques.
- Modi, avec 72% d’approbation, peut compter sur le soutien d’un milliard d’Indiens. L’homme construit des autoroutes, des temples, et son initiative «Make in India» attire désormais plus d’investissements que les Jeux Olympiques de Paris. Son narratif est limpide :
«L’Inde d’abord, le monde suit».
Résultat : une réélection triomphale et un G20 où New Delhi impose ses règles du jeu numérique.
L’émergence d’un nouveau standard
Ces trois leaders – Bukele, Poutine, Modi – ne sont pas des exceptions. Ils incarnent une nouvelle norme. Plus de 70% des chefs d’État les mieux notés proviennent du Sud global ou des BRICS élargis. Leur discours s’adresse aux ventres, non aux élites. Ils agissent plus qu’ils ne discourent. Et ils gagnent.
Et Xi Jinping dans tout ça ?
Le Dragon, absent des classements occidentaux par prudence statistique, trône pourtant à ~70% d’approbation interne (sondages ajustés Harvard/Stanford). Pas de Bukele (91%), mais un narratif d’acier :
«Rêve chinois, monde sinisé» – souveraineté absolue, tech (Huawei, TikTok), yuan en embuscade.
Pendant que Macron (13%) sermonne sur la «menace chinoise», Xi finance les BRICS, construit des ports en Afrique, et rit des sanctions en imposant le CIPS. Ironie finale : le seul leader qui n’a ni élection ni sondage public bat largement le «champion de la démocratie» en crédibilité géopolitique.
Le coq gaulois picore ; le dragon, lui, redessine la carte.
Macron, ou l’effondrement jupitérien
Où se situe la France dans ce nouveau paysage mondial ? À la traîne, avec un taux d’approbation de 13% – un niveau d’impopularité qui ferait pâlir un dictateur en fin de règne. Emmanuel Macron se rêvait en «leader du monde libre» ; le voici désormais lanterne rouge mondiale, devancé par les «autocrates» qu’il fustige sur les ondes de France Inter.
Tandis qu’il poste des selfies solennels à Kiev, Nayib Bukele partage des memes sur le Bitcoin et rafle les cœurs – et les clics. Tandis qu’il vante une «Europe qui protège», les Français paient leur essence 2 € le litre et voient leur pouvoir d’achat fondre comme neige au soleil. Tandis qu’il accuse ses adversaires de «populisme», 87% de ses concitoyens le rejettent.
Le contraste est saisissant : la France, jadis phare de la multipolarité gaullienne, n’est plus qu’une ombre dans le grand théâtre des nations. Macron n’est pas seulement un président impopulaire ; il est le symptôme d’un Occident qui parle trop et agit trop peu. D’un leadership narratif à bout de souffle, où «démocratie» rime avec «déclassement» et «Europe puissance» avec «France en panne».
Résultats bruts
Ce décalage se cristallise dans un petit précis de jupitérianisme appliqué :
- 91% : Bukele – «J’arrête les gangs, j’adopte le Bitcoin, je dors tranquille».
- 79% : Poutine – «Je tiens le pays, je tiens l’Occident à distance».
- 72% : Modi – «Je construis des routes, des temples, et l’avenir».
- 13% : Macron – «Je tweete, je sermonne, je perds».
Ainsi, le président français est le seul leader au monde à afficher un score inférieur à son propre taux d’abstention. Bravo, Jupiter. Votre prochain sommet vous attend : l’Olympe des impopulaires.
La perte du dictionnaire : quand les mots se retournent
Depuis 1945, l’Occident régnait sans partage sur le langage géopolitique. Des concepts comme «démocratie», «droits humains» ou «libre marché» constituaient son arsenal rhétorique.
Aujourd’hui, ce vocabulaire a été détourné et réinvesti de sens nouveaux :
- Bukele parle de «sécurité humaine» pour justifier ses méga-prisons.
- Modi invoque le «développement inclusif» pour légitimer son nationalisme hindou.
- Poutine brandit la «souveraineté» pour contrer l’OTAN.
Ce détournement sémantique a des conséquences tangibles. Le soft power hollywoodien s’essouffle, tandis que les taux d’approbation des leaders en Asie et en Amérique latine ont bondi de 15% depuis 2023. Dans le même temps, l’Europe enregistre une chute de 20%.
Désormais, l’Occident ressemble à un vieux professeur qui répète ses leçons, ignorant que la classe est déjà partie.
Ce constat ne révèle pas seulement un changement de dirigeants, mais bien une nouvelle grammaire du pouvoir. Les peuples ne demandent plus des discours, ils exigent des preuves. Le monde ne se divise plus entre démocraties et autocraties, mais entre régimes de résultats et régimes d’excuses. La bataille du XXIe siècle ne se joue plus sur les chars, mais sur les réseaux. En somme, le prestige ne se mesure plus au G7, mais à la viralité d’un message, à la force d’un récit, à la capacité de séduire sans promettre.
Pour survivre, l’Occident devra troquer ses discours contre des résultats, oublier les leçons de morale, et séduire sans dominer. Utopie ? Peut-être. Mais l’utopie d’hier est le réalisme de demain. En attendant, Bukele tweete, Poutine avance, Modi construit.
Macron commente.
- Source : Sergio-dde















