Loi sur l’Euthanasie : « Les infirmiers seront forcés de faire taire les familles avant d’euthanasier des jeunes ! »

Un infirmier dénonce le projet de loi 661 sur l'euthanasie : l'article 9 force les soignants à vérifier le consentement en faisant taire les proches en larmes, sélectionnant ainsi des "psychopathes" pour exécuter des injections létales, même sur des jeunes de 18 ans.
Imaginez un monde où les soignants, ces héros du quotidien, se transforment en bourreaux sans âme. C’est l’horreur absolue que dénonce Éric Mercier, un infirmier courageux, dans une vidéo choc postée sur X qui fait trembler les consciences. Ce projet de loi n°661 sur l’aide active à mourir, voté par 305 députés le 27 mai 2025 et bientôt examiné au Sénat, n’est pas seulement une réforme : c’est une machine à broyer l’humanité ! Comment peut-on en arriver là, en France ? Cette loi risque de sélectionner des « soignants psychopathes », comme le crie haut et fort Éric Mercier. Plongeons dans cette abomination pour comprendre pourquoi il faut s’indigner, et vite.
L’Article 9 : Une clause qui glace le sang
Au cœur de ce cauchemar législatif se trouve l’article 9, que Mercier lit et décortique avec une rage contenue. Cet article oblige le médecin ou l’infirmier, juste avant d’administrer la substance létale, à vérifier le consentement du patient et à veiller à ce qu’aucune pression ne vienne des proches.
Projet de loi n°661 et l’aide active à mourir
Sur le papier, ça sonne presque raisonnable, mais dans la réalité ? C’est monstrueux ! Mercier s’adresse directement à la députée Sophie Errante, l’une des promotrices de ce texte infernal :
« Je suis toujours l’infirmier qui refuse d’être un bourreau et qui refuse de demander à une maman en larmes de se taire ».
Pensez-y : un jeune de 18 ans et un jour sur le point de recevoir une injection fatale. Les parents sont là, dévastés, et l’infirmier doit « veiller » à ce qu’ils ne fassent aucune pression. Mercier hurle son dégoût :
« Je veille comment ? J’ai sélectionné les personnes à l’entrée ? La maman, le papa qui accompagne son gamin qui va se faire euthanasier… Je suis celui qui doit vérifier avant d’injecter, et je suis aussi celui qui veille à ce que les accompagnants… qui ne fassent pas… Lorsque la maman ou le père renifle entre deux sanglots ».
C’est insoutenable ! Obliger un soignant à faire taire une mère en pleurs ? À dire : « Vous allez renifler dans le couloir s’il vous plaît. Silence, hein, silence ». Éric Mercier n’y va pas par quatre chemins :
« Mais vous me demandez d’être un… d’être un psychopathe ? C’est ça ? »
Cette loi ne protège pas, elle corrompt. Elle force les infirmiers à devenir des monstres froids, indifférents à la souffrance humaine. Et si un soignant refuse ? Sa carrière explose, il part. Résultat : seuls les plus insensibles resteront pour appliquer cette horreur.
Les implications terrifiantes pour les soignants et les patients
Ce projet de loi sur l’euthanasie en France n’est pas qu’une question médicale ; c’est un séisme éthique qui menace les fondations de notre société. Éric Mercier prévient :
« Tous les soignants horrifiés par votre projet de loi 661… leur carrière va exploser, ils vont partir. Mais juste après, que ce que cette loi va faire ? Elle va sélectionner les soignants qui vont rester, les soignants qui vont accepter, et les soignants qui vont pratiquer ».
Et les patients ? Les plus vulnérables, les pauvres, les isolés ? Ils seront les premières victimes de ce système glaçant :
« Franchement, contactez-moi, contactez-nous. Dites quelque chose, madame. Vous ou quelques-uns de vos 305 collègues qui avaient appuyé sur ce bouton ».
Comment des élus peuvent-ils voter pour ça sans sourciller ? L’article 122-4 du code pénal rend même le soignant pénalement responsable s’il ne respecte pas à la lettre cet article 9. Du coup, pour se protéger, il devra imposer un silence de mort – littéralement – autour du lit du mourant.
« Si le soignant veut être détendu, il a intérêt de vérifier à ce que les participants se taisent pour ne pas risquer de faire renoncer le gamin à son injection létale ».
C’est abject ! Cette loi ne soulage pas la souffrance ; elle l’amplifie en déshumanisant tout le processus. Comment en est-on arrivés à légaliser une telle barbarie sous couvert de compassion ?
Un appel à la mobilisation contre cette loi infernale
Éric Mercier n’est pas seul dans son combat. Des milliers de citoyens, de soignants, s’élèvent contre ce projet de loi euthanasie France qui va être débattu au Sénat. Il martèle :
« Nous allons être plus en plus de citoyens particulièrement vigilants sur qui va souhaiter que nous appliquions cette horreur ».
Et il a raison : il faut stopper cette folie avant qu’elle ne détruise l’âme de notre système de santé. Si vous êtes horrifié par cette situation immonde, partagez cette vidéo, interpellez vos députés, signez la pétition. La France mérite mieux que de transformer ses infirmiers en exécuteurs sans cœur.
- Source : Le Média en 4-4-2