Vignes arrachées, forêts abandonnées : Comment l’UE a transformé l’Aude en poudrière… avant d’accuser le climat

Les incendies de l’Aude ne sont pas qu’un fait du ciel ou de la sécheresse : ils sont le fruit d’une politique délibérée. Derrière les 15 000 hectares partis en fumée en 24 heures, se cache une bureaucratie bruxelloise obsédée par la destruction méthodique de nos remparts naturels.
La folie destructrice de Bruxelles
L’UE, sous couvert de « renaturation », a exigé le démantèlement des barrages en Espagne, transformant les plaines en zones inondables. En France, le ministère de l’Agriculture achève le travail. Sous prétexte de la pénurie des bouteilles en verre fabriquées par des usines ukrainiennes qui ont fermé, de l’augmentation des coûts de la production, des vignobles entiers sont rasés « de manière définitive », selon ses propres termes. Afin de « Réduire la dépendance aux engrais russes » selon un décret de 2022, repris par la PAC, un droit de douane de 6,5 % sur les engrais importés de Russie et de Biélorussie sera instauré en 2025 et 2026, assorti d’une taxe entre 40 et 45 €/tonne dont le montant sera porté à 430 €/t d’ici à 2028… L’arrachage, sous prétexte de guerre en Ukraine, est définitif. On ne peut qu’en conclure à la volonté de prolonger cette guerre indéfiniment.
Les vignes, pourtant barrières naturelles contre les incendies, laissent place à des friches inflammables. Le résultat ? Des incendies monstrueux, prévisibles, et surtout… fort pratiques pour justifier la suite.
Subventions et sabordage organisé
La méthode est rodée : noyer les pêcheurs baltes sous les réglementations, leur offrir des primes pour couler leurs bateaux, puis les regarder sombrer dans l’alcoolisme. Même scénario pour les agriculteurs français, payés pour arracher leurs vignes et interdits de replanter. L’objectif ? Réduire l’offre, faire flamber les prix, et précipiter les Européens dans une misère calculée. Le tout au nom d’un climatisme qui, ironiquement, aggrave les catastrophes qu’il prétend combattre.
L’écologie, cheval de Troie de la décivilisation
Demain, le DSA (Digital Services Act) criminalisera le « doute climatique », interdisant même ce genre de propos. Mais comment ne pas voir le cynisme d’une caste qui, tout en promouvant panneaux solaires et éoliennes made in China, s’enferme dans des datchas climatisées ? L’Europe n’est plus celle du Concorde ou du TGV, mais celle des terres en friche et des paysans expropriés. Jusqu’à quand laissera-t-on ces pyromanes diriger les pompiers auxquels ils ne concèdent que des Canadairs de 30 ans d’âge ?
Aldo Sterone : « Incendies de l’Aude, comment l’UE et l’Escrologie sont cœur de la catastrophe ! »
- Source : Le Média en 4-4-2