Notre président est-il atteint de troubles psychotiques !

Soyons clair notre président depuis longtemps n’est plus en phase avec la réalité et avec son peuple.
Cela a commencé dès son arrivée au pouvoir.
Souvenez-vous :
Le 28 juin 2017, installé dans une ancienne gare, Emmanuel Macron déclare :
« Une gare, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien ».
Le 24 juillet 2018 en pleine affaire Benalla, du nom de son ex-garde du corps, Emmanuel
Macron fulminant avait lancé aux parlementaires de sa majorité :
« On ne peut pas être chef par beau temps. S’ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu’ils viennent me chercher », Emmanuel Macron.
Le 29 août 2018 au cours d’un déplacement au Danemark, il compare les Danois, un « peuple luthérien », aux Français, « des Gaulois réfractaires au changement ».
Le 15 septembre 2018 à l’occasion des Journées du patrimoine, l’Élysée accueille des visiteurs, dont un jeune horticulteur qui ne trouve pas de travail. Le chef de l’Etat lui assure que du travail, il y en a en France : « Dans l’hôtellerie, les cafés et la restauration, dans le bâtiment, il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens. Pas un ! Hôtels, cafés, restaurants, je traverse la rue, je vous en trouve ».
Le 4 janvier 2022 en plein COVID, il est interrogé par les lecteurs du Parisien sur les Français qui ne sont toujours pas vaccinés, il répond :
« Avoir très envie de les emmerder. Et on va continuer à le faire jusqu’au bout ».
Le 6 mars de cette année, dans son allocution aux Français, il affirme que « la Russie est devenue une menace pour la France » et annonce son intention d’ »ouvrir le débat stratégique « sur la protection de l’Europe par le parapluie nucléaire français ».
Le jeudi 22 mai interrogé par l’Express sur le sujet de la dette et des finances publiques, il répond à une question en se félicitant des résultats de sa politique économique alors que notre dette dépasse 3,3 milliards d’euros.
Enfin, ce samedi, il a de nouveau tenu des propos ahurissants à la veille de l’ouverture de la troisième conférence de l’ONU sur les océans :
« Je ne veux pas que ni le gouvernement, ni le Parlement ne cèdent aux facilités du moment » ajoutant qu’il était impératif de ne pas « faire oublier le combat pour le climat » et « préférer, pendant ce temps-là, “brainwasher” (lavage de cerveau) sur l’invasion du pays et les derniers faits divers ».
Oui, avec tous ces agissements, on doit se poser la question : Emmanuel Macron, est-il sujet à des troubles psychotiques. Certes, je ne suis pas psychiatre, mais il suffit d’aller sur Internet pour trouver une définition objective du mot psychose :
La psychose est un terme générique en psychiatrie désignant un trouble ou un état anormal de l’esprit, évoquant le plus souvent une ou des obsessions avec pour résultat une « perte de contact avec la réalité ».
Or, les exemples que je viens de donner montrent que chez lui le réel n’est plus en adéquation avec sa perception des événements. Sa déconnexion avec le quotidien et les nombreux problèmes des Français est indéniable.
Revenons sur sa dernière sortie sur le climat.
Empruntant la rhétorique de Marine Tondelier, ces paroles minimisent l’insécurité. Pour lui, il n’y a pas de véritable danger à vivre en France. Pour lui, nous nous gorgeons simplement de faits divers. Je rappelle que la définition dans le Larousse de fait divers est :
Événement sans portée générale qui appartient à la vie quotidienne.
Associer le mot fait divers avec “brainwasher” (lavage de cerveau) c’est considéré que les Français, qui mettent aujourd’hui l’insécurité comme première de leurs préoccupations, sont des abrutis, des ignares qui se font manipuler par ceux qui voient le mal partout.
Pourtant, ce sont nos concitoyens qui sont dans le réel puisque d’après un dernier sondage Ipsos du mois de mai la criminalité et la violence sont leur première préoccupation. « Jupiter » en pointant comme vital l’écologie ne met en avant que la 7e préoccupation des sondés. Encore une fois, il est bien en dehors de la réalité.
Est-ce surprenant ? Pas le moins du monde, cela fait longtemps que les Français ne l’intéressent plus. D’ailleurs, il est visible qu’il n’est plus à leur service. Lui le mondialiste est passé à un stade plus élevé : il se verrait bien à la présidence de l’Assemblée européenne à la place de Von der Leyen ou secrétaire général des Nations Unis.
Quel camouflet pour ceux qui ont voté pour lui et qui croyait mettre au pouvoir le sauveur de la France !
Maintenant, une autre interprétation est possible au lieu de refuser la réalité, ce qui le situe dans un cadre d’aliénation mentale, nous pouvons le voir comme un pur politicien négateur de la vérité et dans ce cas, nous sommes dans un cadre idéologique.
Je laisse le soin au lecteur de « Place d’Armes » de trancher ce dilemme !
Mais que cela soit dans la première ou dans la seconde situation, il n’y a qu’une question qui me vient à l’esprit :
Qu’attend-il pour démissionner ?
L'auteur, Jean-Pierre Fabre-Bernadac, président de Place d'armes, est diplômé de Sciences-Po Toulouse, ainsi qu’en criminologie et en criminalistique.
Ancien officier de Gendarmerie passé par l’infanterie, il a dirigé la compagnie départementale de Lyon-Bron (Est lyonnais) et l’Escadron de Gendarmerie Mobile de Narbonne dissout sous le gouvernement Sarkozy.
Sa compagnie de Lyon-Bron traitait une moyenne de 2500 crimes et délits par an à la fin des années 80. Il a aussi été responsable de la formation des officiers de police judiciaire au centre de documentation et de pédagogie de la gendarmerie.
(Source : Boulevard Voltaire + Librairie Eyrolles)
- Source : Place d’armes