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Vendredi, 19 Avr. 2024

Elections américaines : Biden importe les technologies des révolutions de couleur et met fin à la légitimité électorale

Auteur : Karine Bechet-Golovko | Editeur : Walt | Lundi, 09 Nov. 2020 - 07h00

Alors que le monde politico-médiatique bien-pensant se gargarisait un peu tôt d'une victoire écrasante de Biden, qui devait signifier la victoire écrasante du "nouveau monde", porté par un papi grabataire, d'un monde progressiste, du monde globaliste contre les Hommes et les Etats, le combat s'avère beaucoup plus rude que prévu. Toutes les technologies de trucage électoral grossier ont été mises en place, de la disparition / apparition de bulletins, de la suspension des décomptes, de la manipulation médiatique, pour finalement en arriver à la mise en place d'un "staff de transition du pouvoir Biden-Harris". Un véritable vainqueur aurait-il besoin de cela ? Quand les Etats-Unis trébuchent sur leurs propres cadavres, pour finalement ressembler à leurs marionnettes, biélorusse ou vénézuélienne. C'est la mort du système électoral, déjà mal en point, qui se joue aux Etats-Unis, n'étant plus possible comme mécanisme d'accession au pouvoir conformément à la volonté populaire. C'est la fin de la souveraineté populaire qui se joue, incompatible avec la globalisation.

Rien n'a été épargné par les Démocrates à l'agonisante démocratie américaine. Ce qui montre bien que la démocratie intéresse bien moins que le pouvoir, que le soutien populaire à un projet idéologique, en l'occurrence globaliste, est secondaire - la fin justifie les moyens.

Et en matière de manipulation des élections, tout a été mis en oeuvre. En commençant par la préparation de longue date de l'opinion publique sur le mode du Bien (Biden) contre le Mal (Trump), devant conduire les électeurs à faire le bon choix - Biden. Et ainsi, chacun attendait l'arrivée de la grande vague Démocrate, qui devait sauver le pays. Comme décrit dans cet article de Marianne :

Il fallait entendre la détresse de Léa Salamé, dans la matinale de France-Inter consacrée à l’analyse de la présidentielle américaine. Rien ne s’était déroulé comme prévu. Elle en était toute retournée, la pauvre. Donald Trump devait être battu à plate couture, Joe Biden devait être plébiscité, c’était couru d’avance, les sondages le disaient semaine après semaine, la presse mainstream le proclamait depuis l’arrivée de Trump à la Maison Blanche, on préparait déjà les lampions de sa défaite annoncée.
Boum, les deux candidats sont dans un mouchoir de poche.
Et Léa Salamé de demander d’une voix angoissée à tous les invités du service public : « Mais que s’est-il passé ? ».

Ensuite, le panel des pratiques frauduleuses fut on ne peut plus large. Le système de fraude avait déjà été révélé, sans provoquer plus d'indignation que cela, puisqu'il était du fait des Démocrates. Comme le décrivait un article du New York Post, le vote par correspondance est propice à la fraude à grande échelle : ouverture des envelopes et modification du bulletin, destruction du bulletin, pressions, bourrages, etc.

Voici quelques exemples de ce qui a été révélé ces dernières heures. Tout d'abord en ce qui concerne les inscriptions au vote :

 

Ensuite, avec les bulletins de vote :

En bloquant le travail des observateurs :

Et en interrompant le décompte des voix :

Des arrivages aussi soudains que massifs de voix, exclusivement en faveur de Biden :

Ce qui provoque dans ces Etats une remontée spectaculaire de Biden :

Pourtant, la situation au Michigan est très étonnante. Car si CNN, cour suprême médiatique, a donné le ton en attribuant à la victoire à Biden, en regardant les résultats officiels sur le site de la commission électorale (ici), l'on observe la victoire de Trump :

Le niveau de manipulation est sans précédent. Ainsi, certains Etats, a priori remportés par Trump, retardent l'annonce des résultats et bloquent ainsi les chiffres temporaires donnant une avance à Biden.

Pourquoi ces manipulations si Biden était certain de gagner ? Il ne l'est pas, mais les Démocrates ne peuvent se permettre de perdre une deuxième fois les élections. Sinon, le désaveu de la population envers le globalisme, au coeur du pays qui doit le porter, porterait un coup grave à cette idéologie. C'est pourquoi Biden et les Démocrates finissent par reprendre à leur compte la technologie destructrice des révolutions de couleur.

Evidemment, des mouvements de contestation ont été organisés en avance, par Zoom, afin de coordonner les attaques anti-électorales le moment venu. Mais cette fois-ci, Biden va plus loin : il met en place un staff de transition du pouvoir. Et maintenant, on voit tout l'intérêt de ce cirque monumental. Des élections aussi ouvertement manipulées obligent à saisir la justice, donc à retarder l'annonce des résultats, sans oublier les Etats qui, d'eux-mêmes, décident de ne pas annoncer tout de suite le vainqueur. Cela met en place une période d'incertitude pendant laquelle un coup d'Etat politico-médiatique est possible. Le "staff de transition" permet de gérer ce coup d'Etat.

"The American people will determine who will serve as the next President of the United States. Votes are still being counted in several states around the country. The crises facing the country are severe — from a pandemic to an economic recession, climate change to racial injustice — and the transition team will continue preparing at full speed so that the Biden-Harris Administration can hit the ground running on Day One."

C'est la première fois qu'un parti politique majeur oeuvre à ce point ouvertement contre son pays. Car c'est tout le système politique et institutionnel américain qui est mis dos au mur par Biden et les globalistes, qui jouent la politique de la terre brûlée, emportant avec eux les mécanismes de la légitimité électorale, donc la volonté populaire légitimant l'accession au pouvoir. Le monde de la globalisation ne peut se permettre la légitimité populaire, sa légitimité vient d'une minorité dominante, non pas de la majorité populaire. Le vote populaire n'a pas sa place ici. Puisque le peuple n'a plus sa place dans ce monde.

***

Un facteur de la poste américaine affirme que son supérieur a ordonné l’antidatage de bulletins de vote en Pennsylvanie

Un facteur du service postal gouvernemental de Pennsylvanie estime avoir été témoin d’une fraude électorale. Dans une déclaration rapportée par le groupe activiste Project Veritas, il affirme que son chef a ordonné d’antidater les bulletins qui sont arrivés après l’élection afin de les rendre valides.

Alors que Donald Trump continue de contester le résultat de l’élection présidentielle, des soupçons de fraude électorale se font entendre dans plusieurs États-clés, notamment en Pennsylvanie. Le groupe activiste Project Veritas, qui lutte contre le parti pris médiatique et la corruption, a interrogé Richard Hopkins, employé de l’US Postal Service (USPS), lequel dénonce une pratique illégale dans sa ville.

Jeudi 5 novembre, ce facteur aurait entendu une conversation entre son supérieur et un autre employé au sujet de l’antidatage de bulletins de vote arrivés au lendemain de l’élection, le 4 novembre, pour y indiquer la date du 3 et les rendre ainsi légaux. Les faits se sont déroulés dans le bureau postal d’Erie, en Pennsylvanie.

Selon lui, la plupart des bulletins de vote par correspondance sont arrivés trop tard et auraient dû être annulés, selon la loi américaine. Mais l’antidatage a permis de tous les comptabiliser, sauf un, estampillé par erreur avec la date correcte du 4 novembre. Contacté par Project Veritas, le chef de la poste du comté en question a simplement répondu que ces allégations étaient «fausses» avant de raccrocher au nez de son interlocuteur.

En Pennsylvanie, au soir de l’élection, Trump bénéficiait d’une confortable avance sur son rival démocrate Joe Biden. Mais au cours des trois jours suivants, le comptage des votes par correspondance a réduit à néant cet écart, permettant même à Biden de remporter d’une courte tête les 20 grands électeurs de l’État.

Une enquête a été ouverte par l’USPS, qui a envoyé des inspecteurs pour connaître la version des faits de ce «lanceur d’alerte».

Autres soupçons de fraude

Project Veritas a également rapporté des pratiques frauduleuses présumées dans deux autres États-clés, le Michigan et le Nevada. Dans le premier, un employé de la poste affirme avoir reçu l’ordre direct de séparer les bulletins de vote tardifs du reste du courrier afin qu’ils soient estampillés de la date du 3 novembre. Dans le second, un facteur est soupçonné d’avoir donné à un journaliste en civil un paquet de bulletins inutilisés envoyés à des adresses incorrectes. (Sputnik)


- Source : Russie politics

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