www.zejournal.mobi
Vendredi, 03 Mai 2024

Combien de soignants suspendus pour 1 député non-vacciné ?

Auteur : Modeste Schwartz | Editeur : Walt | Vendredi, 14 Avr. 2023 - 18h59

On nous invite apparemment à une nouvelle séance de coupage de cheveux en quatre : faut-il suspendre l’abrogation, ou abroger la suspension ? Des soignants, ou des députés ? Et si, pour changer, on appelait un Davos un Davos ?

Admettons – bien que ce ne soit pas du tout ce que les données démographiques de P. Chaillot suggèrent – qu’il a bien existé, en 2020, une pandémie ou une autre, et même une virose pandémique –auquel cas la volonté de mettre à l’abri les patients des hôpitaux, fragilisés par d’autres affections, aurait été légitime.

Admettons, toujours dans l’intérêt de cette expérience intellectuelle, que les doses d’élixir ARNm aient toutes contenu du sérum physiologique ou du jus de choucroute. Ce qui revient à admettre que – à défaut d’empêcher quelque « transmission » que ce soit – elles n’aient, en tout cas, nui à aucun inoculé.

L’ennui, ce sont ces déclarations déjà anciennes de J. Lassalle – jamais infirmées ou poursuivies à ma connaissance – affirmant que la plupart de ses collègues députés, tout comme le mari de Brigitte, ne sont vaccinés que sur le papier.

Faut-il réintégrer les soignants, ou piquer la représentation ?

Compte tenu de ces déclarations, les conclusions suivantes s’imposent à propos de cette « représentation » parlementaire (de Davos) qui joue actuellement à suspendre sans abroger et à abroger sans suspendre :

Quand bien même on supposerait ces élus sincères dans la perception – qu’ils affichaient tous à l’époque – de la pandémie imaginaire comme un danger réel, ce que suggère leur conduite, c’est, pour le moins, que, pour la plupart, ils jugeaient ces fameuses injections, frauduleusement contournées par eux, comme plus dangereuses que ledit « virus tueur ».

Et ce, pendant qu’ils nous recommandaient chaudement de nous faire piquer, et appuyaient pour la plupart le sadisme du fils préféré de Davos, quand ce dernier décidait « d’emmerder » les citoyens non-piqués, ou encore – pour revenir à l’actualité – de jeter à la rue sans chômage une partie du personnel de santé.

Je préfère laisser des camarades mieux versés que moi en droit nous dire où – de la complicité de tentative d’empoisonnement à la haute trahison – pourrait se situer l’encadrement juridique de tels actes, et quels tribunaux (ou cours martiales ?) devraient « normalement » s’occuper d’envoyer cette engeance – virtuellement inéligible, en tout état de cause – à l’ombre pour un bon bout de temps.


Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...