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Vendredi, 19 Avr. 2024

Coronavirus et campagne forcenée pour le marquage du bétail humain

Auteur : Jean-Yves Jézéquel | Editeur : Walt | Lundi, 22 Août 2022 - 17h19

On sait aujourd’hui que le décompte des « morts du Covid » doit être radicalement remis en cause. On sait aujourd’hui que les « vaccins anti-covid » ont provoqué de graves effets secondaires… ainsi que des morts par milliers ! On se souvient que ceux qui osaient donner ces informations, il y a quelques mois à peine, étaient aussitôt traités « d’irresponsables » ou de « complotistes » !

Chacun doit se demander en conscience : qui sont donc ces gens qui ont pu se permettre de traiter les veilleurs, les lanceurs d’alertes, les informateurs responsables, des experts dans ces questions de santé, « d’irresponsables et de complotistes » ? Qui sont ces personnes arrogantes, habitées par le mensonge et méprisant à ce point l’humanité par leurs motivations égocentriques donnant raison à leurs conflits d’intérêts placés de ce fait bien au-dessus de toute conscience morale de base ?

En réalité, l’humanité a toujours produit ce genre « d’anomalie  » qu’elle a régulièrement été obligée de corriger, afin d’empêcher qu’elle ne conduise les humains à leur fin prématurée… C’est difficile à entendre mais c’est la réalité !

La revue scientifique Nature et cette autre revue, The Lancet, qui veut sans doute se refaire une virginité, ont décidé toutes les deux de traiter objectivement les questions du décompte des morts de la Covid-19 et des myocardites provoquées à la chaîne par les injections dites anti-Covid.

Selon ces deux revues et les scientifiques qui s’y prononcent, il y a 40% d’erreur dans le décompte des décès de la Covid-19. Ce décompte n’a servi qu’à fomenter la terreur de la mort et à préparer le terrain de la propagande pour la campagne de « vaccination », en réalité cette injection de nanotechnologie pour « le piratage des animaux humains » comme l’ont si bien formulé les pervers amis de Klaus Schwab du Forum Economique Mondial de Davos. 

Pour que ce marquage puisse fonctionner et donc pour que le « piratage des animaux humains » soit possible, il faut sans doute une quantité de graphène suffisante injectée dans le corps ; cela expliquerait la stratégie des « vaccinations » répétitives organisées dans le mensonge absolu (une dizaine de prévues, compte tenu des stocks achetés par l’UE) et d’où viendraient la colère et la volonté de Macron « d’emmerder » « affectueusement », dixit le « Young Global leader » de l’Elysée, tous ceux qui refusent de se faire marquer comme de vulgaires animaux domestiques du troupeau des  nouveaux « esclaves » !

Selon Harari, un grand ami de Klaus Schwab, la technologie du cloud, comme la plate-forme d’IBM ou celle de Bill Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution. 

« Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini ».

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé ».

« En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées . Mais en temps de crise, c’est une fenêtre d’opportunité ! »

« Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … »

« Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, le cloud d’ibm, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle ».

« Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Klaus Schwab. 

Comme si la vie organique n’avait pas été façonnée par la conception intelligente de la nature. Au lieu d’avoir une sélection naturelle nous aurons maintenant une sélection artificielle !

Ces hommes arrogants prétendent donc être plus intelligents que la nature et d’être désormais capables de façonner une vie qui sera supérieure à tout ce qui est vivant dans le monde ! Ce sont des gens pareils qui ont pris le pouvoir et qui nous imposent cet abominable transhumanisme dans lequel il n’y a plus trace de ce qu’est la beauté de la conscience et de la liberté qui est une manifestation de la conscience ! (Source : anguillesousroche.com)

Selon les scientifiques de ces deux revues spécialisées, Nature et The Lancet, les « injections » à ARN messager, n’avaient pas du tout une finalité sanitaire, comme on le dit déjà depuis le début de cette comédie pathétique…

Le 9 juin, Nature révèle dans le détail comment les experts de l’OMS ont pu compter 40% en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de la Covid-19. (Cf.,  Van Noorden, Richard. « COVID death tolls: scientists acknowledge errors in WHO estimates», Nature, 1er juin 2022, vol. 606,7913 (2022) : 242-244. Doi :10.1038/d41586-022-01526-0, https ://www.nature.com/articles/d41586-022-01526-0)

C’est la méthodologie utilisée à dessein par les experts de l’OMS, qui a permis aisément cette falsification. Les « modélisateurs » mathématiques qui ont été utilisés, étaient défaillants et cela se savait depuis le début.

A son tour, The Lancet publiait le 11 juin quelque chose d’encore plus sidérant : une étude rétrospective pour comparer les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite aux injections des produits à ARNm de Pfizer et de Moderna. 

Pour les deux substances injectées, le risque était le même, c’est-à-dire, bien plus élevé que ce qui a été constaté habituellement chez les 18-25 ans, sachant que les données récoltées par la pharmacovigilance ont été largement insuffisantes du fait de la résistance des médecins à déclarer ce qu’ils constataient et compte tenu de la pression scandaleuse qui s’est exercée sur eux, les menaçant de suspension ou de radiation de l’Ordre des Médecins…

(Cf., Hui-Lee Wong, Mao Hu, Cindy Ke Zhou, Patricia C Lloyd, Kandace L Amend, Daniel C Beachler et al, « Risk of myocarditis and pericarditis after the COVID-19 mRNA vaccination in the USA : a cohort study in claims database », The Lancet, 11 juin 2022, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(22)00791-7/fulltext)

Les doses dites de “rappel » augmentaient ce risque et les médecins de ville, généralistes, constataient cette hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez les jeunes. Le ministre de la santé allemand a admis, le 12 juin dernier, que la campagne d’injections dite « anti-Covid », avait eu pour effet principal, un affaiblissement du système immunitaire de ses concitoyens, ce qui expliquait désormais qu’ils étaient devenus plus vulnérables aux autres virus toujours existants !

Du coup, ce même ministre recommandait la poursuite intensive des « vaccinations », car le mal étant fait, il n’y avait plus d’autres solutions que celle de s’enfoncer davantage dans cette erreur ! (Cf., David Berger, «Lauterbach gibt zu: Coronamaßnahmen haben Immunsystem schwer geschädigt», Philosophia Perennis, 6 juin 2022, (en allemand), https://philosophia-perennis.com/2022/06/06/lauterbach-gibt-zu-coronmassnahmen-haben-immunsystem-schwer-geschaedigt/)

Selon les derniers chiffres officiels, 65.629 décès sont dus aux injections anti-Covid-19 et 10.439.642 blessures ont été signalées au 24 février 2022 pour l’ensemble des pays de l’Union Européenne, des USA, du Royaume-Uni… (Cf., The European Medicines Agency (EMA); The Medicines And Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA); The United States Food And Drug Administration (FDA); The Centers For Disease Control And Prevention (CDC)-)

Les médias aux mains des milliardaires, qui se sont entendus pour soutenir la campagne de propagande à la demande des responsables du FEM de Davos voulant exploiter « la fenêtre d’opportunité » qu’offrait cette fausse pandémie, se sont livrés corps et âme à la cause du « transhumanisme » qui se cachait derrière toutes ces aberrations que l’OMS elle-même avait répétitivement été obligée de démentir en se contredisant de multiples fois. Le Pr Perronne, ancien expert de l’OMS, nous expliquait dans une interview, que la fondation Bill Gates avait le contrôle total de l’OMS, puisqu’elle est le sponsor principal, majoritaire des fonds attribués à l’OMS. (Cf., « Les Incorrectibles » GETTR, du 16 janvier 2022, animée par Eric Morillot.)

Tout ce qu’a publié le Professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s’opposent à leur agenda mondialiste et à leur « croyance obscurantiste sur la Covid- 19 ». 

A l’heure actuelle, le wokisme, le covidisme, le « vaccinalisme » et l’Ukraine ont fait de nos Talibans médiatiques des références doctrinales incontournables pour le triomphe de la vérité révélée par le dieu du Nouvel Ordre Mondial : les véritables scientifiques sont harcelés par la terreur de ces charlatans au service du système.

Prochainement nous aurons un sérieux nettoyage à planifier au sein de la société humaine : la colonie pénitentiaire de Kafka ou le monde orwellien, faisant partie de l’épisode obscurantiste des talibans médiatiques…

Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19, il y avait 140 malades par semaine pour 100.000 habitants ; pour une grippe normale c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100.000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis deux ans et demi, (chiffre qu’il faut encore revoir à la baisse, compte tenu des falsifications relevées récemment dans les statistiques rapportées par les organismes officiels !) 

Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus comme inutiles, (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence Européenne du Médicament » a déclaré en début d’année : 

« Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire ». (Cf. AEM de janvier 2022)

(Cf., Sommet mondial sur le Covid: 17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l’état d’urgence sanitaire, France Soir, 26 mai 2022. Covid-19 : un déficit immunologique responsable de près d’un quart des formes sévères chez les vaccinés, TF1 Info, 15 juin 2022.)

 Les travaux les plus avancés semblent être ceux de L’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Techniques OPECST : 

« Un vacciné sur 340 consulte un médecin après sa vaccination, pour grande fatigue, fièvre, maux de tête, de ventre, musculaires, rougeurs sur sa peau, paralysie partielle, troubles cérébraux ou cardiaques … Un sur 1434 a quelque chose de très grave qui peut se terminer en handicap permanent et enfin un sur 28 000 en meurt ».

Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces « vaccins » : les « vaccinés » ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés !

(Cf., site officiel « Vax Impact », pour les 60 à 79 ans : la proportion d’infection parmi les vaccinés (2 ou 3 doses) est systématiquement supérieure à celle observée chez les non-vaccinés, à partir du mois de mars 2022. https://covidtracker.fr/vaximpact/)

Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES. 

En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît hypocritement, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection ».

https://www.youtube.com/watch?v=jEmy9PeuRLU

Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté ! Pour se moquer du monde personne ne fait mieux !

https://www.clarkcountytoday.com/news/bill-gates-whats-the-point-of-mandates-if-the-vaccines-dont-work/

Cerise sur le gâteau, le Laboratoire Pfizer déclare : « aucun des effets secondaires ou graves survenus chez les personnes après le « vaccin » anti-Covid, n’est lié au « vaccin » ! Les cas de problèmes graves sont tellement nombreux que le laboratoire faisait cette déclaration en vue de se protéger face au déluge de plaintes qui allaient inévitablement lui tomber sur la tête. 

Pfizer refuse catégoriquement d’admettre que l’un des effets très néfastes tels que la mort ou des lésions neurologiques soit dû à son vaccin.

https://southfront.org

Mais, qu’à cela ne tienne, les Macron et leurs équipes de pervers, veulent à tout prix continuer et renforcer la campagne de « vaccination » en la généralisant aux enfants eux-mêmes ! Ils continuent de dépenser l’argent public dans l’achat de ces substances mortelles ou dangereuses pour la santé physique et mentale, sans parler des objectifs réels poursuivis par ces injections …

CONCLUSION

Dans cette histoire de la « pandémie Coronavirus » tout est faux de A à Z ; tout est manipulé ; tout a été acheté, et ce qui ne pouvait pas l’être a été menacé de « mise à pied », de « suspension », de « radiation », de sanction, de répression judiciaire, policière, fiscale… Les scientifiques qui ne pouvaient pas être achetés ont été purement et simplement menacés dans leur existence ou pour l’avenir de leur carrière. 

Les médecins eux-mêmes ont été obligés de se taire et de tenir le discours du narratif officiel mensonger, sous peine de radiation de l’Ordre des médecins ou d’une condamnation pour « faute professionnelle » ou rébellion…

Tout a été martyrisé, persécuté, menacé, sanctionné sans pitié et sans scrupules… L’argent de la trahison a coulé à flot, bien plus que les trente deniers symboliques de la tradition judéo-chrétienne paulinienne !

Les salauds, les ordures et les pervers ont proliféré soudain sous nos yeux ébahis, faisant ouvertement de la vérité un mensonge et du mensonge la vérité, nous traitant de « complotistes », de « terroristes », d’extrême droite, de « populistes »… 

Lorsque nous affirmions que c’était « la Terre qui tournait autour du soleil et non pas le soleil autour de la Terre », ces chiens de garde de la trahison de l’humanité aboyaient en meutes nous renvoyant à « l’évidence du contraire », nous condamnant au bûcher pour avoir osé critiquer la doxa du narratif des mondialistes au pouvoir, eux qui savaient contrairement aux pauvres rebelles que nous étions et qui n’étaient « qu’ignorance et inutilité » depuis notre naissance ! Nous devions « croire » que c’est le soleil qui tourne autour de la Terre, cela étant une « évidence » que seuls les « complotistes » refusaient de voir !

Les « inutiles » devaient être éliminés, les « substituables » devaient être transformés par le transhumanisme en machines à servir les Maîtres absolus de la vie piratée !

Plus que jamais, nous avons le devoir de nous battre en résistant, en refusant de nous soumettre à cette tyrannie déguisée de bons « prétextes sanitaires », de « responsabilité morale », de « devoir »…

L’humanité a été conduite à l’échafaud, des vies ont été ruinées, les récalcitrants sont encore maltraités, les vieux ont été achevés à coups de Rivotril, les enfants sont muselés et piqués aux produits toxiques remplis d’oxyde de graphène et d’autres substances dangereuses pour la santé physique et mentale. 

La chute fatidique du Capitalisme ultra libéral devait être camouflée par le triomphe des plus riches, la ruine de l’économie, le chômage de masse, les faillites tragiques en très grand nombre, le passage forcé au tout numérique, la disparition de l’argent liquide et le passage au contrôle par le passe vaccinal dont le QR code permettra une identification numérique reliant tout à tout ce qui regarde une personne : ses dossiers de santé, son activité bancaire, ses loisirs, ses fréquentations, ses centres d’intérêts, ses affaires privées, ses idées, sa sexualité … etc.

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’un « Etat policier mondial », contrôlé par la finance. C’est de cette manière que la gouvernance mondiale se mettra en place, grâce à la marque du chiffre dont chacun devra être porteur sous peine d’exclusion et d’élimination du champ contrôlé de la vie.

***

Avec l’aide du WEF, le Canada va lancer un programme fédéral d’identification numérique

Les représentants du gouvernement ont déclaré que le programme était "l'équivalent électronique d'un document de preuve d'identité reconnu", tel qu'un permis de conduire ou un passeport, qui "confirme que "vous êtes qui vous prétendez être" dans un contexte numérique".

Le gouvernement canadien, s’appuyant sur un partenariat avec le Forum économique mondial (WEF), élabore un nouveau “programme d’identité numérique” fédéral.

L’objectif de cette nouvelle initiative est de développer un document numérique de preuve d’identité, qui pourrait être utilisé dans différents systèmes et environnements allant des services gouvernementaux aux aéroports et au contrôle des frontières, selon Slay News.

Les responsables ont révélé les détails du programme dans le vaste rapport du gouvernement intitulé “Ambition numérique du Canada 2022”, publié le 4 août.

Selon le rapport, le “Programme d’identité numérique” fait partie de la priorité 2.2 de l’”Ambition numérique” du Canada, qui vise à “élaborer et utiliser des solutions communes pour la prestation de services numériques”.

“Notre prochaine étape pour permettre le gouvernement numérique est l’adoption d’un modèle de prestation de services “gouvernement en tant que plateforme””, indique le rapport. Le programme fédéral d’identité numérique est “la prochaine étape pour rendre les services plus faciles d’accès”.

Les responsables ont déclaré que le programme était “l’équivalent électronique d’un document de preuve d’identité reconnu”, tel qu’un permis de conduire ou un passeport, qui “confirme que “vous êtes bien celui que vous prétendez être” dans un contexte numérique”.

Selon le rapport, “la pandémie de COVID-19 a mis en évidence la nécessité pour les services gouvernementaux d’être accessibles et flexibles à l’ère numérique.”

Toutefois, le partenariat du Canada avec le WEF a débuté avant la pandémie. Sous le gouvernement du Premier ministre canadien Justin Trudeau, membredu programme Young Global Leaders du WEF (Jeunes leaders globalistes du WEF), le Canada participe depuis 2018 au programme “Known Traveler Digital Identity” (KTDI) (identité numérique du voyageur connu), le programme pilote du WEF visant à développer une identité numérique.

Le WEF a décrit la KTDI comme “la première collaboration mondiale en son genre” qui “réunit un consortium mondial de particuliers, de gouvernements, d’autorités et de l’industrie du voyage pour renforcer la sécurité des voyages dans le monde”.

Des fonctionnaires du gouvernement canadien, en 2018, ont déclaré que l’objectif de l’initiative KTDI était de “tester les technologies numériques émergentes et la manière dont elles peuvent améliorer la sécurité et le flux continu des voyageurs aériens légitimes”, en vue de l’augmentation prévue du nombre de voyageurs aériens dans le monde, qui passera de 1,2 à 1,8 milliard d’ici à 2030.

2030 est l’année cible de l’”Agenda 2030” des Nations unies et de ses “objectifs de développement durable“, ou ODD.

Le WEF a caractérisé le programme KTDI comme étant “l’innovation perturbatrice dont l’écosystème mondial de la sécurité des voyages a besoin” et comme “un changement de paradigme vers un système d’identité numérique interopérable qui donne la priorité au voyageur, respecte la vie privée dès la conception et permet une coopération de confiance entre les partenaires internationaux des secteurs public et privé, nécessaire pour garantir la sécurité des mouvements de personnes à travers les frontières”.

Selon le WEF, “le projet pilote KTDI offre un plus grand contrôle sur les informations personnelles, en confiant aux passagers le soin de décider quand et comment les données sont partagées grâce à une “identité numérique gérée par le voyageur”.”

L’affirmation selon laquelle les individus auront “un plus grand contrôle sur leurs informations personnelles” est un thème commun de ces initiatives d’identité numérique, y compris les passeports vaccinaux numériques, comme l’a précédemment rapporté The Defender.

Dans un communiqué de presse de 2019, le WEF a expliqué comment la KTDI est liée plus largement aux documents d’identification de toutes sortes délivrés par les gouvernements, déclarant que “la KTDI est basée sur une identité numérique interopérable, liée directement aux documents d’identité délivrés par les gouvernements”, grâce à l’utilisation de “la cryptographie, de la technologie des grands livres distribués et de la biométrie.”

Le système “garantit la portabilité et protège la confidentialité des données personnelles”, tandis que le grand livre numérique “fournit un enregistrement précis et inviolable des données d’identité de chaque voyageur et des transactions autorisées”, indique le communiqué de presse.

La technologie Blockchain figure en bonne place dans la KTDI, sa fonction principale étant décrite comme étant d’”émettre, révoquer et vérifier de manière cryptographique des identifiants de créance sans avoir besoin d’un intermédiaire centralisé (comme une autorité de certification).”

Utilisant “les données d’identité qui sont habituellement stockées sur une puce sur le passeport d’un passager”, cette application numérique serait “stockée et cryptée de manière sécurisée sur [un] appareil mobile”, et est contrôlée par les autorités “en utilisant la biométrie … sans avoir besoin d’un passeport physique.”

Le communiqué de presse du WEF et d’autres documents n’expliquent pas pourquoi l’utilisation de passeports physiques est maintenant apparemment contraignante et ne précisent pas si les “données d’identité” qui seraient stockées numériquement incluraient les certificats de vaccination, ce qui serait, en fait, une extension des passeports de vaccination.

Andrew Bud, PDG de l’entreprise d’identification biométrique iProove, sous-traitant du ministère américain de la sécurité intérieure, a récemment décrit les certificats de vaccination comme étant à l’origine de « l’ensemble du domaine de l’identification numérique à l’avenir », ajoutant qu’ils « ne concernent pas seulement COVID [but] mais quelque chose d’encore plus grand » et que « une fois adopté pour COVID [they] ce sera rapidement utilisé pour tout le reste ».

Dans le cadre du programme KTDI, les passagers peuvent établir un “statut de voyageur connu” au fil du temps en accumulant des “attestations” de “partenaires de confiance”, tels que “les agences frontalières et les compagnies aériennes reconnues”, une fonctionnalité qui ressemble apparemment aux systèmes de “score de crédit social” actuellement testés en Chine.

Certains des partenaires du WEF dans le programme pilote KTDI sont également intéressants. Ils comprennent :

  • L’aéroport international Schiphol d’Amsterdam, qui a connu récemment d’importants retards et où le trafic aérien a été plafonné en raison de prétendues préoccupations environnementales (les Pays-Bas font également partie du programme pilote KTDI).
  • L’aéroport international de Toronto-Pearson – qui a également connu d’importants retards récemment.
  • L’aéroport international Montréal-Trudeau, qui porte le nom du père de l’actuel premier ministre canadien, l’ancien premier ministre canadien Pierre Trudeau, et qui a également été le théâtre de retards importants l’été dernier.

Ces partenaires sont “soutenus” par la société irlando-américaine de technologie de l’information Accenture, qui a aidé l’Australie à développer son système de passeport numérique pour les vaccins.

À son tour, l’idée de la KTDI a été “initialement conceptualisée par un groupe de travail multipartite lancé en 2015”, comprenant plusieurs gouvernements et entités comme Google, Visa, Marriott International, le ministère américain de la Sécurité intérieure, l’Association internationale du transport aérien et INTERPOL.

Même si le Canada a commencé à assouplir ou à éliminer certaines des restrictions liées au COVID-19, qui sont parmi les plus restrictives au monde depuis plus de deux ans, les citoyens et les fonctionnaires continuent de faire face à des sanctions s’ils enfreignent les obligations en matière de vaccination s’ils refusent d’utiliser des passeports vaccinaux numériques.

Une conseillère municipale dans l’Ontario s’est vu retirer 90 jours de salaire pour avoir prétendument enfreint le mandat de vaccination de sa municipalité, plus précisément, en assistant en mai à deux réunions du conseil dont elle est membre sans fournir de preuve de vaccination contre le COVID-19. La pénalité a été perçue alors que le mandat en question a depuis été levé.

Et comme l’a récemment rapporté The Defender, en juin, un médecin canadien s’est vu infliger une amende de 6 255 dollars à son retour dans son pays, en raison de son refus d’utiliser l’application d’information sanitaire ArriveCAN du pays.

Selon le Global Government Forum, le Canada est l’un des huit pays qui ont formé un groupe de travail pour l’identification numérique en 2020. Le groupe comprend également l’Australie, la Finlande, Israël, la Nouvelle-Zélande, le Singapour, les Pays-Bas et le Royaume-Uni.

Parmi les pays qui ont mis en place des systèmes d’identification numérique ou qui s’y emploient, citons l’Estonie, l’Allemagne, le Royaume-Uni, et l’Australie, ainsi que l’UE.

Les responsables du gouvernement canadien prévoient de lancer des consultations publiques sur un cadre d’identification numérique pour les services du gouvernement fédéral, mais n’ont pas encore annoncé quand.

The Defender


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