www.zejournal.mobi
Vendredi, 13 Juin 2025

Los Angeles : 50 dollars par émeutier, le job mal payé des démocrates

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Mercredi, 11 Juin 2025 - 18h07

Les démocrates, financés par Soros, ont lâché les chiens en Californie, l’État woke par excellence. Il suffit de créer du chaos latino dans les rues, sous prétexte de manifester contre la politique raciste de l’administration Trump qui expulse les sans-papiers, et d’envoyer les Noirs piller les Apple Store, pour attirer la force fédérale et hurler au fascisme. Il va y avoir des morts, et du sport.

La gauche US a toujours la carte de la rue dans la main, et est prête à sacrifier des vies pour conserver son pouvoir de nuisance. Chez nous, à une échelle moindre, c’est pareil avec les antifas, l’armée de réserve du Capital. Sachant cela, on remarque une chose aujourd’hui, après deux décennies de contre-information sur le Net, c’est que les black ops sont débunkées quasi en temps réel. Dès la première pierre lancée sur une bagnole de flics, l’ingénierie sociale a sauté aux yeux des personnes lucides.

Pour le reste de la population, qui y voit une révolution morale, on attendra un peu. Il faut énormément de destructions économico-sociales et de paupérisation pour que l’électeur gauchiste de base ouvre les yeux. Quand son portefeuille est vidé, son fils poignardé, sa fille violée et sa femme partie, il se réveille. On n’en est pas encore là, mais les signes négatifs se multiplient.

Après cinq jours de pillages et d’émeutes, le maire de LA, rendue célèbre par ses conneries pendant les grands incendies de 2024, la mort dans l’âme, a décrété un couvre-feu dans le centre-ville. Trump, lui, y a été franco et voit dans le bordel la main de l’étranger :

« Cette anarchie ne se poursuivra pas. Nous ne permettrons pas que des agents fédéraux soient attaqués et ne laisserons pas une ville américaine être envahie et conquise par des ennemis étrangers ».

La gauche française, anti-Trump au possible, applaudit en douce les émeutes, dans un esprit pas très paix civile.

Le bon boulot d’analyse a été fait par medias-presse.info :

Après des manifestations initiales plutôt pacifiques contestant plusieurs raids contre l’immigration illégale à Los Angeles la semaine dernière, les manifestations contre l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) se sont intensifiées au cours du week-end pour inclure plus de 1 000 émeutiers filmés en train d’agresser des agents des services de l’immigration, de brûler des véhicules, de piller, de fermer temporairement au moins une autoroute de la ville et d’affronter les forces de l’ordre.

La récente présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a été personnellement visée par deux républicains :

« Il y a les influences extérieures… les drapeaux mexicains, tous ces gens et la présidente mexicaine Sheinbaum », a déclaré lundi le député Andy Biggs, républicain de l’Arizona, au podcast John Solomon Reports. « Tous ces gens… ils détestent ce pays, ils veulent le changer, et cela le transformera, en gros, en un enfer du tiers-monde ».

Biggs a déclaré qu’il n’avait « aucun doute » sur le fait que l’influence étrangère était au moins en partie à l’origine des manifestations. « La présidente Sheinbaum du Mexique encourage implicitement cela », a poursuivi Biggs.

Le député Mark Harris, RN.C., a dit craindre que certains manifestants soient payés et qu’il était essentiel que le Congrès suive la piste de cet argent. « Je pense qu’il est important que le Congrès soulève ces questions, les examine et détermine ce que nous pouvons faire. » « Je pense également que le ministère de la Justice jouera un rôle important pour mener à bien ce genre de démarches, car, encore une fois, ces agents de l’ICE ne font qu’exercer leurs fonctions. »

Et le FBI s’interroge sur le financement des émeutes, qui ont été volontairement amplifiées selon eux.

L’ancien directeur adjoint exécutif du FBI, Chris Piehota, a déclaré que le FBI avait probablement commencé à enquêter immédiatement sur la manière dont ces manifestations violentes avaient été déclenchées. « Ce qu’ils vont faire, c’est qu’ils vont commencer à rechercher les connexions entre les réseaux financiers et logistiques dont ces personnes dépendent pour créer ces perturbations planifiées ou les amplifier », a déclaré Chris Piehota. « Ils sont financés dans tout le pays pour participer à différents événements et semer le trouble », a-t-il poursuivi.

L’administration Trump, après son galop des cent jours, fait face à des résistances à la fois extérieures et intérieures. La paix n’a pas été obtenue en Ukraine, la destruction totale de Gaza n’a pas été stoppée, et les démocrates ont allumé un feu intérieur, presque un début de sécession de la Californie, incarnée par le bras de fer juridico-politique entre le gouverneur de l’État et le président. Gavin Newsom accuse carrément Trump d’avoir violé la souveraineté de son État.

« Alors oui, c’est mal de détruire, c’est mal d’exacerber les tensions, mais dites-vous bien que c’est Donald Trump qui a mis de l’huile sur le feu. Franchement, laissez ces gens tranquilles, ça fait 10 ans qu’ils sont là, ils payent leurs impôts, ils ont peur, ils vivent l’horreur ».

Il y a deux sortes de bouillonnements sociaux : ceux qui sont spontanés, du type Gilets jaunes, et ceux qui sont fabriqués. Le chaos prétendument antifasciste en fait partie, c’est une arme du pouvoir profond qui sait agiter les pauvres, et au besoin les financer, après les avoir mis et maintenus sur la paille. Ce sont les forces du désordre, très pratiques en cas de vrai bouillonnement social : le contre-feu éteint le feu.

Le black friday, c’est tous les jours !

***

Émeutes à Los Angeles : des manifestants payés, selon le FBI

par Pierre-Alain Depauw

Alors que des quartiers de Los Angeles brûlent sous la fureur des émeutiers, des questions se posent à Washington quant à savoir qui a déclenché les manifestations contre les opérations de contrôle de l’immigration et si un financement provient de sources étrangères.

La piste financière

Le directeur du FBI, Kash Patel, a déclaré que le bureau enquêtait sur la piste financière derrière ceux qui organisent et promeuvent les manifestations qui se propagent à travers le pays. «Le FBI enquête sur tous les liens financiers responsables de ces émeutes», a déclaré Patel dans un communiqué envoyé lundi soir.

Après des manifestations initiales plutôt pacifiques contestant plusieurs raids contre l’immigration illégale à Los Angeles la semaine dernière, les manifestations contre l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) se sont intensifiées au cours du week-end pour inclure plus de 1000 émeutiers filmés en train d’agresser des agents des services de l’immigration, de brûler des véhicules, de piller, de fermer temporairement au moins une autoroute de la ville et d’affronter les forces de l’ordre.

Drapeaux mexicains

Les images d’émeutiers violents agitant des drapeaux mexicains tandis que des voitures brûlaient en arrière-plan ont circulé dans tout le pays et ont attiré l’attention de l’administration Trump et des républicains au Congrès.

Des images vieilles d’un mois montrant la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum menaçant de «mobiliser» contre des propositions législatives visant à taxer les transferts de fonds vers le Mexique ont refait surface à la lumière des manifestations, suscitant des interrogations sur la rhétorique au sud de la frontière. Lundi, Claudia Sheinbaum a réagi aux violences en les condamnant, mais en promettant l’engagement du gouvernement mexicain aux côtés de tous les Mexicains, «quel que soit leur statut migratoire».

«Ils détestent ce pays»

«Il y a les influences extérieures… les drapeaux mexicains, tous ces gens et la présidente mexicaine Sheinbaum», a déclaré lundi le député Andy Biggs, républicain de l’Arizona, au podcast John Solomon Reports. «Tous ces gens… ils détestent ce pays, ils veulent le changer, et cela le transformera, en gros, en un enfer du tiers-monde».

Biggs a déclaré qu’il n’avait «aucun doute» sur le fait que l’influence étrangère était au moins en partie à l’origine des manifestations. «La présidente Sheinbaum du Mexique encourage implicitement cela», a poursuivi Biggs.

Le député Mark Harris, RN.C., a dit craindre que certains manifestants soient payés et qu’il était essentiel que le Congrès suive la piste de cet argent. «Je pense qu’il est important que le Congrès soulève ces questions, les examine et détermine ce que nous pouvons faire». «Je pense également que le ministère de la Justice jouera un rôle important pour mener à bien ce genre de démarches, car, encore une fois, ces agents de l’ICE ne font qu’exercer leurs fonctions».

L’ancien directeur adjoint exécutif du FBI, Chris Piehota, a déclaré que le FBI avait probablement commencé à enquêter immédiatement sur la manière dont ces manifestations violentes avaient été déclenchées. «Ce qu’ils vont faire, c’est qu’ils vont commencer à rechercher les connexions entre les réseaux financiers et logistiques dont ces personnes dépendent pour créer ces perturbations planifiées ou les amplifier», a déclaré Chris Piehota. «Ils sont financés dans tout le pays pour participer à différents événements et semer le trouble», a-t-il poursuivi.

Parti pour le socialisme et la libération (PSL)

L’un des groupes impliqués dans les manifestations de la semaine dernière, qui ont finalement dégénéré en émeutes ce week-end, est le Parti pour le socialisme et la libération (PSL), un groupe marxiste ayant des liens présumés avec le Parti communiste chinois. Le PSL a déclaré que les manifestants ont «pris une position courageuse contre le règne de terreur de Trump ciblant les familles immigrées» et que ceux qui «descendent dans la rue» sont faussement qualifiés d’«émeutiers».

«Mais les gens ne se laissent pas décourager : à Los Angeles et dans tout le pays, la contestation se poursuit avec encore plus de détermination», a écrit le groupe dans un message sur Instagram. «Cela pourrait marquer un tournant, où toute la classe ouvrière s’unira pour contrer les tentatives de Trump de détruire nos droits fondamentaux et notre dignité».

L’homme d’affaires Neville Roy Singham

Le PSL fait partie d’un réseau plus large de groupes de protestation et d’organisation qui ont des liens avec le Singham Network, un collectif d’organisations à but non lucratif, de sponsors et de sources d’information alternatives liées à l’homme d’affaires Neville Roy Singham.

Singham vit à Shanghai et est identifié comme un «canal d’influence géopolitique du PCC», selon un rapport du Network Contagion Research Institute, un institut de recherche qui surveille les «cybermenaces sociales».

La fortune du financier provenait de sa société de conseil en logiciels, Thoughtworks, qu’il a vendue en 2017 à Apax Partners pour 785 millions de dollars. Le New York Post a rapporté que Singham a investi la fortune issue de la vente de sa société de logiciels dans au moins une douzaine d’organisations à but non lucratif, dont le People’s Forum, un organisme communiste situé à Midtown Manhattan.

Singham a un passé marxiste radical qui s’est transformé en une admiration pour la Chine et son système socialiste. Singham a épousé Jodie Evans, cofondatrice du groupe d’extrême gauche Code Pink. Ce groupe pacifiste est devenu de plus en plus pro-chinois ces dernières années. Singham vit désormais à Shanghai, en Chine, où il soutient ou promeut plusieurs médias pro-chinois, comme le site web indien Newsclick.

La très subventionnée Coalition pour les droits humains des immigrants

Mais certains financements pourraient provenir de sources bien plus proches. Des documents financiers de l’État montrent que le groupe militant gauchiste au cœur des premières manifestations anti-ICE en Californie a reçu une grande partie de ses budgets ces dernières années via des subventions californiennes et fédérales.

La Coalition pour les droits humains des immigrants (CHIRLA) a organisé la semaine dernière l’un des premiers rassemblements à Los Angeles pour protester contre les raids de l’ICE dans la ville, en partie déclenchés par l’arrestation du président du Service Employees International Union, accusé d’avoir fait obstruction aux mandats d’immigration.

Selon une publication sur son compte Instagram, la Coalition pour les droits humains des immigrants (CHIRLA) s’est mobilisée aux côtés d’autres groupes membres du Réseau d’intervention rapide de Los Angeles. L’organisation a été rejointe par le Syndicat international des employés des services et le syndicat des enseignants de Los Angeles, entre autres groupes pro-migrants.

«À notre communauté d’immigrants : nous vous voyons, nous vous entendons et nous ne cesserons de nous battre pour vous. Nous disons NON aux expulsions. NON aux détentions massives. Les familles sont faites pour être ensemble. Notre place est ici !» a écrit la CHIRLA dans un message publié sur les réseaux sociaux.

Le groupe avait précédemment déclaré au New York Post ne pas être impliqué dans les violentes émeutes du week-end. Un porte-parole a indiqué que le groupe avait «organisé une conférence de presse jeudi» pour protester contre les premières descentes de l’ICE et avait «envoyé des observateurs juridiques dans les tribunaux d’immigration et les centres de détention vendredi, samedi et aujourd’hui dans le cadre du Réseau d’intervention rapide de Los Angeles».

«Nous n’avons pas participé, coordonné ou fait partie des manifestations enregistrées à Los Angeles, à l’exception de la conférence de presse et du rassemblement cités ci-dessus», a affirmé la CHIRLA dans un communiqué.

Les documents financiers de l’État de Californie montrent que la CHIRLA a reçu une part importante de ses récents budgets de fonctionnement via des services d’immigration par les gouvernements de l’État et du gouvernement fédéral.

Au cours de l’exercice clos le 30 juin 2023, l’organisation a perçu près de 34 millions de dollars de revenus provenant de contrats gouvernementaux, dont 32,5 millions de dollars (soit 96% des revenus déclarés) de l’État de Californie pour la fourniture de services liés à l’immigration, selon les derniers documents déposés par le groupe. Un pourcentage similaire de revenus provenant de l’État de Californie avait été comptabilisé dans les états financiers de l’exercice précédent.

L’administration Biden a également accordé deux subventions «Citoyenneté et Intégration» à l’organisation en 2023, pour un montant total de 193 030 $. Ces subventions fédérales étaient en vigueur jusqu’au début de l’année, date à laquelle l’administration Trump les a supprimées. Le groupe devait recevoir un total de 450 000 $ avant la fin de la subvention.

Défilé militaire du 14 juin

Ces inquiétudes surviennent alors que le pays se prépare aux manifestations prévues à travers les États-Unis pour marquer le défilé militaire du 14 juin, ordonné par le président Trump à Washington, DC, pour commémorer le 250ème anniversaire de l’armée américaine. L’événement devrait inclure un défilé de véhicules militaires, des milliers de soldats en uniforme et des survols.

Des contre-manifestations appelées «Journée de défi», organisées par une alliance d’activistes appelée «No Kings», contre ce qu’ils qualifient d’autoritarisme du président Trump, devraient coïncider avec le défilé.

Ces manifestations prévues pourraient se mêler aux manifestations anti-ICE, créant ainsi un mélange potentiellement dangereux. L’alliance «No Kings» a approuvé les manifestations violentes de Los Angeles, les qualifiant de résistance citoyenne à l’administration Trump et a exhorté les Américains à se joindre à leurs manifestations.

«Le président Trump veut vous faire croire que les habitants de Los Angeles détruisent leurs propres quartiers. C’est faux. Voici la vérité : les gens protestent pacifiquement et légalement contre les abus de pouvoir de l’administration et l’enlèvement de leurs voisins par l’ICE», a déclaré No Kings dans un communiqué exhortant les Américains à se joindre à l’un des «plus de 1800» rassemblements organisés à travers le pays pour «dire clairement : nous ne faisons pas de rois dans ce pays».

«Des gens payés pour faire ça»

La secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a également déclaré lundi soir que les enquêteurs voyaient des signes indiquant que les manifestations de Los Angeles étaient financées et organisées.

Interrogé par le présentateur de Fox, Sean Hannity, sur l’existence de preuves montrant que les manifestants avaient été payés, à la lumière des informations selon lesquelles ils recevaient du matériel, Kristi Noem a répondu : «Absolument».

«Ce sont des individus organisés. Ce sont des gens payés pour faire ça. On peut observer leur comportement, les signaux qu’ils s’envoient dans ces foules et ces manifestations pour inciter à la violence», a-t-elle ajouté. «C’est une opération menée avec professionnalisme. Ils l’ont déjà fait, et nous allons y mettre un terme et poursuivre chacun d’entre eux».

Dans une publication sur les réseaux sociaux, Kristi Noem a également déclaré : «Un message aux émeutiers de Los Angeles : vous ne nous arrêterez pas et ne nous ralentirez pas. @ICEgov continuera à faire respecter la loi».

source : Médias-Presse-Info

 


- Source : E&R

Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...