2024, année la plus chaude ? Les chiffres qu’on vous cache

Vous l’avez entendu partout : 2024 aurait été l’année la plus chaude de l’histoire, dépassant le seuil fatidique de 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle. Copernicus, l’agence climatique européenne, a sonné l’alarme, repris en chœur par les médias mainstream. Mais derrière les gros titres alarmistes, que cachent ces chiffres ? Science rigoureuse ou manipulation orchestrée pour servir des agendas politiques et économiques ?
Copernicus et les chiffres magiques : une science intouchable ?
Copernicus, financé par l’Union européenne, a publié son rapport annuel en fanfare : 2024 aurait battu tous les records de chaleur, avec des températures globales dépassant les prévisions les plus pessimistes. Mais d’où viennent ces données ? Les satellites, les stations météo et les modèles informatiques, nous dit-on. Sauf que ces outils ne sont pas infaillibles. Les stations météo, souvent placées près de zones urbaines surchauffées (aéroports, parkings), biaisent les mesures. Quant aux modèles climatiques, ils reposent sur des hypothèses… et des financements. Qui paye pour ces études ? L’UE, les ONG vertes, et des multinationales qui prospèrent sur la « transition énergétique ». Étonnant, non ?
En 2019, 500 scientifiques des institutions les plus prestigieuses du monde ont dénoncé la propagande de l’urgence climatique des pseudos experts de l’Onu. En 2023, une étude indépendante du climatologue John Christy a révélé que les données satellites, moins influencées par l’urbanisation, montraient un réchauffement bien moins prononcé que les chiffres officiels. Pourquoi ces travaux sont-ils ignorés ? Pourquoi ces chercheurs sont-ils traités de « climato-sceptiques » ? Parce qu’ils dérangent le narratif. Et si le 1,5 °C était un seuil arbitraire, choisi sur un coin de table pour justifier des politiques autoritaires ?
Il y a 6 000 ans, le niveau de la mer était 2,4 m plus haut qu’aujourd’hui sur la côte de la mer de Bohai.
— Association des Climato-Réalistes (@AssoClimatoReal) June 1, 2025
Pourquoi ? Moins de glace sur Terre = plus d’eau dans les océans.
Entre -9000 et -4000 ans, notre planète était moins englacée qu’actuellement https://t.co/FrTAXwd9Cs pic.twitter.com/yT59ovLUCi
Les cycles climatiques, grands oubliés du débat
Avant de crier à l’apocalypse, remettons les choses en perspective. La Terre a connu des périodes bien plus chaudes – et plus froides – sans intervention humaine. Le Moyen Âge avait son « optimum climatique », avec des vignes en Angleterre et des colonies vikings au Groenland. Pour la petite histoire, il a fait au maximum 41°C à Poitiers en 1870, mais seulement 37°C en 2024. Plus récemment, les années 30 ont vu des vagues de chaleur comparables à celles d’aujourd’hui, bien avant les SUV et les usines chinoises. Ces cycles, liés à l’activité solaire, aux courants océaniques et aux éruptions volcaniques, sont curieusement absents des rapports du GIEC. Pourquoi ? Parce qu’ils rappellent une vérité gênante : le climat change, avec ou sans nous.
Alors, 2024 est-elle vraiment exceptionnelle, ou s’agit-il d’un pic naturel dans un cycle plus large ? Les données brutes, non filtrées par les algorithmes du GIEC, mériteraient un vrai débat. Mais ce débat, on le censure.
Taxes carbone et greenwashing : qui profite du réchauffement ?
Derrière les alertes climatiques, il y a des intérêts bien concrets. La « transition énergétique » est un marché juteux : éoliennes, panneaux solaires, batteries au lithium… Des multinationales comme Siemens engrangent des milliards, dopées par les subventions publiques. En France, la taxe carbone alourdit la facture des ménages, pendant que les jets privés des élites s’envolent pour Davos. Et que dire des ONG climatiques, comme Greenpeace, financées par des fondations opaques ? Ces croisés du climat ne vivent pas dans des cabanes : leurs dirigeants empochent des salaires à six chiffres.
Pire, les politiques climatiques frappent les plus faibles. En Afrique, des projets d’électrification sont bloqués au nom de la « neutralité carbone », condamnant des millions de personnes à la pauvreté énergétique. Pendant ce temps, la Chine et l’Inde construisent des centrales à charbon sans sourciller. Où est la cohérence ?
200 ans de données : aucune tendance globale des pluies extrêmes ou annuelles. Variations locales, pas de lien clair avec le #CO2. Le climat, c’est plus compliqué que ça https://t.co/qUnQCT1vZD pic.twitter.com/MvTfhhyFuY
— Association des Climato-Réalistes (@AssoClimatoReal) May 30, 2025
La peur comme arme de manipulation
Pourquoi ce matraquage médiatique sur 2024 ? La peur est une vieille recette. Faire croire à une catastrophe imminente justifie des mesures d’urgence : restrictions de déplacement, rationnement énergétique, surveillance accrue. Souvenez-vous du Covid : les mêmes qui nous vendaient le « restez chez vous » nous sermonnent aujourd’hui sur nos émissions carbone. Le schéma est rodé. Les jeunes, bombardés d’images de feux de forêt et d’ours polaires à la dérive, deviennent des soldats involontaires de l’agenda vert. Éco-anxiété, vous connaissez ? Ce n’est pas un hasard, c’est une stratégie.
- Source : Le Média en 4-4-2