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L’Institut supérieur de la santé italien annonce que le covid n'a pas tué 130 000 "ritals", mais 4 000

Auteur : AubeDigitale | Editeur : Walt | Samedi, 06 Nov. 2021 - 17h24

L’Institut supérieur de la santé italien a réduit de plus de 97 % le nombre officiel de décès dus au COVID dans le pays, après avoir modifié la définition d’un décès : une personne est décédée à cause du COVID plutôt qu’avec le COVID.

Le journal italien Il Tempo rapporte que l’Institut a revu à la baisse le nombre de personnes décédées à cause du COVID plutôt qu’avec le COVID, de 130 000 à moins de 4 000.

« Oui, vous avez bien lu. Il s’avère que 97,1% des décès jusqu’ici attribués au Covid n’étaient pas directement dus au Covid »a écrit Toby Young.

Sur les 130 468 décès enregistrés comme morts officielles du COVID depuis le début de la pandémie, seuls 3 783 sont directement attribuables au seul virus.

« Tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient entre une et cinq maladies préexistantes. Parmi les personnes âgées de plus de 67 ans qui sont décédées, 7 % avaient plus de trois comorbidités, et 18 % au moins deux », écrit Young.

« Selon l’Institut, 65,8 % des Italiens décédés après avoir été infectés par Covid souffraient d’hypertension artérielle (haute pression), 23,5 % étaient atteints de démence, 29,3 % de diabète et 24,8 % de fibrillation auriculaire. Ajoutons à cela que 17,4 % avaient des problèmes pulmonaires, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années et 15,7 % avaient déjà souffert d’un arrêt cardiaque ».

La nouvelle définition de l’Institut d’un décès dû au COVID signifie que le COVID a tué moins de personnes en Italie que (murmurez-le) la saison lambda de grippe saisonnière.

Si d’autres gouvernements nationaux procédaient à un changement similaire, le nombre officiel de décès dus au COVID serait réduit de plus de 90 %.

Mais ne vous attendez pas à ce que beaucoup d’autres pays suivent cet exemple, étant donné que les gouvernements ont investi une grande partie de leur autorité dans l’exagération de la menace posée par le virus.

Par exemple, au Royaume-Uni, des psychologues comportementaux ont collaboré avec l’État pour « exagérer » délibérément la menace du COVID par le biais de méthodes de propagande « contraires à l’éthique » et « totalitaires », afin de terroriser le public et de l’amener à se conformer massivement.

Et cela a fonctionné.

Une enquête menée après le premier verrouillage a révélé que le Britannique moyen pensait que 100 fois plus de personnes étaient décédées du COVID que le nombre officiel de décès.

Nous comprenons maintenant que le nombre officiel de personnes tuées « à cause du COVID » et non « avec le COVID » représente moins d’un dixième du nombre total de victimes du COVID.

Malgré ce changement, l’Italie pourrait encore prendre la décision de rendre le vaccin contre le COVID-19 obligatoire, bien que la manière dont un tel dispositif serait imposé reste indéterminée.


- Source : AubeDigitale

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