Mort aux inutiles : les bébés, les malades, les dépressifs, les vieux et les chômeurs

Nous entrons sans trop le savoir dans une nouvelle ère, celle de la sélection pas très naturelle. Les nazis avaient déjà expérimenté la chose, et ça ne s’était pas trop bien passé. Éliminer les malades mentaux et les handicapés, jusqu’aux dépressifs lourds, ça n’a pas plu dans les familles allemandes, et les mères ont commencé à vociférer. Hitler savait l’importance de la mère allemande dans la bataille, sa bataille, alors il a reculé.
C’est un des jours les plus tristes de ma vie.
La loi sur l’#euthanasie nous rappelle ce qui s’est passé sous le IIIᵉ Reich. Nous versons dans l’eugénisme, c’est-à-dire la sélection de ceux qui sont aptes à vivre ou à mourir. Honte à ce gouvernement qui fait basculer la France… https://t.co/SFuSv1shW6
Quatre-vingt-dix ans plus tard, voilà que la démocratie française, qui élimine déjà 200 000 bébés par an depuis 1975, se met au programme T4. C’est bien sûr une image, car le contexte a changé : les malades en phase terminale, les insauvables, pourront demander l’heure de leur mort, qui est normalement secrète. C’est Dieu qui décide de cela.
On retire donc une prérogative à Dieu, ce niveau d’organisation supérieur qu’on est censé respecter, et on joue avec. Le contexte est surtout différent au sens où avant, c’était l’État qui décidait ; aujourd’hui, c’est la personne. On appellera ça la démocratisation de l’élimination sociale, la « liberté » de mourir quand je veux.
L’euthanasie est en fait beaucoup plus souvent pratiquée qu’on ne le dit. Dans la plupart des services chroniques (qui reçoivent des malades au très long cours), un jour ou l’autre, au bout de la vie, on recourt à ce qu’on appelle le « cocktail lytique », une perfusion composée de Phénergan, de Largactil et de Dolosal, c’est-à-dire un analgésique, un neuroleptique et un tranquillisant. Il suffit d’augmenter la dose, et, si le malade est très affaibli, une dépression respiratoire entraîne rapidement la mort. (Bernard Meha)
En réalité, l’aide à mourir existe déjà, des médecins administrant, en accord avec les personnes concernées et/ou leur entourage proche, le cocktail fatal. Idem pour l’avortement, qui était pratiqué dans des conditions épouvantables avant 75, et avec des effets secondaires non moins épouvantables. Il y a donc deux avortements, l’avortement compréhensible, la fille violée, la mineure paumée, et l’avortement dit de confort, même si le terme est mal choisi, car il n’y a jamais d’avortement facile. La mort, c’est pareil.
Écoutez l’avis de cette personne sur la loi euthanasie pic.twitter.com/w3bKHAQo3v
— VERITY France (@verity_france) May 20, 2025
On ne se substituera donc pas aux futures avortées ni aux futurs euthanasiés, car il faut être en situation. Non, le débat se situe au niveau de l’État et des inspirateurs de la loi sur l’aide à mourir. Et là, on tape dans les forces occultes, à savoir la franc-maçonnerie, qui a tout orchestré, sous prétexte de progressisme ou de progrès.
On voit bien qu’il s’agit d’une attaque contre Dieu, et ça retombe en général sur tous les hommes. On vit depuis Mai 68 dans une société sans Père, et par extension sans pères. C’est un choix, il y a des avantages, il y a des inconvénients. On vous a déniché une petite illustration de l’inutilité du père...
@chloes_clips Not all super hero’s wear capes @davidvickery407 She’s never wearing shoes on a slide EVER again. Just a warning to Mums and Dads #fyp ♬ เสียงต้นฉบับ - Be nZ - 𝘽𝙚𝙉𝙕 𝙈𝙪𝙨𝙞𝙘
Administrer la mort, que ce soit à des bébés ou des malades, est une chose dont les conséquences nous échappent, même si nous les organisons. On joue avec le feu divin. On sait tous que ce ne sont pas deux cents ou quatre cent mille migrants qui remplaceront « nos » bébés, car les migrants ne sont pas des bébés, et en plus on nous les impose. À moins que toutes les femmes qui avortent n’adoptent un migrant...
En 2020, l’interdiction de soins imposée à des milliers de pensionnaires des Ehpad a servi de lancement à une vaste opération d’élimination sociale, avec, vous pouvez en être certains, un test grandeur nature de la réactivité de la population. Et c’est passé crème, ou presque, malgré les protestations – isolées, par définition – des familles concernées et le livre du Pr Perronne. La soumission de la majorité ayant été acquise, il est logique que le pouvoir, qui se prend pour Dieu, prenne à son compte cette prérogative divine.
L’oligarchie aura donc bientôt droit de vie et de mort sur chacun d’entre nous. Elle dira qui a le droit de vivre et surtout, comment et à quelles conditions. Elle pratique déjà une persécution sur les résistants et un terrorisme sur les soumis. C’est bien le Diable qui prend le pouvoir sur Dieu.
Après, il n’est pas certain que c’est en priant dans une église qu’on va arrêter ce braquage, et évidemment pas en prenant les armes non plus, car les armes sont spirituelles. C’est l’esprit qui doit résister à toutes ce qu’on lui présente comme des libertés, et qui ne sont que des chaînes dissimulées. On brise les chaînes qui nous reliaient au divin pour des chaînes qui nous relient au Diable. L’orgie de libertés, c’est-à-dire de gains de terrain sur le divin, va mal finir. Pleurs et grincements de dents à venir.
Débat : fallait-il piquer Biden ?
Le chef de cabinet adjoint de Biden avoue, en caméra cachée, que Biden était en état végétatif au cours des quatre dernières années et qu'il n'a JAMAIS été président - il poursuit en nommant qui était aux commandes. pic.twitter.com/fFnaa5PApq
— Aliénor d’Aubigné (@AlienorAubigne) May 21, 2025
Le lapsus de Vautrin
Sur l’euthanasie:
« Le premier élément, c’est le consentement de la victime … »
Énorme lapsus de la ministre qui porte ce projet de rupture civilisationnelle. pic.twitter.com/FycWsCEE0b
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Euthanasie et trafic d’organes. Vaudrons-nous bientôt plus cher morts que vivants ?
À votre santé
Une émission du Dr Eric Loridan
Invités : Valérie Ferrier, journaliste scientifique et Eric Mercier, infirmier.
Thème : Euthanasie et trafic d’organes. Vaudrons-nous bientôt plus cher morts que vivants ?
source : TV-ADP
- Source : E&R