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Jeudi, 16 Mai 2024

Plus un centime pour les facultés de la 5e république !

Auteur : Dr Anatoly Livry. | Editeur : Walt | Mardi, 14 Janv. 2020 - 08h14

Au début de cette année 2020, j’ai publié un article académique qui s’ouvrait sur une affirmation selon laquelle la 5e république « française » est un État corrompu, de sa base à son sommet : Dr Anatoly Livry, « L’Académie française : une crapule immortelle » in Proceedings of the Academy of DNA Genealogy, Boston-Moscow-Tsukuba, Volume 13, n° 1, January 2020, p. 139 – 146. Je suis heureux de constater que, dans sa dernière étude, le Conseil de l’Europe confirme totalement ma perception du pays légal français : « Lutte anticorruption et lobbies: la France épinglée par le Conseil de l’Europe » (RFI, le 10 janvier 2020)). En revanche, ce que cet organe de l’Union dite « européenne » évite de préciser, c’est le but exterminationiste de cette corruption française qui va jusqu’à la tête de l’État : la tension originelle de cette forfaiture permanente des différents clans d’apparatchiks déchirant le corps du peuple français, c’est l’annihilation et le remplacement de ce dernier par des peuplades plus dociles. Comment le font-ils ? Je donne aux lecteurs mon propre exemple : depuis 2012, je m’offre en « victime administrative » afin de faire connaître le fonctionnement authentique du Conseil national des universités (CNU), ce soviet fondé en 1945 et seul autorisé à permettre à des docteurs de chercher un poste académique en France, celui de maître de conférences ou de professeur. Cette centralisation apportée en France directement de l’URSS par des personnes ayant déserté lors de la Seconde Guerre mondiale est toujours en vigueur dans l’hexagone, et ce, bien qu’elle n’existe dans aucun autre pays occidental – comme le confirme l’un de mes biographes universitaires français, maître de conférences à Paris I-Panthéon Sorbonne, François Garçon :

« Le CNU est une originalité française. Inutile de chercher sur la planète un organisme qui, au centre de l’enseignement supérieur, est constitué d’élus sur une liste syndicale et à qui l’État a confié la prérogative exorbitante de décider qui peut ou non candidater à un poste qu’une université chercher à pourvoir ! Des élus sur une liste ouvertement partisane, animés par des convictions politiques qu’ils ne cachent pas, sont ainsi à la manœuvre et déterminent qui est apte à rejoindre l’enseignement supérieur français ou qui ne l’est pas ! Pour mémoire, rappelons que dans les universités du monde entier, celles qui comptent et qui se trouvent aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Hollande, en Suisse, au Canada, en Suède, c’est aux établissements supérieurs qu’il revient de procéder aux recrutements de leurs collaborateurs. Recrutements soumis à des procédures rigoureuses, sélectives et transparentes, que supervisent des jurys internationaux, garants du choix juste. Toutes les grandes universités, celles qui comptent et vers lesquelles convergent les chercheurs du monde entier, et un nombre grandissant de chercheurs français comme le signale un article récent, donnent une large publicité aux postes qu’elles ouvrent. Postulent alors spontanément tous ceux que l’annonce intéresse. » (Les 4 Vérités, le 21 février 2017).

À propos… le ministre de l’enseignement supérieur F. Vidal a fait, en plein milieu de la crise des « gilets jaunes », pression sur des députés macronistes pour que soit maintenue la malfaisance de ce soviet entérinant de facto le pouvoir des gourous qui choisissent les élites françaises. Autrement dit : pendant que les restes du peuple français manifestaient pour garder leurs particularités nationales en dépit de l’oukase de Bruxelles, le ministre de Macron jouait de son influence auprès d’élus pour faire perdurer une procédure stalinienne qui n’existe dans aucun autre pays de l’Union dite « européenne » :

« Suite au communiqué du SNPTES du 17 mai dernier, destiné à s’opposer à un amendement parlementaire qui aurait permis le recrutement d’enseignants-chercheurs en se dispensant de la procédure de qualification, les députés à l’origine de cette demande singulière ont accepté, à la demande de Frédérique Vidal, de retirer cet amendement » : « Le SNPTES entendu, retrait d’un amendement parlementaire destiné à court-circuiter le CNU », le 21 mai 2019 : http://www.snptes.fr/Le-SNPTES-entendu-retrait-d-un.html.

On ne peut rien faire de ce système pseudo français génocidaire ! Voilà pourquoi aucun rappel issu du Conseil de l’Europe n’infléchira le comportement des métisseurs et des abrutisseurs qui se trouvent à la tête de cette « république », eux-mêmes élevés dans des facultés françaises pratiquant une sélection des cadres apportée du Kremlin par Maurice Thorez à l’issue de laquelle sont choisis comme professeurs des illettrés victimes de la méthode globale, cf. p. ex. : Dr Anatoly Livry, « Nabokov et l’idiocratie française » dans Revue Philologique d’Alfred Nobel, Index Copernicus, Directory of Open Access Journals (DOAJ), Ulrich’s Periodicals Directory, ????, 2 (12) 2016, The Magazine is inscribed by the Higher Certifying Commission on the index of leading reviewing scientific periodicals for publications of main dissertation of academic degree of Doctor and Candidate of Science, p. 32-44 : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/05-12-livry-article.pdf

Voilà le message que j’offre aux mécènes européens et suisses dans mes séminaires, leur demandant de cesser tout financement destiné à entretenir des établissements de l’enseignement supérieur français, depuis l’Institut de France jusqu’à la plus minable faculté française. Ces mécènes suisses et européens confient leur fortune aux pires corrompus : contactés par des professeurs suisses (payés de l’Ordre national du Mérite ou de la Légion d’honneur pour leurs services), ils se sont escroqués en croyant investir dans des projets scientifiques franco-suisses alors qu’en fait, une partie de leur mise sert à engraisser les professeurs dressant des pseudo-élites françaises analphabètes, hystériques et souffrant de dissonance cognitive. L’autre partie de ces détournements suisses remonte jusqu’au fonds secret de l’Élysée pour faire fonctionner une mafia de sbires ou pour être investis dans de la cocaïne – et dans l’entretien des « amis » congoïdes du président français actuel : (https://www.youtube.com/watch?v=Q14dN5TcP9w&t=3 à 48:57).


- Source : RI

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