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Samedi, 27 Avr. 2024

Jouissif : les flops du cinéma français en 2023

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Dimanche, 31 Déc. 2023 - 20h24

Ce n’est pas du sadisme de notre part, mais un juste retour des choses. D’autres parleraient de « karma ».

Les films dits français se cassent la gueule à la chaîne. Abattus par des scénarios squelettiques, des acteurs bien-pensants et des réals paresseux, ils sombrent dans l’oubli à peine sortis. Pire, ils sont majoritairement subventionnés, faisant vivre à nos dépends une tribu de parasites sans idées, sans audace et sans connexion avec le public.
Cette triste bande de couilles molles est en train d’enterrer le cinéma français, qui était pourtant majeur, et qui reste malgré tout le premier en Europe. Il faut sauver le soldat Cinéma français ! 

Nous aimerions que le cinéma national se porte bien, mais le problème, c’est qu’il est tout sauf national, et encore moins social. Et quand il se veut social, il n’est que sociétal, c’est-à-dire féministe, antiraciste, anticatholique, homosexualiste, pornographique, bref, au profit de ces minorités qui le condamnent – par définition – économiquement !

Ben oui, quand tu d’adresses à 100 000 gays parisiens, tu peux pas séduire 10 millions de beaufs.

On pense, derrière ces films systémiquement ratés, à tous les honnêtes travailleurs de la filière, qui sont près de 90 000. Ce sont les techniciens, les assistants, les petites mains, la base de la pyramide. Eux sont directement punis par le haut de la pyramide, qui vide littéralement les salles avec ses lubies mondialistes.
Même si les 70 000 intermittents ont un statut à part, très protégé, ce que d’autres précaires du monde de la culture (comme les artistes ou les journalistes) n’ont pas. On va pas non plus chialer toutes les larmes de notre corps.

Tout ça sur fond de crise morale aiguë, avec comme bouc émissaire Depardieu, pourtant populaire, qui se fait éjecter de la Grande famille d’un cinéma de moins en moins français, y a qu’à voir nos exilés fiscaux, à Bruxelles ou en Californie. Rendez l’argent ! 

Payer 10 euros pour ça ou attendre que ça passe à la télé, la question elle est vite répondue

Continuez comme ça, nous, on sort les chips (mieux que les popcorns), et on savoure ce spectacle à la fois gratuit et moral. La justice immanente existe, on l’a rencontrée.

Soyons positifs : une belle génération de cinéastes va pousser sur ce merdier, c’est toujours comme ça, en art ou en histoire.

La fin est proche


- Source : E&R

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