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Jeudi, 29 Mai 2025

La lame se rapproche de la nuque de Pfizer

Auteur : Covidémence | Editeur : Walt | Mercredi, 28 Mai 2025 - 15h08

Au bout de l’hubris et de la démesure dans le mensonge… la lame. Finale.

Les fabricants de vaccins sont protégés aux États-Unis (loi fédérale dite Prep, votée en mars 2005, qui leur donne l’immunité, c’est le cas de le dire, face aux éventuels dégâts provoqués par leurs produits dans le cadre d’une urgence sanitaire).

Cette loi fut réaffirmée en mars 2020 pour les besoins du «Covid», bien entendu.

À noter qu’une autre loi datant de 1986 (le National Childhood Vaccine Injury Act) accorde déjà une forte protection aux fabricants de vaccins (et pas uniquement pour les enfants, contrairement à l’intitulé de la loi).

Mais un État américain a trouvé une faille : le Kansas (large victoire de Trump en novembre 2024 avec 57%).

En janvier 2024, ils ont attaqué Pfizer pour «pratiques commerciales trompeuses».

Une cour locale a accepté le dossier. Pfizer a immédiatement contre-attaqué au niveau fédéral (pour faire reconnaître et appliquer la protection accordée par la loi Prep).

Pas de bol… Le juge fédéral a précisé que les «pratiques commerciales trompeuses» ne rentraient pas dans le cadre de la loi !

Il renvoie donc le dossier à la cour locale qui va pouvoir continuer.

L’idée du Kansas (et on l’espère, d’autres états ensuite) est géniale.

Oui Pfizer et Moderna sont protégés, leur responsabilité est exonérée pour les terribles effets secondaires provoqués par leurs poisons, décès et blessures (quoi que… ce qu’une loi a fait, une autre loi peut le défaire)… mais ils ont péché.

Comment ? Par leur communication, leur marketing… leurs délires des «95% d’efficacité» et leurs «sûr et efficace» !

Toute la propagande insensée qui a déferlé sur les États-Unis à partir de la fin 2020, sans parler de leurs mensonges et des faits qu’ils ont dissimulés.

En clair voilà les points faibles :

  • Pfizer n’a pas révélé de liens entre son produit et des risques comme la myocardite, la péricardite (voir l’affaire de l’étiquetage désormais exigé par la FDA).
  • L’entreprise a faussement vanté l’efficacité sur la durée de son produit (ses données internes montraient au contraire une baisse rapide de son efficacité).
  • Pfizer a trompé le public en affirmant que le produit empêchait la transmission du virus (affirmation non étayée par des études).

Vous imaginez les risques financiers encourus par Pfizer ? À l’échelle. C’est-à-dire : colossaux. Rappelons qu’aux États-Unis la justice débouche souvent sur des réparations qui dépassent l’entendement en termes de montants.

La loi Prep protège certes les fabricants contre les conséquences physiques de leurs produits… mais elle ne les protège pas contre leurs mensonges ni leur propagande délirante.

Voici la source officielle au Kansas : https://www.ag.ks.gov/Home/Components/News/News/182/1292

D’autres actions judiciaires sont en cours, dans d’autres états, et qui elles aussi testent les limites de la fameuse loi Prep…

Cela fait depuis 2021 que je répète que l’étau finira par se resserrer autour de la nuque de ces entreprises criminelles ; nous y sommes.

Oui c’est lent, trop lent, mais c’est réel.

Imaginez un barrage hydraulique… La moindre petite fuite, lente au début, peut subitement devenir catastrophique et provoquer la destruction complète de l’ouvrage.

Et la raison est très simple à comprendre : avec le «Covid», ils ont été TROP LOIN, TROP FORT.

Sans parler de l’aspect politique, évident, brûlant même.

Impossible de comparer en termes d’échelles et d’intensité avec d’autres scandales pharmaceutiques «classiques» (thalidomide, Mediator, OxyContin, Vioxx, Dépakine, etc.).

Post-scriptum

Nous disposons d’un excellent indicateur avancé… celui qui criera à la face du monde que Pfizer et son complice Moderna sont finies.

Leurs cours de bourse. 😉

A fortiori aux États-Unis où le pognon est maître.

Cela sera, avec une ironie imposée, comme… une myocardite financière fatale…

Les rats quitteront le navire de plus en plus rapidement. Jusqu’au zéro de la destinée.

Aujourd’hui, à 23,32 dollars l’action… la valorisation de Pfizer est renvoyée au MEME NIVEAU que septembre 2012 !

Sacré «retour vers le futur», non ?

 

- Source : Covidémence

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