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Démolition contrôlée du World Trade Center 7 : le 9/11 Consensus Panel diffuse de nouvelles preuves issues de témoignages et de plans architecturaux

Auteur : Alter Info | Editeur : Walt | Mercredi, 04 Juin 2014 - 22h42

Les 24 membres du 9/11 Consensus Panel – qui comprend des physiciens, chimistes, ingénieurs, pilotes de ligne, avocats et juristes – annoncent aujourd’hui trois nouvelles études qui confirment que le bâtiment 7 du WTC 7 a bien été abattu par démolition contrôlée.

Ces trois points réfutent l’affirmation du NIST américain (National Institute of Standards and Technology) selon laquelle le 11 septembre 2001, pour la première fois dans l’Histoire, le feu a causé l’effondrement total et soudain d’un gratte-ciel à structure d’acier protégé contre l’incendie.
(Notez qu’alors que le Consensus Panel utilise pour son travail une méthodologie scientifique basée sur un comité de lecture, le rapport du NIST n’a lui pas été relu par un comité de lecture.)

Le premier point du Panel traite de la simulation informatique du NIST, qui était censée montrer que la dilatation thermique provoquée par les incendies a fait sortir une poutre de sa jonction sur la Colonne 79, enclenchant ainsi un effondrement total de l’ensemble de ce bâtiment de 47 étages à 17 h 21 cet après-midi-là.
Toutefois, une requête FOIA a permis d’obtenir les plans architecturaux du WTC 7 qui montrent que la simulation du NIST omet les supports structuraux de base qui auraient dû rendre impossible la défaillance de cette poutre.

Le deuxième point du Consensus Panel traite de l’affirmation du NIST selon laquelle il n’a pas récupéré d’acier de cet imposant gratte-ciel en acier.
Cela est très surprenant, étant donné qu’il aurait été utile de comprendre pourquoi un bâtiment à structure d’acier s’est effondré dans sa totalité pour la première fois dans l’Histoire à cause d’incendies, et pour empêcher que cela se reproduise.
Nous savons désormais que certaines pièces d’acier ont été récupérées. Des photographies obtenues récemment par des chercheurs montrent une étrange pièce d’acier du WTC 7 courbée et ramenée par endroit à l’épaisseur d’une feuille de papier, avec un enquêteur du NIST qui la montre du doigt.

Le troisième point du Panel met en évidence le fait que le 11 septembre 2001, de nombreuses personnes ont appris avec plusieurs heures d’avance que le WTC 7 allait s’écrouler.
Le reporter de MSNBC Ashleigh Banfield a déclaré tôt dans l’après-midi : “J’ai reçu différents rapports provenant de plusieurs officiers que ce bâtiment est le prochain qui va s’effondrer.”
Plusieurs membres du Département des pompiers de New York ont attendu que le bâtiment s’écroule, certains que cela allait se produire :
Le pompier Thomas Donato a déclaré : « On patientait, en attendant que le [bâtiment] 7 s’écroule. On est resté là un moment, deux bonnes heures. »
Le commissaire adjoint, James Drury, a déclaré : « J’ai trainé là-bas un certain temps. Il y avait des centaines de pompiers qui attendaient – ils attendaient que le bâtiment 7 s’écroule. »
Le pompier en chef Thomas McCarthy a dit : « Alors, quand je suis arrivé au poste de commandement, ils venaient juste de recevoir un afflux de gars qui y attendaient . Ils attendaient simplement que le bâtiment 7 s’écroule. »
De plus, CNN et la BBC ont annoncé prématurément son effondrement.
Cette préconnaissance corrobore donc les éléments de preuve et les conclusions présentées dans les points précédents (Voir Points de Consensus WTC-1 à 5), selon lesquels le WTC 7 a été abattu au moyen d’un procédé de démolition contrôlée.

Giulietto Chiesa : 11 septembre 2001, le NIST a menti

Comme vous le savez, je vous informe périodiquement des travaux du 9/11 Consensus Panel (vous trouverez ici toute la documentation à laquelle je fais référence dans cet article). Ce que je vous dis cette fois, c’est qu’il est désormais prouvé que le NIST (National Institute for Standards and Technologies) a menti. Et pas seulement une fois. Il faut avoir à l’esprit que le NIST est l’institution publique qui, seule, a été chargée par le gouvernement américain d’effectuer l’analyse des causes des effondrements qui se sont produits au World Trade Center le 11 septembre 2001. J’insiste ici sur ce premier fait curieux : le gouvernement charge un organe technique gouvernemental de mener une enquête dans laquelle ce même gouvernement est impliqué. Et il se contente de cette seule enquête, évitant soigneusement que d’autres entités, ne dépendant pas directement du gouvernement, viennent mettre leur nez dans ces questions épineuses.

Mais cela reste un détail.

Venons-en aux faits, qui ont émergé récemment, et qui sont les suivants : les affirmations du NIST, selon lesquelles il aurait été impossible d’examiner les caractéristiques structurelles de l’acier du WTC 7, du fait qu’il n’aurait pas été retrouvé de l’acier de ce bâtiment, sont fausses.

Je rappelle à ceux qui ne le savent pas, que le maire de New York de l’époque, Rudolph Giuliani, en accord avec les autorités nationales, avait organisé un nettoyage aussi rapide que spectaculaire du gigantesque tas de débris, faisant en sorte que toute trace de l’événement disparaisse le plus vite possible, et que toute enquête ultérieure devienne impossible.

Je rappelle également, à ceux qui l’auraient oublié, que dans les quelque 500 pages du Rapport de la Commission sur le 11-Septembre, on ne trouve pas la moindre allusion à ce gigantesque « détail » que constitue l’effondrement du WTC 7, la 3e tour maudite qui s’est écroulée ce même 11 septembre 2001 vers 17 h 20, sans avoir été percutée par un avion.

Le NIST n’est donc pas en mesure d’effectuer la moindre analyse métallographique de l’acier, du fait – comme il l’affirme (à plusieurs reprises et dans différents documents) – qu’on ne retrouve plus de cet acier, exporté promptement vers la Chine pour y être fondu loin des yeux indiscrets.

Ce genre d’analyse aurait pourtant été précieuse pour confirmer, ou infirmer, la thèse défendue par le NIST, selon laquelle le WTC 7 s’est écroulé suite à l’affaiblissement par d’intenses incendies des structures en acier de l’édifice.

Mais inutile de trop rentrer dans le détail de la version (ou plutôt, d’une des versions) du NIST. Ce dont il s’agit ici, c’est de savoir si le NIST a dit ou non la vérité. Eh bien, il se trouve qu’il a menti. Et il existe pas moins de 6 preuves de ce mensonge :

La première vient du Worcester Polytechnik Institute et remonte à cette même année 2001, au travers des pages du Journal of Mineral, Metals and Material Society (JOM), où l’on peut lire que trois chercheurs, J.R. Barnett, R.R. Biederman, et R.D. Sisson, Jr. ont effectué cette année-là une “Initial Microstructural Analysis of A36 Steel WTC Building 7,” (pré-analyse microstructurelle de l’acier A36 du bâtiment 7 du WTC). Et donc, le NIST n’a pas récupéré l’acier. Et la Commission officielle d’enquête les a crus. Pourtant les trois scientifiques ont bien trouvé ces échantillons et les ont même méticuleusement analysés.

La deuxième preuve vient d’une agence gouvernementale, l’une des plus importantes agences de sécurité nationale des USA, la FEMA (Federal Emergency Management Agency). Cette dernière a admis en 2002 avoir connaissance de l’analyse de l’acier par ces trois professeurs. Mais la Commission officielle, elle, ne s’en est pas aperçue, même si elle avait été instituée précisément pour enquêter sur ces événements et qu’elle ait été au travail durant les mois concernés.

La troisième preuve est confirmée par le Professeur Jonathan Barret (qui est l’auteur de l’étude de la FEMA citée plus haut), qui a remis ces faits en lumière six années plus tard, dans un documentaire de 2008 de la BBC.

La quatrième preuve provient encore une fois du rapport de la FEMA, où l’on découvre – si on le lit plus attentivement – qu’il existait une Annexe D où l’on parlait précisément de pièces de métal fondu extraites des débris du WTC 7, et qu’une photo accompagnant l’analyse montrait un morceau de colonne de cet immeuble avec des poutres encore accrochées sur deux étages.

La cinquième preuve a émergé en 2005, trois ans après le premier mensonge, lorsqu’une autre étude du NIST (la main gauche ne s’est pas souvenue de ce que la main droite avait écrit) fait référence à « l’acier provenant du WTC 7 ». Autrement dit, le NIST en 2005 dément le NIST de 2002.

Enfin, en 2012 a émergé la sixième preuve. Un document, publié suite à une requête FOIA (Freedom of Information Act, ou Loi sur la liberté de l’information) permet de voir plusieurs photos dans lesquelles John Gross est en train d’examiner des morceaux d’acier du WTC 7. Il faut noter que John Gross fut l’un des principaux auteurs du rapport du NIST qui attribue aux seuls incendies les raisons de l’effondrement vertical, en chute libre, du bâtiment 7 du World Trade Center.

Bien, dans un pays normal, tout cela serait suffisant pour rouvrir l’enquête, puisque les conclusions du Rapport de la Commission sur le 11/9 se sont basées sur les données d’une étude falsifiée. Une analyse métallographique de l’acier aurait démontré qu’aucun incendie de bureau, aussi intense soit-il, n’est en mesure de ramollir la structure porteuse d’un gratte-ciel de 47 étages au point de le faire littéralement s’écrouler à terre en quelques secondes, droit sur son empreinte. Mais on ne verra pas, aux États-Unis, de juge enquêteur disposé à incriminer le menteur John Gross.

Et pendant ce temps, il y a encore des gens pour croire au père Noël. Et c’est pour cela que depuis lors, nous allons de guerre en guerre.


- Source : Alter Info

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