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Lundi, 29 Avr. 2024

Chute du niveau de vie des femmes qui divorcent : c’est encore la faute des hommes

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Jeudi, 25 Janv. 2024 - 13h56

Quand le féminisme plombe les femmes

Au moment où les féministes font preuve d’un déchaînement d’agressivité vis-à-vis de la race masculine, parce qu’on en est là – tout ça à cause d’un Weinstein ou d’une minorité de connards qui battent leur femme –, on voit fleurir des « œuvres » sur la souffrance des femmes, alors qu’en France, elles sont protégées comme nulle part et jamais.

Malgré cette réalité, France Info applaudit un film italien qui va dans le sens du poil des chattes blessées : 

Le décompte des féminicides ne tient évidemment pas compte des masculinicides par dépression, alcoolisme, cancer ou suicide direct, suite à un divorce ou une séparation, sinon à des reproches quotidiens, ce meurtre mental à petit feu.

Le désir de divorce est bien sûr appuyé par les médias mainstream en général (« le couple est une entrave à la liberté », « jouissez sans entraves ») et la presse féminine en particulier, c’est pourquoi 80 % des divorces sont provoqués et demandés par les femmes.

Ensuite, ces mêmes femmes pleurnichent parce qu’elles sont seules (elles ne refont pas couple facilement, puisque le couple est responsable de leur envie de divorcer) et que leur niveau de vie a singulièrement baissé. Ce qui les gêne n’est pas d’ordre moral, mais bien matériel : la perte du pouvoir d’achat... du mari.

Radio France s’épanche sur le sort de ces femmes qui veulent tout, la liberté, le plaisir et l’argent. 

La vérité : la plupart des divorcées se lèsent toutes seules

Comme si c’étaient les maris ou les ex-maris qui appauvrissaient les femmes, ces dernières décidant majoritairement de quitter leur mari, espoir d’une vie (sentimentale) meilleure aidant, sans oublier la pension alimentaire !

Si la cause du divorce est mise sur le compte de l’homme, forcément mauvais, maintenant le déclassement des femmes enfin libérées de l’emprise ou de la violence de l’homme est aussi imputé à l’homme !

Le mensonge féministe fait mal aux femmes : le féminisme leur a vendu la liberté, les femmes ont hérité du déclassement. D’où l’avidité de nombreuses divorçantes envers leur ex pendant les procédures, sous prétexte de se faire rembourser un sacrifice de carrière.

Excuse bidon, mais acceptée par la majorité des juges, qui sont pour la plupart des femmes. Chaque procès en divorce devrait être traité par un couple de juges homme-femme, sinon on peut parler de délit d’initiées ou de préférence communautaire.

Illustration par un article du Figaro du 27 décembre 2023

La rédactrice aurait dû écrire « certaines ».

« Quelques jours avant mes quarante ans, j’ai examiné, presque disséqué, mon couple. Les papillons dans le ventre s’étaient envolés depuis longtemps, nous faisions rarement l’amour, je multipliais les vacances et les déplacements sans lui », souffle Pénélope, 44 ans. En regardant ainsi en arrière, elle se trouve « tellement cliché ». Mais à l’aube de sa nouvelle décennie, le constat est sans appel : Pénélope n’aime plus son mari. Elle doit donc le quitter.

Loin de la délivrer, cette prise de conscience la précipite dans un abîme vertigineux. À ce souvenir, son regard se trouble, le silence se prolonge. « J’étais là, au bord d’un gouffre… Non, j’avais l’impression d’avoir sauté et de tomber dans un puits sans fond. Je frôlais la crise de panique ». Car loin d’être libérateur, le divorce fait planer, chez elle, la menace d’une baisse considérable de son niveau de vie : son mari gagne cinq fois plus qu’elle. Elle décide alors de temporiser. Cartésienne dans l’âme, elle se remémore avoir « dressé la liste des avantages et des inconvénients des deux situations : divorcer, ou rester ». Depuis, quatre années se sont écoulées. Pénélope est toujours mariée à un homme qu’elle n’aime plus.

Le Figaro, dans cet article payant, au-delà de la duplicité de cette bourgeoise cynique, donne cette information :

"On voit après le divorce une baisse du niveau de vie : en moyenne, il est de 18 % pour les femmes et de 2 % pour les hommes, quand on compare aux couples qui restent mariés".

Conclusion : s’ils ne sont pas lessivés par leur ex, les divorcés se retrouvent en meilleure posture économique que les divorcées. Cela prouve qu’ils gagnent plus – mais pas énormément plus, aujourd’hui, car les couples sont socio-économiquement apparentés –, mais que les femmes pèsent aussi plus dans les dépenses. Et qu’on n’aille pas dire que les femmes se tuent à payer les courses ou les fringues des enfants, parce que dans le bilan familial, c’est généralement l’homme qui prend en charge les gros postes (loyer, voiture, énergie).

L’homme, s’il gagne plus, paye aussi plus : c’est lui qui augmente le niveau de vie de la femme. En le quittant, elle perd ce bonus.

Évidemment, on ne généralise pas la situation où la femme se croit lésée alors qu’elle ne l’est pas (on ne parle pas ici des mecs qui quittent – pour une plus jeune – leur épouse fatiguée qui a beaucoup fait pour leur carrière), mais elle est si courante qu’elle est devenue un cliché. Que beaucoup de divorcées assument sans complexe : elles préfèrent le fric (de leur ex) à leur ex.

Une solution économique : Arnaud et Philippe sous le même toit


- Source : E&R

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