La Norvège reclassifie le « Covid-19 » comme n’étant pas plus dangereux que la grippe

Petit rappel, si vous osez faire la comparaison grippe/covid vous passerez pour un complotiste bon pour l’asile.

Via Free West Media :

Le Covid-19 est traité dans les médias comme une maladie très dangereuse face à laquelle on applaudit la vaccination de masse et les restrictions sévères pour l’ensemble de la société malgré le peu de décès en dehors des groupes à risque. Mais en Norvège, il a maintenant été décidé de la traiter comme d’autres maladies respiratoires, telles que la grippe ou le virus du rhume, car selon l’Institut norvégien de la santé publique, elle n’est plus aussi dangereuse que ces dernières.

L’Institut norvégien de santé publique FHI a pris la décision remarquable, mais statistiquement étayée, de classer le Covid-19 comme une maladie respiratoire aussi dangereuse que la grippe ordinaire. Il est précisé que la pandémie n’est pas terminée, mais qu’elle est entrée dans une nouvelle phase où le Covid-19 est désormais assimilé à une maladie respiratoire courante, comme la grippe ou une infection respiratoire. Cela est dû, entre autres, aux mutations qu’a subies le coronavirus, ce qui le rend moins dangereux, ainsi qu’à l’augmentation de l’immunité naturelle et induite par la vaccination qui a été atteinte dans la société norvégienne.

Bien que l’infection elle-même continue de circuler au sein de la population, cela n’entraîne pas d’augmentation des séjours hospitaliers, ce qui signifie en soi que le coronavirus ne représente plus une charge importante pour les soins de santé en Norvège. Cela s’explique par le fait que la grande majorité des personnes à risque sont protégées. Ceux qui sont vaccinés présentent également des symptômes graves et ceux qui ne font pas partie des groupes à risque ne présentent généralement que des symptômes ordinaires de rhume léger. Le FHI estime donc que le coronavirus rejoint désormais les rangs des autres virus respiratoires tels que le rhume et la grippe saisonnière.

Traduction Aube Digitale

« C’est quelque chose de positif et cela envoie le signal qu’au moins en Norvège, pour le moment, on se considère conscient de la situation », a déclaré à Aftonbladet Niklas Arnberg, professeur de virologie à l’université d’Umea et président de la Fondation pour la lutte contre les pandémies.