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Dimanche, 12 Mai 2024

Ivermectine : une nouvelle méta analyse conclut à son efficacité

Auteur : FranceSoir | Editeur : Walt | Mardi, 22 Juin 2021 - 12h33

La campagne vaccinale n’en finit pas d’avancer avec des messages publicitaires et politiques de plus en plus coercitifs. Le ministre de la Santé a même envisagé, contre l’avis de la commission européenne, de rendre la vaccination obligatoire. Le tout vaccin trouve quand même des opposants quand il s’agit de la vaccination pour les enfants, et les données britanniques montrent que les patients vaccinés sont les plus hospitalisés. Raison de plus pour se tourner vers des traitements précoces, comme préconisés depuis plus d’un an par l’IHU du professeur Raoult.  Dans sa dernière étude, il a montré l’efficacité de la bithérapie à base d’azithromycine et d’hydroxychloroquine.  En Inde, le gouvernement a décidé depuis avril 2021 de promouvoir les traitements précoces à base d’ivermectine et d’hydroxychloroquine, qui s’est soldé par une baisse spectaculaire du nombre de cas et de décès.  Et malgré cela, pas un mot dans les médias "mainstream" français, ni de mention au ministère de la Santé ou à l’OMS. Silence radio pour les traitements précoces. Pourtant, l’ANSM a donné une recommandation temporaire d’utilisation pour moins que cela.

Une nouvelle méta analyse sur les bénéfices de l’ivermectine vient d’être publiée dans un journal à comité de lecture qui conclue que « des réductions importantes des décès dus au COVID-19 sont possibles en utilisant l'ivermectine. L'utilisation d'ivermectine au début de l'évolution clinique peut réduire le nombre de patients évoluant vers une maladie grave. La sécurité apparente et le faible coût suggèrent que l'ivermectine est susceptible d'avoir un impact significatif sur la pandémie de SRAS-CoV-2 dans le monde. » Tout en déclarant que les preuves sont de certitudes modérées, ce qui ne manquera pas d'entrainer des questions des observateurs des traitements précoces sur le pourquoi de ce dernier commentaires et sa réalité de terrain. 

Les détails de l’étude sont résumés ci-après : les médicaments repositionnés peuvent avoir un rôle contre le virus SARS-CoV-2. L'ivermectine antiparasitaire, aux propriétés antivirales et anti-inflammatoires, a maintenant été testée dans de nombreux essais cliniques.

L’étude a évalué l'efficacité du traitement à l'ivermectine sur la réduction de la mortalité, sur les critères de jugement secondaires et sur la chimioprophylaxie, chez les personnes atteintes ou à haut risque d'infection au COVID-19.

Les sources d'information de l’étude sont basées sur des recherches dans les bases de données bibliographiques jusqu'au 25 avril 2021. Deux auteurs de la revue ont passé au crible les études, en ont extrait les données et évalué le risque de biais. Des méta-analyses ont été menées et la certitude des preuves a été évaluée à l'aide de l'approche GRADE (une méthodologie d’analyse), en plus des analyses séquentielles d'essais pour la mortalité. Vingt-quatre essais contrôlés randomisés portant sur 3406 participants ont été inclus dans l’étude.

Les résultats sont clairs et montrent des avancées thérapeutiques : Une méta-analyse de 15 essais a révélé que l'ivermectine réduisait le risque de décès par rapport à un groupe sans ivermectine (risque relatif moyen 0,38, intervalle de confiance à 95 % 0,19-0,73 ; n = 2438 ; I 2 = 49 % ; preuves de certitude modérée). Ce résultat a été confirmé dans une analyse séquentielle d'essais utilisant la même méthode de DerSimonian-Laird qui se base sur une analyse non ajustée. Ceci était également robuste par rapport à une analyse séquentielle d'essais utilisant la méthode Biggerstaff-Tweedie. Des preuves de faible certitude ont révélé que la prophylaxie à l'ivermectine réduisait l'infection au COVID-19 de 86 % en moyenne (intervalle de confiance à 95 % 79 % - 91 %). Les critères de jugement secondaires ont fourni des preuves moins certaines. Des preuves de faible certitude suggèrent qu'il pourrait n'y avoir aucun avantage avec l'ivermectine pour le « besoin de ventilation mécanique », alors que les estimations d'effets pour « l'amélioration » et la « détérioration » étaient clairement en faveur de l'utilisation de l'ivermectine. Les événements indésirables graves étaient rares parmi les essais de traitement et les preuves d'absence de différence ont été évaluées comme étant de faible certitude. Les données probantes sur d'autres critères de jugement secondaires étaient de très faible certitude.

Conclusion : 

La conclusion de l'étude commence par une phrase qui en surprendra plus d'un : "Des preuves de certitude modérée montrent que des réductions importantes des décès dus au COVID-19 sont possibles en utilisant l'ivermectine." Avant de continuer par : l'utilisation d'ivermectine au début de l'évolution clinique peut réduire le nombre de patients évoluant vers une maladie grave. La sécurité apparente et le faible coût suggèrent que l'ivermectine est susceptible d'avoir un impact significatif sur la pandémie de SRAS-CoV-2 dans le monde.

Le principe de revue par les pairs des études a-t-il attenué l'engouement des auteurs sur leurs conclusions au point que ces derniers dussent écrire cette phrase sur les "preuves de certitudes modérées". Toujours est-il qu'il existe bien des preuves pour l'ivermectine et que la simple présomption d'efficacité aurait du suffire pour l'obtention d'une RTU (recommandation temporaire d'utilisation), ce qui n'est toujours pas le cas. Et pourtant Tess Lawrie, une des co-auteures, de l'étude a bien déclaré à la publication :

'l'ivermectine marche alors utilisons la".

***

Adam Gaertner, de la découverte de l’ivermectine à la nomination au prix Nobel de la paix

Adam Gaertner vit en Arizona, aux États-Unis, au cœur de l’Amérique. Sa femme et lui dirigeaient une agence créant des sites web liés au tourisme. Malheureusement, cette activité s’est arrêtée avec la pandémie et le confinement. Comme beaucoup d’autres citoyens, Adam avait donc du temps libre, et un intérêt sérieux pour la virologie. C’est par curiosité qu’il a essayé de comprendre en quoi consistait ce virus, sa forme, son origine, ses conséquences probables sur notre corps et quels traitements pourraient potentiellement guérir le covid-19, la maladie associée au virus Sars-Cov-2.

Dans ce débriefing complet, il explique comment, à partir de janvier 2020, il a été en contact avec une spécialiste de Wuhan, qui lui a fourni quelques centaines de pages de documents de recherche afin qu’il puisse poursuivre sa quête. Selon lui, certains de ces documents ont révélé des informations importantes sur le virus, ses implications pour l’homme, entre autres informations. Cela l’a amené à échanger des courriels avec le Dr Fauci, qui se trouvent à la page 2286 des Fauci Leaks. Il a notamment découvert une formule de la façon dont un virus comme le Sars-Cov-2 pourrait être concu – qui, il a reconnu, avait bien des données modifiées. Peu de réponses du Dr Fauci.

En utilisant les informations dont il disposait, il a conçu un traitement potentiel avec une dose élevée de vitamine C.

Sa femme et lui ont eu le covid-19 en février/mars 2020, et en ont profité pour expérimenter leur traitement, à différentes doses, avant de trouver une dose de charge optimale. Cependant, cela n’était pas suffisant car, en diminuant la dose, la maladie revenait. Grâce à une analyse de ces documents et de leurs recherches, ils ont examiné l’impact du virus sur les divers organes du corps humain, puis ont cherché des maladies qui auraient un impact sur les mêmes organes – et le traitement associé.  C’est ainsi qu’en mars 2020, ils ont décidé de se pencher sur l’ivermectine.

L’information a été partagée sur ses sites web et ses réseaux sociaux afin de diffuser l’info. Cela étant, il s'est confronté à des difficultés liées au fait qu'il ne soit pas issu ni du domaine médical, ni scientifique. Donc, l'obstacle a été la barrière de la crédibilité – le fameux « qui êtes-vous pour venir nous dire ce que nous devrions faire ou savoir ? ».

Quoi qu’il en soit, à partir de là, il a réussi d’une manière ou d’une autre à entrer en contact avec un certain nombre de médecins (Zelenko, Urso, Kory) aux États-Unis, mais aussi à l’étranger, pour parler de l’ivermectine. Il a été particulièrement touché lorsqu'il a découvert sur Facebook que des médecins voulaient le proposer pour le prix Nobel de la paix.

Si vous voulez en savoir plus sur tout ceci, ainsi que sur le Dr Urso, qui a parlé de l’ivermectine au vice-président Pence en juillet 2020, regardez ce débriefing.

La plus grande leçon tirée de cette expérience concerne l’intelligence collective, car c’est la recherche individuelle liée aux examens par les pairs et par les tiers qui a nettement contribué à l'avancée du processus. Si vous découvrez quelque chose d’intéressant, un jour, quelqu’un vous écoutera. N'abandonnez jamais.

Vidéo en version originale :

Vidéo en français (à venir, en cours de traduction)

Voici la liste définitive des médecins courageux du monde entier qui sont nominés pour le prix Nobel de la paix :

1. Adam Gaertner (USA)
2. Ahmed Ismat (Egypt)
3. Alexis Lieberman (USA)
4. Allan Landrito (Philippines)
5. Alvaro Olavarría Aichele (Chile)
6. Andres Felipe Velasco Bedoya (Colombia)
7. Attila Merényi (Hungary)
8. Aurora Trujillo Figueredo (Peru)
9. Avani Gupta (USA)
10. Ben Marble (USA)
11. Bo Karlicki (Dominican Republic)
12. Bruce Boros (USA)
13. Carlos Martinez Alfaro (Mexico)
14. Carolina Muniz (Brazil)
15. Chelsea Belle Goodell (USA)
16. Darrel DeMello (India)
17. David E. Scheim (USA)
18. Dora Prokopp (Hungary)
19. Eder Hernandez (USA)
20. Enik? Vrbos (Hungary)
21. Erzsébet Pusztai (Hungary)
22. Faiq Gorial (Iraq)
23. Fred Wagshul (USA)
24. Gustavo Aguirre Chang (Peru)
25. Gustavo Carvalho (Brazil)
26. Hector Carvallo Viamonte (Argentina)
27. Hoyt Nelson (USA)
28. Jay Anthony Sanchez (USA)
29. James Roguski (USA)
30. Jean-Jacques Rajter (USA)
31. Jean-Pierre Kiekens (Canada)
32. Jennifer Hibberd (Canada)
33. Jhonny Tavárez Capellán (Dominican Republic)
34. John McFadden (USA)
35. Jorge Alfonso Lemus (Guatemala)
36. Jose Natalio Redondo Galan (Dominican Republic)
37. Jose Humberto Galindo (Mexico)
38. Juliana Cepelowicz Rajter (USA)
39. Juan José Chamie (USA)
40. Jussara Resende (Brazil)
41. László Csuja (Hungary)
42. László Hídvégi (Hungary)
43. Leon Caly (Australia)
44. Marc Wathelet (Belgium)
45. Mary Beth Pfeiffer (USA)
46. Mike Vickery (USA)
47. Patti Gilliano (USA)
48. Pierre Kory (USA)
49. Ramesh Naidu Kataru (India)
50. Rob Karas (USA)
51. Sajid Jamal (India)
52. Sándor Tóth (Hungary)
53. Sharron Mason (USA)
54. Traci Baker (USA)
55. Victor Hugo Nunez del Prado (Bolivia)
56. Vladimir Zev Zelenko (USA)
57. Zoltán Pet? (Hungary)
58. Zsuzsanna Rago (Hungary)
59. Ah Kahn Syed (USA)
60. Andrew Hill (UK)
61. Anil Kumar Chaurasia (India)
62. Angelina Farella (USA)
63. Arezo Fathie (USA)
64. Bhanu Prakash (India)
65. Brian Tyson (USA)
66. Bruce Patterson (USA)
67. Chavdar Botev (Bulgaria)
68. Chris Hall (USA)
69. Chris Cave (USA)
70. Colleen Aldous (South Africa)
71. Craig Kelly (Australia)
72. Cristiana Altino de Almeida (Brazil)
73. Debra Hoffman (USA)
74. Dejan Dokic (Northern Macedonia)
75. Dharmendra Singh (India)
76. Eamonn Mathieson (Australia)
77. Edgar Vinicio Mondragón (Mexico)
78. Eduardo Alejandro Castillo Saavedra (Peru)
79. Eli Schwartz (Israel)
80. Eric Osgood (USA)
81. Fernando Zarzosa Salcedo (Peru)
82. Fernando Polanco Hinostroza (Peru)
83. George Fareed (USA)
84. Georgi Popov (Bulgaria)
85. Gustavo Elera Arévalo (Peru)
86. Harvey Risch (USA)
87. Ian Clayton (UK)
88. Ivo Petrov (Bulgaria)
89. Jackie Stone (Zimbabwe)
90. James Todaro (USA)
91. Jim Meehan (USA)
92. Joseph Varon (USA)
93. José Aníbal Córdova Masías (Peru)
94. Jozef Firment (Slovakia)
95. Juráj Mesík (Slovakia)
96. Justin Liegmann (USA)
97. Kanji Nakatsu (Canada)
98. Keith Berkowitz (USA)
99. Kerry Kirkman (USA)
100. Kylie Wagstaff (Australia)
101. Lauren Mickey (USA)
102. Lilija Chalakova-Dervishova (Northern Macedonia)
103. Lionel Lee (USA)
104. L’ubos Kabát (Slovakia)
105. Lucy Kerr (Brazil)
106. Manolo Fernandez (Peru)
107. Manuel Yui Cerna (Peru)
108. Mark Hobart (Australia)
109. Mary Rutherford (USA)
110. Martin Scholz (USA)
111. Matt Erickson (USA)
112. Michal Rezek (Czech Republic)
113. Miguel Antonatos (USA)
114. Mobeen Syed (USA)
115. Mogrovejo Ramos (Peru)
116. Naseeba Kathadra (South-Africa)
117. Ondrej Halgas (Canada)
118. Paolo Zanotto (Brazil)
119. Paul E. Marik (USA)
120. Pamela Rodgers (USA)
121. Paul Robert Vogt (Switzerland)
122. Pavol Török (Slovakia)
123. Peter A. McCullough (USA)
124. Peter Yim (USA)
125. Raphael Furtado (Brazil)
126. Ram Yogendra (USA)
127. Randy Grellner (USA)
128. Richard Urso (USA)
129. Robert Apter (USA)
130. Robert Clancy (Australia)
131. Roland Derwand (USA)
132. Ryan Cole (USA)
133. Sabine Hazan (USA)
134. Satoshi Omura (Japan)
135. Sebastian Ugarte (Chile)
136. Shabnam Palesa Mohamed (South-Africa)
137. Shashikanth Manikappa (India)
138. Simone Gold (USA)
139. Spas Petkov (Bulgaria)
140. Surya Kant (India)
141. Steve Kirsch (USA)
142. Syed Haider (USA)
143. Tarek Alam (Bangladesh)
144. Tess Lawrie (UK)
145. Thomas Borody (Australia)
146. Wlodzimierz Bodnar (Poland)
147. Werner Appelt (Germany)
148. William Crevier (USA)

FranceSoir


- Source : FranceSoir

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