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Lundi, 20 Mai 2024

Après avoir fait le sale boulot pour le régime, les policiers sont lâchés par le pouvoir sioniste

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Vendredi, 12 Juin 2020 - 14h46

Comme d’autres catégories de Français, les policiers découvrent qu’ils se sont fait avoir, alors qu’ils ont, pendant 18 mois, tabassé les Gilets jaunes au profit du régime bancaire de Macron-Kohler-Philippe. Aujourd’hui, il sont lâchés par l’ignoble Castaner, qui ne fait que transmettre les ordres du pouvoir profond, plus ou moins retoqués par Macron. Le Président, dans la séquence actuelle, n’agit plus que comme un filtre de l’exécutif devenu lui-même un simple organe de répressions, répressions médiatique, médicale, économique.

Dans l’état actuel des choses, Macron ne peut pas être réélu, il n’est même pas sûr qu’il aille au bout de son mandat. C’est pourquoi il a laissé fuiter l’idée qu’il pouvait démissionner et relancer la machine électorale, un coup de poker jamais vu sous la Ve République, sauf quand Chirac a eu la mauvaise idée de dissoudre l’Assemblée en 1997, donnant alors une majorité aux socialistes, qui porteront Jospin au poste de numéro 2. On connaît la suite.

Si Macron ne peut être réélu, il peut encore nuire à son opposition réelle, l’organisation nationale-sioniste qui guigne la place du calife. C’est pourquoi le chaos actuel est à lire comme un combat entre ces deux tendances, par-dessus les Français. L’exhumation opportuniste du grand cadavre de l’antiracisme est probablement due à la tendance gauchiste de Macron, mais la résistance nationale-sioniste est forte, et marque des points.

Les ingénieries des deux camps se tamponnent, et il ne faut pas oublier la nouvelle opinion très éclairée du Net, qui ne marche pas dans les combines gouvernementales. L’antiracisme d’État et de la LICRA se heurte au néoracisme du sionisme, qui joue sur du velours : soutenir Adama Traoré, c’est soutenir le chaos, la racaille, l’anti-France.

Nous savions, pendant la répression féroce des Gilets jaunes, que les forces de l’ordre allaient un jour avoir besoin du soutien de la population, contre les décisions gouvernementales qui détruisent l’État et la force régalienne à petit feu. C’est le cas aujourd’hui, et les commissaires qui pleurent devant l’abandon de leur ministre sont les mêmes qui hier fustigeaient la révolte sociale. Même refrain dans la gendarmerie :

Mais que les Français soient pro ou anti-police, ils sont pris dans une nasse, celle des sionistes de gauche et des sionistes de droite. C’est la subtilité de la méta-ingénierie sociale sioniste, qui contrôle le terrorisme et l’antiterrorisme, l’antiracisme et le racisme.
Illustration avec le sioniste de gauche Claude Askolovitch, qui s’en prend au sioniste de gauche adoubé par les nationaux-sionistes, Michel Onfray :

La seule façon de se sortir de ce piège géant, qui est destiné à fracturer et disloquer la France, c’est de renvoyer dos à dos les antiracistes et les nationaux-sionistes. La ligne E&R, quoi.


- Source : E&R

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