La nouvelle scolarité : des cages individuelles en plastique sont la nouvelle normalité secrète (Vidéo)

Dans une vidéo mise en ligne sur Facebook puis sur YouTube, on voit une enseignante de collège de Caroline du Sud montrant sa nouvelle salle de classe et se demandant comment l’école va fonctionner dans un tel environnement.

L’enseignante, regardant à travers la salle de classe, dit :

Très bien, Monsieur Richardson. J’ai juste une question pour le conseil d’administration de l’école. Je me demande, c’est ma salle de classe, et j’ai une salle de classe assez grande par rapport aux autres salles de classe de notre bâtiment, mais j’ai 28 bureaux ici en ce moment. Si nous y retournons cinq jours par semaine, j’en aurai trente, trente ou deux avec les enfants qui reviennent du virtuel.

C’est le siège du milieu de la dernière rangée de ma salle de classe. C’est leur vue, euh, pour le tableau.

Donc je me demande, quand nous avons commandé ce plexiglas d’une valeur de cinq millions de dollars, avons-nous installé une salle de classe avec 28 bureaux, où les membres du conseil d’administration de l’école pouvaient s’asseoir et voir ce que cela allait vraiment être ? Parce que j’essaie encore de comprendre comment, entre mes cours, je suis censée désinfecter, comment je suis censée entendre mes élèves quand ils sont au fond de la salle et qu’ils portent un masque derrière tout ce plexiglas…

La vidéo date de plus d’un mois et la plupart des gens ne l’ont pas vue.

Est-ce qu’ils font cela dans tout le pays ? Pourquoi n’est-elle pas diffusée dans les médias ?

C’est apparemment ce qu’ils font dans toute l’Amérique – rendant impossible le fonctionnement des écoles, ce qui oblige alors tout le monde à se rabattre sur l’enseignement via Zoom.

Il suffit de jeter un oeil à ces cages :

Ce n’est pas pratique.

Elle dit que cela coûte des millions de dollars à fabriquer.

L’école est apparemment finie, de façon permanente, et ils ne nous le disent pas encore. Au lieu de cela, ils déversent des millions de dollars dans des systèmes qui ne peuvent pas fonctionner, pour pouvoir dire “oh, eh bien, nous avons essayé” et ensuite retourner à l’école via Zoom.

Tout ce qui concerne le coronavirus est conçu pour créer un enfer, donc les gens diront “il vaut mieux autre chose que tout ça” et seront prêts à accepter les moindres recommandations du gouvernement.