La FDA admet que les tests PCR donnent des faux positifs

La FDA a aujourd’hui rejoint l’OMS et le Dr. Fauci pour admettre qu’il existe un risque notable de faux positifs liés au test PCR standard utilisé pour définir si un individu est un “cas” positif au COVID ou non.

Ce point est important car il correspond parfaitement au “faux plan de sauvetage” que nous avons décrit précédemment et qui se produira une fois que l’administration Biden sera en place. Mais avant d’en arriver à cette “conspiration”, nous avons besoin de prendre un peu de recul sur la façon dont le monde en est arrivé là…

Au cours des derniers mois, nous avons décrit en détail la controverse entourant le “casedemic” (la pandémie de faux cas) du Covid aux Etats-Unis et les résultats trompeurs du test PCR et de sa procédure d’amplification.

Pour rappel, les “seuils de cycle” (Ct) sont le niveau auquel le test d’amplification en chaîne par polymérase (PCR), largement utilisé, peut détecter un échantillon du COVID-19. Plus le nombre de cycles est élevé, plus la charge virale de l’échantillon est faible ; plus les cycles sont faibles, plus le virus est répandu dans l’échantillon initial.

De nombreux experts en épidémiologie ont fait valoir que les seuils de cycle sont une mesure importante qui permet aux patients, au public et aux décideurs politiques de prendre des décisions plus éclairées sur le degré d’infection et/ou de maladie d’un individu dont le test de dépistage du COVID-19 est positif. Cependant, comme le rapporte JustTheNews, les services de santé de tout le pays ne parviennent pas à collecter ces données.

Voici quelques titres de ces experts et études scientifiques :

1. Les experts ont compilé trois ensembles de données avec des responsables des États du Massachusetts, de New York et du Nevada qui concluent : “Jusqu’à 90% des personnes testées positives n’étaient pas porteuses d’un virus”.

2. Le Wadworth Center, un laboratoire de l’État de New York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40 : “Avec un seuil de Ct de 35, environ la moitié de ces tests PCR ne seraient plus considérés comme positifs”, a déclaré le NYT. “Et environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ! “

3. Une cour d’appel au Portugal a statué que le processus PCR n’est pas un test fiable pour le SARS-Cov-2, et donc toute quarantaine forcée basée sur ces résultats de test est illégale.

4. Une nouvelle étude de l’Infectious Diseases Society of America a révélé qu’à 25 cycles d’amplification, 70% des tests PCR “positifs” ne sont pas des “cas” puisque le virus ne peut être cultivé, il est mort. Et à 35 ans : 97% des positifs sont non cliniques.

5. La PCR ne teste pas une maladie, mais un modèle d’ARN spécifique, et c’est là le pivot essentiel. Lorsque vous la faites monter à 25, 70 % des résultats positifs ne sont pas vraiment “positifs” au sens clinique du terme, car il ne peut pas vous rendre malade, ni personne d’autre.

Donc, en résumé, en ce qui concerne notre “casedemic” actuelle, les tests positifs tels qu’ils sont comptés aujourd’hui n’indiquent pas un “cas” de quoi que ce soit. Ils indiquent que de l’ARN viral a été trouvé dans un prélèvement nasal. Cela peut suffire à vous rendre malade, mais selon le New York Times et ses experts, ce ne sera probablement pas le cas. Et certainement pas une réplication suffisante du virus pour rendre quelqu’un d’autre malade. Mais vous serez quand même renvoyé chez vous pendant dix jours, même si vous ne reniflez jamais. Et c’est le chiffre que les médias rapportent à grands renforts de souffle… et qui est utilisé pour masquer les mandats et les confinements à l’échelle nationale…

En octobre, nous avons pour la première fois exposé comment les tests PCR ont induit en erreur les fonctionnaires du monde entier en provoquant des réactions d’une autorité démesurée.

Comme l’a écrit Stacey Lennox de PJMedia, la “casedemic” est le nombre élevé de cas que nous constatons à l’échelle nationale en raison d’une faille dans le test PCR. Le nombre de fois que l’échantillon est amplifié, également appelé seuil de cycle (Ct), est trop élevé.

Il permet d’identifier les personnes qui n’ont pas une charge virale capable de les rendre malades ou de transmettre la maladie à quelqu’un d’autre comme étant positives au COVID-19.

Le New York Times a rapporté cette faille le 29 août et a déclaré que dans les échantillons qu’ils ont examinés, provenant de trois États où les laboratoires utilisent un Ct de 37-40, jusqu’à 90% des tests sont essentiellement des faux positifs. Les experts de cet article ont déclaré qu’un Ct d’environ 30 serait plus approprié pour indiquer qu’une personne pourrait être contagieuse – ceux pour qui la recherche des contacts aurait un sens.

Quelques jours auparavant, les CDC avaient actualisé leurs lignes directrices pour décourager les tests sur les personnes asymptomatiques. On peut seulement supposer que la raison de cette décision était qu’un bureaucrate honnête avait compris que les tests étaient inutilement sensibles. Il ou elle a probablement été rétrogradé(e).

Ce changement a été précédé par une mise à jour de juillet qui décourageait de refaire les tests pour les patients guéris. La justification de cette mise à jour était que les débris viraux pouvaient être détectés en utilisant le test PCR pendant 90 jours après le rétablissement. Il en serait de même pendant un certain temps si une personne avait une réponse immunitaire efficace et ne tombait jamais malade. L’immunité existante contre l’exposition à d’autres coronavirus a été bien documentée. Il s’agit de nombreux cas “asymptomatiques”.

Toutefois, en raison de pressions politiques et de la colère des médias, les nouvelles directives sur les tests ont été supprimées et il est à nouveau recommandé de procéder à des tests pour les personnes asymptomatiques. Les médecins ne reçoivent pas les informations sur le CT des laboratoires pour établir un diagnostic. Ni les CDC ni la FDA n’ont publié de directives pour un CT précis permettant de diagnostiquer une maladie contagieuse avec exactitude.

D’où notre “casedemic” actuelle. Les tests positifs tels qu’ils sont comptabilisés aujourd’hui n’indiquent pas un “cas” de quoi que ce soit. Ils indiquent que de l’ARN viral a été trouvé dans un prélèvement nasal. Cela peut suffire à vous rendre malade, mais selon le New York Times et ses experts, ce ne sera probablement pas le cas. Et certainement pas une réplication suffisante du virus pour rendre quelqu’un d’autre malade. Mais vous serez quand même renvoyé chez vous pendant dix jours, même si vous ne reniflez jamais. Et c’est le nombre que les médias rapportent avec effervescence.

Un mois plus tard, le Dr Pascal Sacré, a expliqué en détail comment toute la propagande actuelle sur la pandémie de COVID-19 est basée sur une hypothèse considérée comme évidente, vraie et non plus remise en question : Un test RT-PCR positif signifie être malade avec le COVID.

Cette hypothèse est trompeuse. Très peu de gens, y compris les médecins, comprennent le fonctionnement d’un test PCR.

À la mi-novembre, nul autre que celui qui ne devrait pas être interrogé – le Dr Anthony Fauci – a admis que le Ct élevé du test PCR est trompeur :

“Ce qui est en train de devenir une sorte de norme”, a déclaré Fauci, “c’est que si vous obtenez un seuil de cycle de 35 ou plus … les chances qu’il soit sûr de se reproduire sont minuscules”.

“C’est très frustrant pour les patients comme pour les médecins”, a-t-il poursuivi, “lorsque quelqu’un arrive, et qu’il répète sa PCR, et c’est comme un seuil de cycle de 37, mais vous ne pouvez presque jamais cultiver le virus à partir d’un seuil de cycle de 37”.

Donc, je pense que si quelqu’un arrive avec 37, 38, voire 36, vous devez dire, vous savez, c’est juste des nucléotides morts, point.

Donc, si quelqu’un qualifie cette discussion de “conspiration”, qu’il s’adresse au Dr Fauci.

En réponse à cela et à la “science” actuelle, le Département de la santé de Floride (et approuvé par le gouverneur républicain de Floride Ron deSantis) a décidé que pour la première fois dans l’histoire de la pandémie, un État exigera que tous les laboratoires de l’État signalent le niveau critique du “seuil de cycle” de chaque test de dépistage du COVID-19 qu’ils effectuent.

Tout cela nous amène à l’annonce faite aujourd’hui par la FDA…

La Food and Drug Administration (FDA) américaine alerte les patients et les prestataires de soins de santé du risque de faux résultats… avec le test de dépistage du SARS-Cov-2.

Et pourquoi cela est-il important ?

Eh bien c’est simple – c’est ainsi que l’établissement peut montrer que le plan de Joe Biden est de sauver miraculeusement le monde.

Nous avons expliqué le “faux plan de sauvetage” en octobre.

Le faux sauvetage

Biden publiera des normes nationales, comme les barrières en plexiglas dans les restaurants dont il a parlé au cours du débat, et fera pression sur les gouverneurs pour qu’ils mettent en œuvre des mandats de port de masques en utilisant le levier financier du gouvernement fédéral (REMARQUE : son “mandat” de port de masques de 100 jours est déjà en jeu).

Certains furieux des CDC ou de la FDA vont publier de nouvelles directives visant à réduire le taux d’utilisation des laboratoires et, comme par magie, les cas vont commencer à diminuer.

En réalité, le changement ne fera qu’éliminer les faux positifs, mais la plupart des Américains ne le sauront pas.

Le bon vieil oncle Joe sera le héros, même si ce sont les acteurs de l’État profond dans les bureaucraties de la santé qui ne résoudront pas un problème de tests dont ils ont connaissance depuis des mois.

Alors, voilà les gens… D’abord Fauci, puis l’OMS, maintenant la FDA, tous admettent qu’il y a des malversations dans les tests PCR, mais n’ont – jusqu’à présent, rien fait à ce sujet… en permettant à la peur quotidienne des “cas” qui s’envolent de permettre leurs contrôles les plus tortueux de 1984-esque.

Tout ce qu’il faut maintenant, c’est que l’un de ces estimés groupes décide de réduire le Ct pour un test PCR “positif” de 15 ou 20 fois et que, soudain, nous soyons sauvés de l'”hiver noir” alors que le plan de Biden réduit considérablement le nombre de cas positifs… nous sommes sauvés.

Soit dit en passant, cela explique aussi clairement la disparition de la “grippe” pendant cette saison, car la pléthore de tests PCR à Ct élevé, censés indiquer une augmentation des cas de COVID, n’en est pas une.

Comme Stephen Lendman l’a noté précédemment, en affirmant que “les mesures de confinement ont stoppé la grippe, (les épidémies) ont chuté de 98% aux Etats-Unis”, il a ignoré que ce qu’on appelle COVID est simplement la grippe saisonnière combinée à des faux positifs (Ct extrêmement élevé) provenant de tests PCR.

C’est pourquoi la grande grippe qui disparaîtra en 2020 passe largement sous le radar des médias. La tromperie de masse et le pouvoir de répétition des médias font croire à la plupart des gens et, après avoir réussi à “tuer la grippe”, ils feront maintenant de même avec le COVID… et, si nos supérieurs le permettent, nous reviendrons tous à la nouvelle normalité qu’ils désirent.

Traduit par Aube Digitale