Une méta-analyse démontre que l'ivermectine est l'un des traitements les plus efficaces contre le COVID

Le Dr Andrew HILL est directeur de recherche à l’Université de Liverpool, spécialisé dans l’accès à la médecine. Il est également conseillé à l’Organisation Mondiale de la Santé. Dans cette vidéo, il passe en revu les bénéfices de l'ivermectine pour les patients COVID, un traitement très efficace, totalement ignoré par les médecins et le gouvernement français.

Le Dr Hill évoque notamment un temps nettement plus court pour se débarrasser du virus (passant de 10 à 5 jours dans une étude), une période d'hospitalisation également plus courte (divisée par 3 dans une étude égyptienne, 5 jours à la place de 15), des taux 43% plus élevés de récupération clinique et une remarquable réduction de 83% de la mortalité.

Cette autre méta-analyse regroupant 28 études retrouve une diminution de la mortalité de 85%.Plusieurs autres études de plus grande envergure sont en cours dans 21 pays (pas en France évidemment) et il y a aura certainement des résultats complémentaires en janvier.

L'utilisation de ce médicament en Amérique latine a aussi montré de très bons résultats.  Récemment, un ancien chef de l'Organisation Panaméricaine de la Santé attribue la faible létalité dominicaine à l'ivermectine et appelle à généraliser le traitement dans le pays.

La mortalité COVID de la République Dominicaine (222 par million d'habitants) est 4,5 fois inférieure à celle de la France (989). L'intérêt de ce médicament est qu'il peut être utilisé à toutes les phases de l'infection (y compris en prophylaxie) tout en ayant peu d'effets secondaires.

Note: Il y a des sous-titres en espagnol donc vous pouvez activer la traduction simultanée en français si vous le souhaitez.

A noter que la Russie a annoncé cette semaine avoir développé le premier antidote au Covid au monde indiquant qu'il est «totalement sûr» et «très efficace» (99%). Malheureusement, comme toujours quand il s'agit de la Russie, il y a très peu de chance que ce remède intéresse la France qui préférera largement laisser mourir les gens.

Reste à voir si l'ivermectine va être mise en avant par l'OMS ou pas car cette méta-analyse a été financée par cette organisation donc ils sont désormais plus qu'au courant des avancées significatives de cette molécule dans la prise en charges des malades. L'usage de ce médicament à large échelle pourrait certainement changer la donne en 2021.