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Dictature technologique: L’appli WhatsApp de Facebook espionne les usagers…

Auteur : VT (Etats-Unis) | Editeur : Walt | Lundi, 20 Mai 2019 - 14h46

La technologie moderne qui culmine avec la 5G se mettant en place n’est qu’un outil de contrôle et de destruction de nos vies, au sens social comme au sens physique du terme, la 5G est un projet eugéniste de génocide planétaire.

Une résistance efficace s’organise hors électronique, l’humain prime, l’humain sauvera l’humain et rien d’autre. (Résistance 71)

La vulnérabilité de WhatsApp ?… Soyons sérieux, Le Mossad possède et a créé WhatsApp pour les imbéciles (comme moi…)

Note des éditeurs: Les révélations d’aujourd’hui que WhatsApp est hacké par la sécurité israélienne n’est pas vraiment une info. Des millions de personnes utilisent cette application pour téléphoner gratuitement sous WiFi dans le monde entier.

Les créateurs de cette app ont toujours eu des liens très étroits avec Israël mais lorsque Fakebook l’a achetée, le Zuckstein, ce fut totalement abandonné au renseignement militaire israélien (NdT: Shinbeth), pas le Mossad, mais ceci est un mot que certains pourront comprendre.

Des groupes comme l’EIIL / Daesh communiquent via Google, utilisent des vidéos YouTube (propriété de Google) et des écrans de communication pour faire passer des messages. Nous avons dénoncé cela il y a des années, un jour peut-être que la NSA le fera aussi.

Nous pensons que Google est l’EIIL / Daesh…

RT/Moscow: 

L’application WhatsApp messenger, propriété de Facebook, a été transformée en arme électronique afin de piéger les téléphones de ceux qui font campagne pour les droits de l’Homme, ainsi que d’autres dissidents, avec des logiciels espions israéliens, ce qui a déclenché un feu nourri contre le fabricant du programme.

“Le groupe NSO vend ses produits aux gouvernements qui sont connus pour leurs violations outrancières des droits de l’Homme, leur donnant ainsi des outils de traçage des activistes et des critiques politiques. L’attaque sur Amnesty International fut la goutte d’eau.” a déclaré Danna Ingelton, directrice adjointe d’Amnesty Tech dans un communiqué lundi dernier. “Il est temps d’arrêter d’utiliser le groupe NSO et ses outils d’infiltration, d’intimidation et de réduction au silence de la société civile.”

Amnesty, qui a été ciblée avec plusieurs autres avocats des droits de l’Homme par WhatsApp, travaille avec un groupe de citoyens israéliens et des groupes de protection légale sur une action en justice qui forcerait le ministère israélien de la défense à révoquer la licence d’exportation du groupe NSO, affirmant que le produit phare de l’entreprise, appelé Pégase, est dangereux et prône aux abus et que NSO le vend délibérément à des gouvernements répressifs.

Après avoir découvert la “vulnérabilité la semaine dernière, WhatsApp affirme travailler 24/24 pour développer une protection pour les utilisateurs, chose qui fut apparemment faite lundi. WhatsApp a aussi rapporté la chose au ministère de la justice américain, qui a refusé de faire tout commentaire au Financial Times. L’entreprise ne sait pas comment les quelques 1,5 milliards de personnes utilisant son App ont été affectées.

Les agresseurs ont installé Pégase sur les téléphones de leurs utilisateurs cibles au travers la fonction d’appel de WhatsApp, d’après l’entreprise. Les utilisateurs n’avaient même pas à répondre au téléphone pour être infectés. Pégase peut allumer la caméra et le microphone d’un utilisateur ciblé à la commande, espionner et utiliser la messagerie, tracer la géo-location, tout cela sans que la victime ne sache quoi que ce soit. Alors que l’entreprise affirme que Pégase n’est que pour l’utilisation de gouvernement, son site internet insiste sur le fait que sa mission est de “développer une technologie pour empêcher et enquêter sur le crime et le terrorisme”, NSO affirme sélectionner ses clients ; un certain nombre d’activistes et de défenseurs des droits de l’Homme au Moyen-Orient se sont retrouvés du mauvais côté de l’application et de l’attaque de Pégase. Amnesty International affirme que des activistes, journalistes, défenseurs des droits de l’Homme au Mexique ont été inquiétés, un employé, des activistes saoudiens, un activiste des droits de l’Homme aux EAU et même soi-disant le dissident saoudien Jamal Kashoggi dont les tortionnaires et tueurs utilisèrent l’application pour le suivre et le tracer, tous ces gens ont été des victimes de Pégase.

“En aucun cas NSO serait impliquée dans le fonctionnement ou l’identification de cibles de sa technologie, qui est uniquement utilisée par des agences de renseignement ou autorités légales”, a dit NSO ajoutant que l’entreprise n’aurait pas la capacité technique de cibler des individus ou des organisations. AI n’est pas la seule organisation traduisant NSO en justice. Alaa Mahajne, une avocate de Jérusalem, se porte partie civile pour des citoyens mexicains et saoudiens ciblés par le logiciel. “C’est déconcertant mais pas surprenant que mon équipe ait été ciblée avec la même technologie que nous attaquons en justice”, a t’elle ajouté.

Rapporté il y a deux ans en Israël:

Comment WhatsApp expose vos données

WhatsApp, service de messagerie propriété de Facebook, chiffre (code) les messages des utilisateurs, mais un développeur de logiciel a découvert des utilisateurs partageant des liens internet pouvant exposer des données personnelles.

Un des avantages majeurs du service de messagerie texte, photo, audio, et vidéo de WhatsApp est son chiffrage des messages d’un bout à l’autre de la chaîne de transmission. L’appli, propriété de Facebook, n’offre pas nécessairement le service le mieux protégé, mais cette caractéristique est un avantage majeur pour un service de messagerie qui est le plus largement utilisé de par le monde. L’encryptage peut permettre la protection des messages d’être hacké par des particuliers ou des gouvernements, mais il est devenu apparent cette semaine que la façon dont WhatsApp gère les liens avec les sites internet envoyées sur l’application expose les données des utilisateurs.

Ce point faible fut d’abord dévoilé cette semaine par un développeur de logiciel gardant l’anonymat, répondant au pseudonyme de “mulander” sur Twitter, après que cette personne ait remarqué quelque chose de bizarre lorsqu’elle examina la fonction du serveur pour son blog. Il se passe que lorsque quelqu’un tape des adresses de sites internet sur l’application, WhatsApp envoie l’adresse au serveur du site désiré lettre par lettre. Ceci donne à l’utilisateur un pré-visionnage plus rapide de la page demandée, mais cela provoque aussi un défaut dans la sécurité du message…

Facebook n’a pas encore répondu à la demande du journal Haaretz à ce sujet. (Haaretz)

Traduit de l’anglais par Résistance 71


- Source : VT (Etats-Unis)

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