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La censure archéologique

Auteur : Kira21 | Editeur : Walt | Samedi, 17 Oct. 2015 - 18h38

Alors même que l’Homme pense être dans une démocratie à l’abri de tout type de censure, il est loin de se douter que sur des sites archéologiques, des objets historiques ne rentrant pas dans les normes de la théorie générale, sont écartés de la recherche scientifique. Il y a un véritable tri sélectif qui se fait presque spontanément par la communauté scientifique. Les anomalies historiques qui existent en abondance, rentrent en contradiction avec notre vision darwiniste du passé. Ainsi depuis plus d’un siècle, l’archéologie ne peut plus avancer car les scientifiques ne font plus attention à ces objets anachroniques. Heureusement, cette archéologie censurée est dénoncée par une poignée de scientifiques courageux qui ont affronté les critiques au péril de leur carrière.

Michael Cremo témoigne:

« Au cours des 150 dernières années les archéologues et anthropologues ont caché autant de faits qu’ils en ont mis à jour ».

Richard Thomson :

« On appelle cela le filtrage des connaissances. C’est une caractéristique fondamentale de la science et même de la nature humaine. L’homme a tendance à mettre de côté ce qui ne cadre pas. Les personnes ayant fait des études scientifiques n’en entendent généralement pas parler. C’est une autocensure qui se fait de manière spontanée au sein de la communauté scientifique ».

Will Hart, journaliste d’investigation scientifique, dans son article « l’archéologie censurée »:

« L’establishment scientifique tend à rejeter, à supprimer ou à ignorer les informations qui remettent en question les théories reçues, tout en discréditant ou en persécutant le messager. La science moderne est devenue un labyrinthe de filtres dressés pour promouvoir certaines théories orthodoxes, et pour éliminer les données préjugées inacceptables. les preuves et la qualité ne sont plus les principes directeurs; la conformité et les références au sein de la communauté établie ont remplacé l’objectivité, l’accessibilité et l’ouverture ».

Nous n’avons pas idée de combien d’artéfacts ou de dates ont été qualifiés d’ « erreurs » et mis à l’écart ou égarés en « circulaires » pour ne jamais revoir le jour. La tactique classique consistant à discréditer ceux qui osent douter ou remettre en cause les dogmes scientifiques en place a prouvé son efficacité. A chaque fois que quelqu’un ose parler d’une civilisation engloutie, il est écarté de la communauté scientifique. Pourtant c’est souvent ceux qui sont considérés comme fous qui le sont le moins. Prenons par exemple, Heinrich Schliemann le célèbre archéologue allemand qui découvrit le site antique de Troie. Au départ, personne ne le prenait au sérieux lorsqu’il disait : « la guerre de Troie a eu lieu ». De même aujourd’hui, les archéologues qui croient à l’existence de l’Atlantide ne sont pas reconnus par la communauté scientifique. Saviez-vous au juste que H. Schliemann avait commencé à enquêter sur l’Atlantide car il pensait que ce mythe était en réalité un fait historique, comme la ville de Troie !

N’est-ce pas légitime de douter de la théorie selon laquelle l’origine de l’évolution culturelle ne peut remonter au-delà de Sumer, 4.000 ans av. J.C ?

Le darwinisme n’est plus une simple théorie mais c’est devenue un diktat scientifique.

Une question évidente se pose alors : Pourquoi l’archéologie est-elle censurée ? Est-ce par fainéantise, afin de ne pas reprendre toute l’Histoire à zéro, que les archéologues ne veulent pas révéler au public ces anomalies archéologiques ? Ou bien est-ce parce qu’on veut nous cacher une vérité inimaginable ? Dire que des civilisations ont vécu avant le déluge est un blasphème scientifique… et pourtant cette théorie prend toute sa place si l’on prend l’ensemble des objets archéologiques sans faire de tri et sans trafiquer leur date de fabrication.

Galilée disait:

« le doute est le père de la création ? »… pourquoi aujourd’hui empêche-t-on les archéologues de douter de la théorie officielle ?

Russell Carlson, professeur de biochimie & biologie moléculaire, disait très justement :

« Limiter l’enseignement à une seule idée porte un préjudice aux étudiants parce que c’est inutilement restrictif, malhonnête, et intellectuellement myopique ».

Le mensonge historique est devenu un sport international ! Jean-François Revel commence son livre « La connaissance inutile » par la phrase suivante :

« La première de toutes les forces qui mènent le monde est le mensonge ».

Et comme l’a si bien dit Jean-Jacques Rousseau :

« La falsification de l’histoire a fait plus pour méconduire les hommes que n’importe quelle autre chose de l’humanité ».

Christian Gérini :

La science joue elle-même plus qu’à son tour un rôle dans la censure, tant par ses formes propres de reconnaissance et d’expertise que par ses oukases, et nous aborderons donc aussi rapidement cet aspect. Au nom des paradigmes dominants, les tenants de la parole et de la reconnaissance associées à ces paradigmes peuvent exercer une autorité de censeurs parfois sans concession et sans pitié. Il s’agit alors d’une privation de parole scientifique par les scientifiques eux-mêmes. Ce cas n’est évidemment pas à confondre avec celui des pseudo- scientifiques que nous avons mentionnés plus haut. Une science honorable, avérée et reconnue peut, lorsque ses règles de production du savoir ou du discours ne sont pas respectées, censurer le trublion de diverses manières. En le privant d’accès aux publications par exemple. En le désignant comme un charlatan, un pseudo-scientifique. En insistant sur les défauts de sa formation, l’absence de titres conférant le droit à la parole.


- Source : Kira21

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