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Un romancier Prix Nobel en faveur de l’assimilation Juive

Auteur : Henry Makow | Editeur : Walt | Vendredi, 17 Oct. 2014 - 10h04

Pourquoi est-ce que les dirigeants Juifs jugent l’assimilation comme une menace ? Parce qu’ils ont besoin que les Juifs leur servent de chair à canon pour accomplir leurs plans mégalomaniaques.

En 1959, le Premier Ministre d’Israël, David Ben-Gourion, a déclaré au Jewish Telegraphic Agency que Le Dr. Jivago « était un des livres les plus méprisables au sujet des Juifs qui ait été jamais écrit par un auteur d’origine Juive… »

Qu’est-ce qui a bien pu déclencher cette réaction de la part du Premier Ministre d’Israël ?

La rage de Ben-Gourion était provoquée par un personnage du roman, un converti au Christianisme se demandant pourquoi les Juifs devraient subir le fléau de l’antisémitisme :

« Quels intérêts sert ce martyr volontaire ? Défaites cette armée [Juive] qui se bat et finit toujours par se faire massacrer, sans que personne ne sache jamais pourquoi ?… Dites-leur : « C’en est assez ! Arrêtez-vous. Ne vous accrochez pas à votre identité. Ne vous rassemblez pas en masse. Dispersez-vous. Mêlez-vous au reste de l’humanité.

Leur vision nationale a forcé les Juifs à être une nation et rien qu’une nation – et ils ont été enchaînés à l’accomplissement de cette tâche mortelle au travers des siècles, alors que le reste de l’humanité en avait été délivré par une nouvelle force [la Chrétienté] qui avait d’abord émergée en leur sein… Et ils la virent, l’entendirent et la laissèrent filer !

Comment ont-ils pu laisser l’esprit d’un pouvoir aussi beau et puissant leur échapper, comment ont-ils pu penser qu’après avoir triomphé et établi son règne, ils pourraient demeurer comme la cosse vide du miracle qu’ils ont rejeté ?

Revenez à vous, arrêtez-vous. Ne vous accrochez pas à votre identité. Ne restez pas ensemble, dispersez-vous. Soyez avec les autres. Vous fûtes les premiers et les meilleures Chrétiens au monde. Vous êtes à présent devenus la chose même en laquelle vous ont changé les pires et les plus malfaisants d’entre vous. » — (Docteur Jivago, Chapitre 12)

PASTERNAK, LE CHRÉTIEN DE CŒUR

Pasternak est né à Moscou au sein d’une riche famille de Juif russes. Son père était le peintre postimpressionniste Leonid Pasternak, professeur à l’école de Peinture, d’Architecture et de Sculpture de Moscou. Sa mère était Rosa Kaufman, une pianiste de concert et la fille de l’industriel d’Odessa, Isidore Kaufman.

Dans une lettre de 1959 à Jacqueline de Proyart, Pasternak rappelle que « sa manière distincte de voir les choses » tenait à son baptême par une nourrice :

J’ai été baptisé en tant qu’enfant par ma nourrice, mais… cela devait toujours rester un demi-secret intime, une source exceptionnelle et rare d’inspiration plutôt qu’une chose prise pour acquise. Je pense que ceci est à la racine de ma spécificité. Tout mon esprit était intensément accaparé par le Christianisme dans les années 1910-12, lorsque les fondations de cette spécificité – ma manière de voir les choses, le monde et la vie – se mettaient en forme…

L’ASSIMILATION

L’enseignement du Christ que Dieu est l’amour universel (c’est-à-dire l’Évangile de l’Amour) est l’antithèse du Judaïsme.

 

« Nous expulserons les arabes et prendront leur place. Dans chaque attaque un coup décisif doit être porté résultant en la destruction des foyers et en l’expulsion des populations. » (David Ben-Gourion, Premier Ministre d’Israël 1949-1954, 1955-1963) Lettres à son fils, 1937.

Ce que Pasternak et la plupart des Juifs (et non-Juifs) ne comprennent pas, c’est que le Judaïsme n’est pas une religion. C’est un culte Satanique basé sur la Kabbale. Sa raison d’être est la domination mondiale. Plus simplement, les dirigeants du Peuple Élu pensent que leur mission est de remplacer Dieu, de monopoliser tout ce qui a de la valeur, et de redéfinir la réalité d’après leurs perversions et leurs intérêts propres. Grâce à leur contrôle du crédit et des moyens de communication, ainsi que leur réseau de traitres Gentils (les Francs-maçons), leur but est proche de son accomplissement.

Le tonique secret du Judaïsme est la résistance (c’est-à-dire l’antisémitisme) provoquée par ce plan caché mais très réel. Les Juifs ne pourront pas éliminer l’antisémitisme jusqu’à ce qu’ils reconnaissent et abjurent le but secret du Judaïsme.

La plupart des Juifs se moqueraient de cette explication du Judaïsme mais ils ne disposent pourtant pas d’une autre qui soit crédible. Un de mes amis m’a décrit une célébration du Yom Kippour samedi dernier. Le rabbin a déclaré à la congrégation que le Judaïsme consistait en deux éléments : l’observance des rituels Juifs et à « faire le bien ».

Ma réponse :

- La plupart des Juifs vous diront que les rituels Juifs sont vides et ennuyeux. Les jours de fêtes ont généralement la forme de célébrations tribales. Pessah (la Pâques) commémore l’exode d’Égypte. Rosh ha Shona (Nouvel An) repose sur le fait de laisser des bougies allumés plus longtemps qu’elles le devraient – un signe de « Faveur Divine ». (Qui n’a pas vu des bougies en faire autant ?) Mais aucune repentance n’a lieu. À la place la prière du Kol Nidre en hébreu donne aux Juifs la permission de mentir aux Gentils et de les tromper pour l’année qui vient. (La plupart des Juifs ne le comprennent même pas.) Pourim célèbre le génocide des « antisémites ».

- La raison pour laquelle beaucoup de Juifs sont « laïcs » et ne croient pas en Dieu, c’est parce que la laïcité est le masque du Judaïsme. La laïcité est un masque du Satanisme : le rejet de Dieu et en conséquence de la religion. C’est pourquoi les droits des croyants sont niés et Dieu ne peut même plus être mentionné au sein des sociétés « laïques ».

- Excepté les Dix Commandements, il n’y a pas grand-chose dans le Judaïsme qui relève d’un enseignement moral. Il s’y trouve des conseils pratiques et des exhortations à craindre Dieu, mais rien de l’auto-mortification (le renoncement aux séductions terrestres) que l’on peut trouver dans le Sermon sur la Montagne. En effet, le Talmud confirme ce jugement d’Arthur Koestler sur le fait que le Judaïsme « enseigne aux Juifs comment tromper Dieu. »

- « Faire le bien » signifie d’habitude de faire ce qui est bon pour les Juifs. Personne ne dirait que ce qu’Israël a fait à Gaza l’été dernier était « faire le bien » mais peu de Juifs l’ont condamné.

L’auteur Grace Halsell a donné un exemple de ce que « faire le bien » signifie vraiment. Lorsqu’Halsell a écrit des ouvrages sur le sort des amérindiens, des afro-américains et des travailleurs mexicains sans papier, elle était la favorite des matriarches du New York Times comme Iphigene Ochs Sulzberger. Toutes ces causes promouvaient le multiculturalisme, que la Juiverie Organisée considère comme bénéfique.

Lorsqu’Halsell a ensuite un livre puissant décrivant le sort des Palestiniens, elle a provoqué le mécontentement de Madame Suzberger et a rapidement disparu des colonnes du Times. Halsell écrit : « Je ne soupçonnais pas qu’après avoir été portée si haut, je pouvais être rejeté si rapidement lorsque j’ai présenté – de son point de vue – la « mauvaise » victime.

CONCLUSION

Les Juifs devront à un moment se rendre compte qu’ils ne sont pas engagés dans la poursuite d’une noble entreprise pour laquelle ils subiraient un ressentiment injuste. Au contraire, beaucoup de Juifs (et de maçons) sont utilisés pour nous déshumaniser et réduire l’humanité en esclavage. C’est pourquoi David Ben-Gourion haïssait Boris Pasternak. Il voulait que les Juifs continuent de servir de chair à canon dans leur guerre satanique contre Dieu et l’homme. Ceux qui se convertissent ou s’assimilent lui échappent. Je me tiens au côté de Pasternak. Plus tôt les Juifs s’assimileront, mieux ce sera.


- Source : Henry Makow

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