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Vendredi, 11 Oct. 2024

Septembre 2001 aux États-Unis : Quelle fut l’origine des évènements ? (partie 1)

Auteur : Christian Darlot | Editeur : Walt | Mardi, 17 Sept. 2024 - 12h41

Septembre 2001 aux États-Unis : analyse physique des évènements

Résumé

La version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat au Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la physique. Mais les principes fondamentaux de la physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.

Une version précédente de cet article a été publiée en septembre 2021 sur le site du Saker francophone, cosignée par François Roby, enseignant-chercheur en physique, à qui la plus grande part de l’analyse physique est due, mais qui n’a pas souhaité s’associer à cette nouvelle publication.

Christian Darlot est chercheur en Physiologie.

*

Les attentats du 11 septembre 2001, à Manhattan et au Pentagone, ont déclenché plus de 20 années de guerre au Proche-Orient, la mort violente ou l’exil de millions de personnes, et la ruine de plusieurs États. Ce désastre se prolonge par la guerre en Ukraine et le génocide en Palestine. Identifier l’origine de ces attentats est donc capital pour comprendre et anticiper l’évolution des relations internationales. Mais le rapport officiel des pouvoirs publics étasuniens présente tant de lacunes et d’impossibilités physiques qu’il n’explique rien. Pourtant le choc d’un avion contre un immeuble, et l’effondrement d’une tour, sont déterminés par les lois de la Physique. Ces faits peuvent donc être étudiés selon une méthode sûre : l’analyse physique des observations. L’objectivité de principe d’une telle analyse n’empêche pas la compassion envers les victimes, mais au contraire peut permettre d’élucider les causes de leur mort, innocenter des innocents, identifier les coupables et les empêcher de récidiver.

Sources :

Outre le rapport officiel aussi lacunaire que volumineux (1) une recherche sur Internet permet de trouver foison de documents, de photos et de vidéos des évènements à New York. Au contraire, très peu de documents sont accessibles sur l’attentat du Pentagone à Washington, et presque pas sur l’écrasement d’un avion en Pennsylvanie (2).

Selon un principe fondamental de tout débat, la charge de la preuve incombe à qui affirme. La première étape de la recherche de la vérité est donc d’examiner la compatibilité de la version officielle avec les conditions physiques des évènements.

1 – Pas d’avion

1.1- Pas d’avion à Manhattan

Le premier souvenir gravé dans les mémoires est celui d’évènements qui n’eurent pas lieu : les frappes de deux avions contre les plus hautes tours de Manhattan.

Nul avion ne frappa ces tours.

Apparemment surprenante, cette affirmation est prouvée par les faits : l’absence de preuve matérielle, le trucage des vidéos, et l’impossibilité physique pour un avion de voler vite à basse altitude, de percer un immeuble et d’y disparaître entièrement.

1.1.1- Absence de preuve matérielle

Un des rares débris trouvés à Manhattan fut un moteur… mais il n’était pas d’un modèle équipant les avions prétendument entrés dans les tours (3). Des quatre «boîtes noires» (deux par avion) enregistrant les informations sur le vol, pas une ne fut retrouvée (4). La seule pièce à conviction trouvée dans la poussière d’acier et de béton couvrant les rues fut un passeport miraculeusement intact (5). Ignifugé ? Jeté par la fenêtre de l’avion, en souvenir, avant le choc ?

Le rapport officiel conclut donc logiquement que nul indice matériel ne prouve l’identité des avions supposés avoir frappé les tours.

1.1.2- Vidéos diffusées dans les médias

Les vidéos diffusées, et encore disponibles sur internet, se classent en deux catégories :

1. Celles diffusées au moment même montrent, sur des images de mauvaise qualité, des silhouettes d’avions à contre-jour, entrant en entier dans les tours sans ralentir. Sur plusieurs vidéos, une silhouette disparaît derrière la tour Sud puis pointe le bout de son nez de l’autre côté (ce que les analystes de ces images ont nommé «le nez de Pinocchio»), comme si l’avion l’avait toute entière traversée sans se déformer : un carreau d’arbalète. Montage bâclé, par incrustation d’images en quasi-direct grâce à un tampon de quelques dizaines de secondes rendant le trucage possible mais hâtif. Aussitôt après cette séquence bizarre, l’image est interrompue pendant une fraction de seconde (un «écran noir»), comme si un technicien, conscient de la bévue, avait voulu la minimiser en interrompant la retransmission(6).

Le jour même, les chaînes de télévision dégagèrent leur responsabilité en plaçant dans les images un encart «By courtesy of…», signalant que ces vidéos n’avaient pas été faites par leur personnel mais par des personnes extérieures (7). Cette précaution disparut ensuite.

La vitesse mesurée de l’avion censé avoir frappé la tour Sud est proche de 900 km/h (8), la vitesse de croisière normale à 10 000 mètres d’altitude, où l’air est trois fois moins dense qu’à la basse altitude où ces avions sont censés avoir volé pour échapper aux radars. Quoique les coefficients de sécurité mécanique en Aéronautique soient d’au moins 3, à une telle vitesse, au niveau de la mer, la structure d’un avion ne pourrait encaisser longtemps les contraintes aérodynamiques et se disloquerait, comme l’association «Pilots for 9/11 Truth» l’a montré (9).

2. Les vidéos diffusées au cours des jours et semaines suivants, «filmées par des amateurs» tous en lien avec les métiers de l’audiovisuel, sont de meilleure qualité grâce à un temps de calcul plus grand, mais la trajectoire d’un même avion et sa vitesse varient d’une séquence à l’autre. Les avions paraissent encore absorbés par les tours, sans bris d’ailes ni chute de débris.

Les moteurs des avions produisent toujours derrière eux des turbulences persistant pendant plusieurs secondes en s’atténuant peu à peu. Or, après les chocs prétendus des avions contre les tours, les vidéos montrent de la fumée et de la poussière montant vers le haut et se dissipant sans tourbillons. Ce seul fait suffirait à prouver l’absence d’avions.

Traitement des images par incrustation

Ces images sont des montages par incrustation vidéo. Cette technique est désormais à la portée des vidéastes amateurs (même les téléphones portables permettent des effets très divers), mais était récente en 2001 pour du quasi-direct, maîtrisée seulement par des professionnels, et peu connue du grand public. Ces silhouettes d’avions passe-murailles sont impossibles dans le monde réel, mais familières aux connaisseurs de dessins animés.

1.1.3- Illusion de la mémoire

Les silhouettes des avions furent incrustées, mais des explosions eurent bien lieu (10). Les rues de Manhattan sont larges, ce ne sont pas des ruelles, mais les tours sont hautes par rapport à la largeur des rues. Les passants ne virent donc que des flammes et de la fumée, et pour comprendre ce qui se passait regardèrent les chaînes de télévision diffusant les films truqués (11). Témoins des explosions, ils crurent de bonne foi avoir vu la frappe des avions (12).

Illusion psychologique classique.

1.1.4- Impossibilité mécanique

Afin qu’il soit léger, un avion est un tube creux en tôle d’alliage d’aluminium de quelques millimètres d’épaisseur, rivetée sur une armature aussi en alliage d’aluminium. Un avion ne peut pénétrer sans déformation visible dans une tour pour une raison simple : le principe des actions réciproques, ou d’égalité de l’action et de la réaction, ou «troisième loi de Newton», valide en statique et en dynamique :

– En statique : le haut d’un immeuble pèse sur le bas, et en retour le bas exerce vers le haut une force de soutien égale au poids du haut. La somme est nulle, et l’immeuble reste en équilibre.

– En dynamique : lorsque deux objets se heurtent – par exemple deux billes, ou une balle contre un mur – chacun exerce une force sur l’autre, et ces forces sont égales mais de sens opposés. Lors du choc d’un avion contre une tour, la partie de l’avion heurtant la façade exerce une force, et la façade exerce sur cette partie de l’avion une force opposée et égale.

Or selon le principe fondamental de la dynamique, ou «deuxième loi de Newton», le changement de vitesse d’un objet en mouvement est proportionnel à la force exercée sur lui (13).

Considérés ensemble, ces deux principes permettent de conclure à l’impossibilité pour un avion de frapper une tour sans se déformer et d’y disparaître entièrement.

En effet, l’observation des images vidéo permet d’estimer la décélération de l’avion au moment de la collision supposée. Or la silhouette d’avion ne ralentit pas, ni ne se déforme, pendant qu’elle traverse la façade. La décélération serait ainsi très faible, et donc la force aussi. Puisque les forces exercées par l’avion sur la façade, et par la façade sur l’avion, sont opposées et d’égales intensités, une force très faible n’aurait pas déformé un avion en alliage d’aluminium, mais aurait causé à la façade en acier les dégâts spectaculaires que le monde entier a vu ! L’effet du choc de deux objets dépend des duretés relatives des matériaux, et celle des aciers de construction est plus grande que celle des alliages aéronautiques (14). Or selon la version officielle, un avion, un tube en aluminium, aurait pu percer un réseau de poutres en acier sans se déformer, ni même ralentir, sans que les ailes ne se brisent ni même ne se plient !

Cette impossibilité pour un avion de percer un réseau de poutres en acier sans se déformer est indépendante de l’énergie cinétique (égale au produit de la masse par le carré de la vitesse). Certes, plus l’énergie cinétique est grande, plus graves sont les dégâts, mais, quelle que soit la vitesse, l’objet le moins dur est plus déformé que l’objet le plus dur (15). Si une canette de soda vide est lancée, même très vite, contre la grille de la Préfecture, la grille sera-t-elle brisée ? La canette sera-t-elle intacte ou cabossée ? Une balle de ping-pong troue-t-elle une raquette sans se déformer ? (16)

1.1.5- Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

Le réseau de poutres en acier constituant la structure extérieure des tours avait été conçu pour résister aux tempêtes et au choc d’un avion de ligne (17). Cette contrainte réglementaire fut dictée par l’expérience : par un jour de brume, le 28 juillet 1945, un bombardier B-25 heurta l’Empire State Building. La force subie par l’avion dépassa le seuil de résistance d’un tube en aluminium ; il s’écrasa contre la façade, les ailes et la carlingue tombèrent dans la rue, et seules des parties dures des moteurs et du train d’atterrissage trouèrent la façade. Les trois hommes de l’équipage furent tués, ainsi que onze personnes dans l’immeuble. L’incendie fut maîtrisé en trois quarts d’heure. Cette fois, un avion réel frappa un immeuble à une vitesse conforme aux contraintes aéronautique, aux lois de la Physique et au bon sens (18). Quant à l’Empire State, tel le Veau d’Or, il est toujours debout ; merci d’avoir pris des nouvelles de sa santé.

En résumé :

Des explosions se produisirent.

Nulle preuve matérielle de la présence d’avions à Manhattan ne fut jamais trouvée.

 Selon les lois de la Mécanique, un avion ne peut pas frapper un immeuble sans ralentir ni se déformer, ne peut pas entrer dans l’immeuble, et encore moins le traverser de part en part.

 L’expérience prouve qu’un avion s’écrase contre une tour mais ne la transperce pas, et que la plupart des débris de l’avion tombent au sol, hors du bâtiment.

Les vidéos montrant la disparition complète d’un avion dans une tour sont des montages.

Conclusions : nul avion ne frappa les tours de Manhattan ; les explosions furent déclenchées de l’intérieur des immeubles ; les auteurs des vidéos étaient connus des chaînes de télévision.

1.2- Pas d’avion au Pentagone

Nul avion ne frappa non plus le Pentagone (19). Les photographies ne montrent, sur la pelouse devant la façade, qu’un seul débris métallique, inidentifiable, mais ni bagages éparpillés, ni kérosène en flammes. La fumée noire résulte de la combustion d’un camion.

Un avion de ligne ne peut faire de virage serré comme un chasseur et ne peut rester en rase-mottes sur 600 mètres (20). Il lui est plus difficile encore de replier les ailes comme une chauve-souris qui se suicide. Le Pentagone n’est pas plus haut qu’un immeuble haussmannien, 23 mètres, et un Boeing 757-200 n’est pas un tapis volant. Faire entrer entièrement un avion de 12 mètres de haut, 47 mètres de long et 38,50 m d’envergure dans un trou de 6 mètres de diamètre, au rez-de-chaussée d’un bâtiment, c’est un exploit technique révolutionnaire (21).

Puisque nul débris ne fut trouvé, les ailes et le train d’atterrissage se seraient évaporés, l’alliage d’aluminium se serait vaporisé (température nécessaire 3000°C) et l’alliage très résistant des moteurs se serait sublimé, mais le nez en fibre de carbone aurait percé six épaisseurs de murs. Physique innovante !

Les environs du bâtiment étaient dans le champ de 85 caméras de surveillance, mais seulement quelques images floues ont été publiées. Une tache blanche, oblongue, fugace, peut suggérer un missile tiré d’un avion et des témoins affirmèrent avoir entendu un sifflement strident (22). Or, pour échapper aux batteries anti-aériennes automatiques, un missile doit être détecté comme «ami». Une autre possibilité serait que des explosifs aient été placés dans le bâtiment lors des travaux de rénovation récemment achevés (23). Des photos prises avant l’écroulement de la façade montrent en effet des débris tombés hors du bâtiment, indiquant une explosion à l’intérieur. Dans les deux cas, des complicités au Pentagone ont été nécessaires.

L’incendie au Pentagone fut vite éteint par les pompiers. Les Tours Jumelles et le Pentagone étaient certes des bâtiments très différents, mais les mêmes projectiles supposés – des avions de ligne contenant du kérosène – auraient-ils déclenché un feu infernal dans des tours très robustes et un petit incendie dans un bâtiment, certes solide, mais classique ?

En résumé :

 Nulle trace matérielle ne prouve la présence d’un avion.

Un avion de ligne ne peut effectuer la manœuvre supposée.

Un avion ne peut entrer (ailes comprises !) dans un trou de 6 m de diamètre.

Un missile aurait été nécessairement «ami».

Les travaux récemment terminés pourraient avoir permis d’installer des explosifs.

Conclusion : nul avion ne frappa le Pentagone.

2 – Destruction de trois gratte-ciels

2.1- Structure des immeubles

La majeure partie de la masse des tours WTC1, WTC2 et WTC7 était constituée d’acier de construction et de béton léger utilisé dans les planchers, et n’était donc pas combustible. Selon le NIST, chacune des tours jumelles contenait 87 090 tonnes d’acier de construction (24). La masse en service du WTC1 était d’environ 290 000 tonnes (2,9 × 108 kg), en accord à la masse par unité de surface de plancher de bâtiments similaires (25).

Dans la plupart des gratte-ciels, tous les étages ont les mêmes dimensions mais ceux du bas supportent ceux du haut. Cette évidence implique que la structure porteuse est plus robuste en bas qu’en haut. La contrainte de stabilité que la forme de la Tour Eiffel rend bien visible est cachée par l’apparence parallélépipédique des immeubles-tours (26).

Schématiquement, les tours de Manhattan étaient constituées de deux structures emboîtées, et solidarisées au sommet tour par un «chapeau» très résistant :

1. La structure intérieure, de plan rectangulaire, contenant les cages d’escaliers et les ascenseurs, mesurait 26,5 mètres sur 41 mètres et était constituée, de la base jusqu’au sommet de la tour, de 47 colonnes reliées entre elles par des entretoises, et entourées de panneaux en gypse. Ces colonnes étaient des tubes en acier, de section carrée, typiquement de 35 cm de côté, et dont l’épaisseur des parois décroissait de bas en haut : 5 pouces (12,7 cm) pour les 5 étages les plus bas, 2,5 pouces (6,35 cm) pour les étages au-dessus, et décroissant progressivement jusqu’à ¼ de pouce (6,35 mm) pour les étages 102 à 110. Cette structure supportait 60% de la charge verticale.

2. La structure extérieure, de plan carré, supportait 40% de la charge statique totale. Elle était constituée de 236 colonnes en acier, 59 sur chaque façade, du 6ème au 107ème étage, espacées d’un mètre, encadrant des fenêtres de 60 cm de largeur (27). Les colonnes des cinq étages du bas étaient plus robustes, et plus espacées afin de permettre l’entrée dans les tours. Cette façade porteuse avait été construite par assemblage décalé de modules préfabriqués, constitués de 3 colonnes sur 3 étages, dont l’épaisseur des parois diminuait de bas en haut, comme dans la structure centrale. Dans la tour Sud, au 81ème étage, niveau de l’explosion (de «l’impact de l’avion»), l’épaisseur était de 0,875 pouce (2,22 cm). Quand souffle un vent fort, la répartition des charges d’une tour varie, la charge dynamique étant alors asymétrique entre les façades. La façade au vent peut même être en tension, d’où l’usage de l’acier pour la structure, car les autres matériaux de construction (pierre, béton…) résistent bien en compression mais mal en traction. Cette grille solide, en acier, ne peut avoir été traversée par un avion en alliage d’aluminium.

Pour la sécurité, les colonnes centrales pouvaient supporter trois fois plus que le poids qu’elles ne supportaient réellement, et les colonnes périphériques cinq fois plus.

2.2- Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?

Quelques heures à peine après ces effondrements, l’ingénieur en génie civil Zden?k Bažant les interpréta comme une propagation de la chute de quelques étages, interprétation illustrée par l’image de la «pile d’assiettes» : les étages des Tours Jumelles auraient été comparables à des assiettes accrochées aux structures porteuses – les colonnes du noyau central et de la façade (28). Les attaches auraient pu supporter le poids d’un étage, mais pas celui de tous les étages situés au-dessus. Si une cause, telle qu’un incendie localisé au niveau des «impacts d’avions», faisait rompre les attaches de quelques étages, ces «assiettes» tomberaient sur celle du dessous, dont les attaches ne résisteraient pas au poids et à l’énergie cinétique des assiettes tombant, et se briseraient à leur tour. Les assiettes déjà décrochées tomberaient alors sur celle encore en-dessous. De proche en proche, les assiettes se décrocheraient l’une après l’autre, et toutes dégringoleraient en cascade jusqu’en bas. Raisonnement juste, fondé sur une prémisse fausse : l’attachement d’étages rigides à quelques colonnes par des attaches fragiles.

En fait chaque étage des gratte-ciels est solidaire de toutes les colonnes. Même en admettant l’image simpliste de plateaux accrochés à des structures porteuses, chaque plateau aurait été attaché aux 283 colonnes, et toutes les attaches n’auraient pu se rompre au même instant (29). Une rupture soudaine est possible pour le béton et la maçonnerie, mais l’acier est un matériau déformable à haute température. Améliorés par des décennies de recherche scientifique et technique, les calculs de résistance au feu de l’acier permettent de prévoir le comportement des structures (30). En regardant si les poutres se déforment, les pompiers peuvent anticiper un risque d’écroulement. Le résultat final de ces chutes en cascade eût d’ailleurs été un tas de «débris d’assiettes», tandis que les structures interne et externe seraient restées debout, tout au plus vacillant par manque d’entretoises. En réalité, une grande part de l’acier et du béton des tours fut réduite en poussière, et les décombres n’étaient pas des entassements de fragments de dalles. La théorie de la pile d’assiette n’explique pas ces faits, et est incompatible avec les lois de la Physique. Pourtant de vaillants journalistes et de téméraires «experts» médiatiques tentèrent de faire admettre l’impossible (31).

À supposer que des colonnes de soutien aient été cisaillées et que des pans de plancher soient tombés, la résistance de la partie basse de l’immeuble aurait arrêté leur chute, selon le principe de conservation de la quantité de mouvement, car cette partie était plus grande et beaucoup plus massive que la partie haute, et soutenue par les fondations ancrées dans le sol. Tant que le bas resta solide, la force résistante exercée du bas vers le haut resta égale à la force exercée du haut vers le bas. Le haut de l’immeuble ne peut avoir écrasé le bas.

Le haut de l’immeuble n’écrasa pas le bas ; il est tombé parce que le bas ne le soutint plus.

La Physique n’est pas la magie, elle décrit la réalité sur laquelle elle est fondée. Il ne suffit pas, comme dans Harry Potter, d’émettre un vœu pour qu’il se réalise (même de travers). Certes l’Amérique est le continent de tous les possibles, mais les lois de la Mécanique ne s’appliquent-elles pas à Manhattan ?

2.3- Effondrement sans cause : l’énigme de la tour n°7

Plusieurs heures après les attentats, des incendies s’allumèrent dans une troisième tour, n°7, située à 150 mètres des tours jumelles, dont elle était séparée par un autre immeuble, et que nul avion n’était censé avoir frappée. Haute de 173 m (47 étages), elle était comparable à la Tour Montparnasse haute de 209 mètres (56 étages). Sa chute fut annoncée plusieurs heures d’avance, même par la télévision BBC, alors qu’elle était encore debout, son image bien visible sur l’écran derrière la présentatrice. Soudain, à 17 h 20, elle s’effondra tout entière en 12 secondes, sur sa base. Par solidarité avec ses grandes sœurs ? Pendant les premières secondes, elle tomba de trente mètres à la vitesse de la chute libre ; après l’avoir d’abord nié, même le NIST dut le reconnaître et admettre que la cause est inconnue. Mais le rapport officiel se contredit en affirmant d’abord «l’effondrement du WTC7 fut un effondrement progressif produit par des incendies» puis (sur la même page !) en mentionnant «une chute libre de la hauteur d’environ 8 étages, selon l’accélération de la pesanteur pendant environ 2,25 s».

Comment une chute libre pourrait-elle être progressive ?

2.4- Effondrement et pulvérisation des tours : d’où provint l’énergie ?

2.4.1- Incendies de bureau

Le kérosène n’explose pas ; c’est pourquoi il est utilisé en aviation. À supposer même que des avions eussent frappé les tours, le kérosène aurait brûlé en un quart d’heure.  Les réservoirs d’un Boeing 757 contiennent au plus 42 680 litres de kérosène, et selon la FEMA (Federal Emergency Management Agency Agence fédérale des situations d’urgence), chaque avion transportait 37 900 litres de kérosène. C’est le volume d’un cube de 3,35 mètres d’arête, tandis que les deux tours mesuraient 63,4 x 63,4 x 415 mètres. Cinq tours Montparnasse chacune ! (32)

Des incendies de bureau durèrent une heure et demie dans la tour Nord et une heure dans la tour Sud. La plus grande part de l’énergie dégagée par un feu chauffe l’air, d’où la faible efficacité d’un feu dans un âtre, dont la chaleur part surtout par le conduit de cheminée. La quantité d’énergie nécessaire pour atteindre une température donnée dépend de la nature et de la quantité de matériau à chauffer (33). La température d’un incendie de bureau est 800-900 degrés Celsius (1073-1173 K). La température de fusion d’un alliage d’acier dépend de la composition chimique mais reste proche de 1427°C (1700 K). L’acier commence à mollir vers 600°C (873 K), mais, en une heure, l’air chaud ne peut transmettre au cœur de poutres en acier, épaisses et ignifugées, une quantité d’énergie suffisante pour les ramollir (34).

En outre, une charpente métallique en réseau répartit la chaleur comme un radiateur, donc abaisse la température des poutres. Et comme la chaleur ne diffuse pas instantanément, les structures fléchissent asymétriquement et penchent d’un côté. Les effondrements dus à des incendies ne sont jamais symétriques.

2.4.2- Preuve par l’exemple : incendies de gratte-ciels

En 1975, un incendie dans la tour Nord ravagea pendant plusieurs heures la moitié du onzième étage (en bas de la tour), puis se propagea à d’autres étages où il fut bientôt éteint. La structure de la tour ne fut néanmoins pas endommagée. En 1991, un incendie au One Meridian Plaza de Philadelphie dura 18 heures et détruisit 8 des 38 étages. Selon le rapport de la FEMA «Des poutres et des poutrelles se sont tordues ou affaissées… suite à l’exposition au feu, mais les colonnes ont continué à supporter leur charge sans dégât apparent» (35). En 2004, à Caracas, 20 étages d’une tour de 50 étages brûlèrent pendant 17 heures, mais le gratte-ciel ne s’effondra pas (36). L’énergie d’un incendie ne peut suffire à détruire un gratte-ciel.

Une relation de cause à effet entre incendie et effondrement est donc exclue.

2.4.3- Explosions et effondrement

Après une heure ou une heure et demi d’incendie, peu avant l’effondrement, des pompiers, et d’autres témoins présent dans les tours, entendirent une série d’explosions, au sous-sol, au rez-de-chaussée et dans les étages proches de l’incendie. Ces explosions sont visibles sur les films. Des poutres furent éjectées jusqu’à 500 mètres ou s’encastrèrent dans les façades d’immeubles voisins (37). Les vitesses estimées par analyse des films, image par image, atteignent jusqu’à 110 km/h. Pendant les 7 minutes précédant l’effondrement de la tour Sud, WTC2, une coulée de métal fondu fut filmée tombant du 80ème étage d’une façade. L’analyse chimique des décombres identifia des produits de réaction d’un explosif utilisé en démolition, la thermite. Des cordons de thermite auraient causé les coupures obliques nettes, visibles sur des poutres non pulvérisées. Mais des explosifs chimiques ne dégagent pas assez d’énergie pour réduire des bâtiments en poussière, et leur emploi laisse de grands pans de bâtiment d’un seul tenant (38).

Les tours s’effondrèrent en dix à quinze secondes, l’incertitude étant due à la poussière masquant la fin de la chute. La vitesse de chute est proche de celle de la chute libre. Or la conservation de la quantité de mouvement rend impossible un effondrement accidentel à la vitesse de la chute libre (39). Des milliers de tonnes d’acier et de béton furent réduits en grains de quelques millimètres à quelques dixièmes de millimètre, s’élevant en volutes semblables à celles d’explosions volcaniques pyroclastiques, puis se déposèrent en recouvrant les rues d’une couche de poussière épaisse de plusieurs centimètres. Or la quantité d’énergie nécessaire pour broyer un solide est une fonction croissante de la finesse des grains. D’où provint l’énergie ?

Non seulement la pulvérisation des matériaux nécessita beaucoup d’énergie, mais sa rapidité indique une source d’énergie dégageant une grande puissance, notion physique caractérisant le flux d’énergie au cours du temps.

La puissance est le rapport de la quantité d’énergie à la durée pendant laquelle elle est émise. Pour démarrer une voiture ou faire décoller un avion, les moteurs doivent fournir beaucoup plus de puissance que pendant un mouvement à vitesse constante, sur route ou en vol. Tout cycliste sait que la puissance musculaire dépensée est plus grande pour démarrer que pour rouler à vitesse constante.

2.4.4- Persistance d’un grand dégagement de chaleur

La puissance nécessaire pour pulvériser presque instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton est difficile à évaluer, mais une valeur minimale de l’énergie dégagée peut être estimée en considérant l’évolution de la température du site pendant les mois suivants.

Des blocs de béton et d’acier mêlés furent trouvés, dont l’apparence est celle de la lave refroidie. Des températures d’environ 2000°C furent mesurées peu après les évènements. Des photographies célèbres montrent de l’acier rougeoyant retiré de la pile de débris. Quelques citations de témoins font ressentir la réalité du dégagement de chaleur :

Au dire des pompiers, les semelles de leurs bottes fondaient. Sous les débris, la température était «si intense qu’ils ont rencontré des rivières d’acier en fusion», «comme dans une aciérie» (40). Ils s’exposaient à des périls comme «la secousse d’un effondrement profondément en dessous, (…) ou, dans les premiers temps, les coulées de métal en fusion s’échappant des noyaux chauds et s’écoulant le long des murs brisés à l’intérieur des fondations» (41).

«21 jours après l’attaque, l’acier en fusion coulait toujours» (42). «Sous terre, c’était encore si chaud que du métal en fusion a coulé sur les côtés du mur du bâtiment 6» (43).

 «Des éléments en acier, dans la pile de débris, semblent avoir été partiellement évaporés à des températures extraordinairement élevées» (44).

La température de sublimation du fer, principal composant de l’acier, est de 2861°C (3134 K).

Des relevés de la température en surface, par thermographie infrarouge aérienne montrèrent, le 16 septembre, des points chauds jusqu’à une température de 747°C (1020 K) (45). Le 7 octobre 2001, une image thermique montra des températures semblables aux emplacements des trois bâtiments (WTC1, WTC2 et WTC7), quoiqu’ils aient été architecturalement très différents et n’aient pas subi les mêmes dommages (46). Le refroidissement fut progressif au cours des mois suivants : «Le feu souterrain brûla pendant exactement 100 jours et a finalement été déclaré «éteint» le 19 décembre 2001». Quels matériaux combustibles auraient alimenté un «feu souterrain» ? Comment l’air nécessaire à la combustion serait-il parvenu dans le sous-sol ?

Les matériaux tombés et au sous-sol sont ainsi restés pendant trois mois à des températures bien plus élevées que celles d’un incendie de bâtiment. Puisque, selon le deuxième principe de la Thermodynamique, l’énergie ne se concentre pas spontanément, ces températures ne peuvent avoir été causées par un «feu souterrain», mais résultaient de l’existence d’une source de chaleur très importante dans la profondeur du sous-sol.

Le 12 février 2002, cinq mois après l’effondrement des tours, de nouvelles mesures par thermographie infrarouge aérienne révélèrent encore une émission de chaleur (47). Le sous-sol n’avait donc pas atteint l’équilibre thermique et continuait à se refroidir.

Les lois du transfert de la chaleur sont couramment employées par les architectes pour dimensionner les circuits de chauffage des bâtiments, et par les ingénieurs pour assurer le refroidissement, en électronique comme en automobile. En estimant la surface d’émission et l’évolution au cours du temps de la différence de température avec l’air ambiant, ces mesures permettent d’estimer la quantité de chaleur totale émise par le site. Elle est énorme, de l’ordre de 1 pétajoule (1015 joules ou 1 000 000 000 000 000 joules), soit la chaleur émise par la combustion de 24 000 tonnes de pétrole, pouvant remplir plus de 10 piscines olympiques (48).

2.4.5- Déblaiement des ruines

Élimination des preuves matérielles

Le déblaiement commença aussitôt après la catastrophe, avant toute enquête, et l’acier des décombres fut envoyé en Chine, en Inde et d’autres pays d’Asie. Procédé inhabituel en cas de désastre sans précédent. La soustraction et la dissimulation de preuve sont des délits (49).

Cancers des sauveteurs et des déblayeurs

Des équipes de détection furent envoyées sur place le jour même, habillées de tenues NBC. Les déblayeurs ne restaient que quelques jours avant d’être remplacés, et regrettaient de quitter le chantier à peine devenaient-ils efficaces. Parmi les 80 000 personnes affiliées au programme sanitaire WTC Health Program, à la fin de mars 2021, près de 14 000 souffraient d’un cancer et 1015 en étaient morts (50). Les cancers des voies respiratoires et digestives furent causés vraisemblablement par des débris d’amiante et des poussières radioactives inhalées ou ingérées. Des cancers de la peau et des lymphomes sont nombreux aussi. Les malades ont constitué des associations de défense et prononcé maintes conférences aux États-Unis.

2.5- Fausseté de l’explication officielle

En résumé, l’explication officielle enfreint des principes physiques fondamentaux :

Le principe de conservation de l’énergie : de l’énergie ne peut être créée. Ce principe est fondamental pour toute la Physique («premier principe de la Thermodynamique»).

 Le principe de dispersion de l’énergie : la chaleur ne peut pas s’être concentrée dans les poutres ni dans le sous-sol («deuxième principe de la Thermodynamique»).

 Le principe fondamental de la dynamique («deuxième loi de Newton») : un projectile ne peut percer une cible sans ralentir.

 Le principe des actions réciproques («troisième loi de Newton») : un tube creux en alliage d’aluminium ne peut percer un treillis en acier sans se déformer.

Le principe de conservation de la quantité de mouvement.

L’affirmation officielle que le bas de chaque tour fut écrasé par le haut enfreint encore le principe fondamental de la dynamique, le principe des actions réciproques et le principe de conservation de la quantité de mouvement. L’effondrement ne peut être dû qu’à la perte de résistance du bas.

D’autres lois, non détaillées dans ce bref article, sont enfreintes par l’explication officielle :

La loi de diffusion de la chaleur de Fourier : la température du réseau de poutres ne peut être devenue uniforme dans tout l’immeuble.

 La loi de changement d’état des matériaux : la température d’un incendie de bureau ne peut faire fondre de l’acier. La fragmentation fine des matériaux ne peut être due à la température.

La loi de rayonnement des matériaux selon la température (corps noir) : avant l’effondrement, la couleur des coulées de métal fondu sur une façade, jaune ou blanche, seule information disponible, indique une température de 1200°C au moins, soit une température supérieure à celle d’un incendie. Ces coulées furent sans doute dues à des réactifs placés localement (51).

L’explication officielle enfreint les principes les mieux établis de la Physique.

Mais la Physique permet aussi de comprendre le mode opératoire.

3 – Explosions nucléaires souterraines

Les tours de Manhattan furent détruites par des explosions nucléaires souterraines. Cette «interprétation complotiste délirante» est la seule compatible avec les lois de la physique (52).

À l’apogée de l’engouement pour l’énergie nucléaire, pendant les années 1950 et 1960, des essais d’emploi d’explosifs nucléaires pour de gros travaux de génie civil, comme creuser des canaux, furent faits en URSS (53) et aux USA (54). Mais la pollution résultante les fit abandonner. Toutefois ces essais rendirent réalisable ce procédé de démolition de gratte-ciels.

3.1- Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires

Les explosifs chimiques couramment utilisés en démolition ne pulvérisent pas les bâtiments, quoique l’effondrement dégage de la poussière, et les décombres sont des amas de pans de murs et de planchers. Pour fragmenter des milliers de tonnes d’acier et de béton en grains millimétriques, il faudrait une très grande masse d’explosifs, en proportion notable de la masse de l’immeuble, répartie dans toutes les parties de la tour par des dizaines de techniciens pendant des milliers d’heures. Impraticable.

L’énergie chimique libérée par unité de masse d’un explosif classique est déterminée par l’énergie de liaison entre électrons et noyaux, mais celle d’un explosif nucléaire l’est par l’énergie de liaison des nucléons – protons et neutrons – dans les noyaux des atomes. Or l’énergie de liaison entre les nucléons des noyaux est un million de fois plus grande que l’énergie de liaison entre les électrons et les noyaux. En pratique, les matériaux nucléaires opérationnels comportent beaucoup de masse inerte, mais leur densité énergétique reste cependant 10 000 fois plus grande que celle des matériaux chimiques. C’est pourquoi une centrale électrique nucléaire n’est rechargée en combustible que tous les 3 ans, tandis qu’une centrale à charbon est alimentée quasiment en continu, par trains entiers.

Les bombes nucléaires émettent de l’énergie en quelques microsecondes, produisant une puissance inimaginable par l’esprit humain, et causant une onde de choc dont la pression maximale, de l’ordre du milliard d’atmosphères, est beaucoup plus destructrice que celle produite par tout explosif chimique.

Seule une bombe nucléaire émet la puissance suffisante pour réduire quasi-instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton en poussière millimétrique, et contient assez d’énergie pour produire la très grande quantité de chaleur lentement dégagée du sous-sol de Manhattan.

En quelques microsecondes, les réactions nucléaires dégagent une énergie énorme, décomposant les roches du sous-sol jusqu’à l’état de plasma, composé de particules sans liaisons à très haute température (55). L’onde de choc fragmente les roches environnantes, et provoque une secousse sismique. En quelques dixièmes de seconde, une cavité se forme et s’agrandit. L’explosion souterraine ne provoque évidemment pas d’éclair. Si elle est assez profonde, l’onde atteint la surface du sol, sans la soulever, mais se diffuse dans les objets solides placés sur le sol. L’onde ne se diffuse pas dans l’air, et ne produit donc pas de bruit, Les roches situées entre le haut de la cavité et la surface du sol forment le «toit de la cavité». Les radio-nucléides restent pour la plupart confinés, mais la quantité traversant le toit est suffisante pour être détectée, même à grande distance.

La chaleur de la cavité diffuse dans les roches, les fait fondre. De la chaleur est ainsi absorbée par les roches, et par conséquent la température du plasma et des gaz baisse dans la cavité, et donc la pression diminue (56). Lorsque la pression ne suffit plus à soutenir le toit de la cavité, il s’effondre, tombe dans la cavité, et le sol s’affaisse. Qu’une pression souterraine initiale produise une dépression à la surface du sol est un effet contre-intuitif mais bien étudié (57).

Si l’explosif nucléaire est placé sous un bâtiment à une profondeur convenable, l’onde de choc et l’affaissement du sol peuvent faire écrouler même des gratte-ciels à structure métallique.

La quantité de chaleur restant dans la cavité est une fraction de l’énergie émise, dont le dégagement est retardé par le transfert à travers les roches du toit, tombées dans la cavité. Des éléments radioactifs s’échappent, mais d’autant moins que la profondeur est grande. Maints essais ont permis de mesurer le rayonnement, la température, la dépression du sol, etc., et, dès les années 60, les physiciens ont su calculer la forme et les dimensions de la cavité et de la cheminée, selon la nature de la roche encaissante, la profondeur et l’énergie de l’explosion. En France, le Commissariat à l’Énergie Atomique procéda à ces analyses (58).

Depuis 1963 les essais militaires d’explosions aériennes ont été réduits, puis interdits, et depuis 1974, un traité international limite l’énergie des explosions souterraines à 150 kT, soit 0,63 pétajoule. Ces explosions émettent beaucoup moins de particules radioactives dans l’atmosphère que les explosions aériennes ou que l’accident de Tchernobyl. Des mesures sismographiques, hydroacoustiques et infrasoniques, ainsi que le dosage des particules de radionucléides dans l’air, permettent de les détecter et de connaître leurs caractéristiques, même à de grandes distances. Les États peuvent ainsi se surveiller les uns les autres (59).

3.2- Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction

La pulvérisation instantanée des tours fut l’effet d’une puissance que seules des bombes nucléaires peuvent dégager. Mais où ces bombes avaient-elles été placées ?

Démolir des gratte-ciels est une entreprise difficile, et les règlements d’urbanisme imposent aux maîtres d’œuvre de proposer, dès la construction, une solution technique de démolition (60). Un procédé de démolition d’urgence peut avoir été prévu pour les Tours Jumelles, bâtiments exceptionnels, construits selon les meilleures techniques des années 60. Une loge peut avoir été creusée sous le niveau du sous-sol le plus profond de chacune, hypothèse corroborée par un fait architectural : sur les plans d’élévation des immeubles, les hauteurs sont cotées à partir d’une altitude de référence de 246 pieds, soit 75 m, sous les fondations, dans le socle rocheux(61).

3.3- Destruction des tours de Manhattan

Chaque tour fut détruite par l’explosion d’une bombe nucléaire placée dans la roche, sous les fondations, ce que des enregistrements sismiques prouvent (62). Plusieurs petites bombes «mini-nuke» n’auraient pas suffi, et n’auraient pas produit l’énorme quantité de chaleur dégagée du sous-sol pendant des mois. L’onde de choc atteignit aussitôt les fondations et se propagea dans l’immeuble. Jusqu’aux trois quarts de la hauteur, l’énergie de l’onde brisa des liaisons chimiques et fragilisa les matériaux (63). La pression maximale de l’onde varie environ comme l’inverse du carré de la distance au point de l’explosion ; la quantité d’énergie transmise fut donc moindre dans les étages supérieurs, où l’onde ne causa plus qu’une déformation élastique et diminua donc moins la résistance mécanique que dans la partie inférieure.

Sur des vidéos filmées par des caméras sur support fixe, l’image tremble 12 s avant la chute des tours, durée pouvant être interprétée comme le délai entre l’explosion et l’effondrement du toit de la cavité. Lorsque cet effondrement ôta à l’immeuble le support des fondations, la partie basse de l’immeuble tomba en se désagrégeant. N’étant plus soutenue, la partie haute tomba à son tour, en se désagrégeant aussi, à une accélération d’environ 2/3 de celle de la chute libre, à peine freinée par la cohésion résiduelle de la partie basse et la résistance de l’air.

Des explosions déclenchées juste avant la chute prouvent la présence de charges explosives chimiques, dont la mise à feu paraît avoir été synchronisée à celle de la bombe souterraine (64). Placées en des points choisis de la structure, ces charges ont peut-être désolidarisé le haut et le bas de l’immeuble et coupé une part du train d’onde. S’il pouvait être consulté, le plan de démolition serait instructif.

Une grande part des matériaux se dissipa en volutes de poussière (65). Hauts d’environ 20 m, les tas de décombres étaient remarquablement petits par rapport aux immeubles de 420 m. Des relevés aériens par la technique LIDAR montrent que chaque tas était au centre d’une dépression peu profonde (66).

Les débris des tours recevaient de la chaleur issue de la cavité, diffusant à travers les roches comblant la cheminée. L’énergie accumulée maintint le sous-sol à température très haute pendant plus de trois mois. L’émission de radioactivité au cours des semaines suivantes, mais le peu de pollution résiduelle, indiquent une fusion plutôt qu’une fission. Les autorités ne furent pas disertes sur la présence de tritium, isotope radioactif de l’hydrogène produit par fusion. Après déblaiement des décombres, la cheminée sous l’emplacement de chaque tour fut couverte par une chape en béton, surmontée d’un grand bassin d’eau. Le béton et l’eau absorbent le rayonnement résiduel des éléments radioactifs présents dans la cavité, de sorte que le site est désormais sans danger.

Quant à l’expression «ground zero», elle désigne depuis huit décennies, en vocabulaire militaire le point de la surface du sol à l’aplomb d’une explosion nucléaire.

Voilà les grandes lignes de l’affaire, faciles à vérifier. Les documents officiels, les études techniques publiées sur internet, quelques connaissances de base en Physique et un zeste de bon sens suffisent.

Toute interprétation rationnelle des évènements doit expliquer :

1. L’entrée d’avions de ligne dans des immeubles à structure en acier S’ils ne peuvent pas percer la façade, force est de déduire qu’ils n’étaient pas là.

2. L’effondrement des trois tours de Manhattan : Tours Jumelles et WTC7.

3. L’origine de la puissance nécessaire pour pulvériser les tours, et de l’énergie dégagée du sous-sol pendant des mois.

Or la version officielle n’explique rien et est incompatible avec les lois de la Physique (67).

4 – Conclusions

Donc les conclusions s’imposent :

1. Les principes et lois physiques ne s’appliquent pas à Manhattan. Exceptionnalisme.

(...) lire la suite


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