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Samedi, 27 Avr. 2024

Arnaud Rousseau, le faux paysan à la tête de la FNSEA

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Mercredi, 24 Janv. 2024 - 11h25

On en apprend de belles, sur X. Vite, informons-nous avant que Thierry Breton, l’ami des libertés oligarchiques, ne coupe définitivement toute liberté d’expression en bas.

Le « Canard réfractaire », audacieux et vif, n’a rien à voir avec le Canard enchaîné, gras et veule : il est remonté comme une pendule à l’heure de la révolte !

La version complète du coup de bec :

Comme toujours, en démocratie française, qui a mis un demi-siècle à pourrir complètement, les dés sont pipés : la révolte d’en bas, le vote contestataire, les revendications sont filtrés, tordus et anéantis. Mao avait raison : ne comptons que sur nos propres forces. Autrement dit, ne déléguons pas notre colère à des professionnels de la chose, les rois du détournement et de l’extinction de colère, car nous serons encore roulés.

La grogne monte dans les campagnes, cinq ans après les Gilets jaunes. Ah ! si tous les Français qui se sont fait entuber par la Macronie (le nom propre pour la Banque) l’avaient compris en même temps, le régime n’aurait pas tenu une semaine. Oui mais voilà, fin 2018, les routiers et les chasseurs ne se sont pas joints au mouvement : le régime a acheté leur silence.

Notre théorie des petites bulles fonctionne toutefois toujours : des bulles de colère éclatent ici et là, au gré des corporations touchées. Un jour, inévitablement, elles formeront de plus grosses bulles, pour finir par la bulle finale. Et puis, la différence avec novembre 2018, c’est que la classe moyenne commence à morfler. Cependant, la conscience de la souffrance – et surtout de l’agression oligarchique – met du temps à monter au cerveau.

Mais, en ce mois de janvier 2024, ce sont les petits producteurs agricoles qui ont compris que le pouvoir cherchait à les éradiquer. Pas besoin de se cacher derrière l’IA, les normes européennes strangulatoires feront le sale boulot.

Pour envenimer encore la situation, ces jacqueries surgissent au moment où les égouts de la corruption des élites débordent. Une commission d’enquête travaille actuellement sur le cas ô combien symbolique d’Oudéa-Castéra, qui incarne la cupidité, le mensonge et la morgue de la caste.

500 000 euros par an de salaires, plus 53 000 euros pour 8 réunions du groupe Plastic Omnium

Nouvelle révélation sur l’avidité d’Amélie Oudéa-Castéra : la ministre a touché 53 300 € en « jetons de présence » pour 8 réunions du groupe lyonnais Plastic Omnium au CA alors qu’elle était déjà DG de la fédération de tennis pour 500 000 euros par an (Tribune de Lyon)

Cette copine de promo de Macron se gave depuis des années. Elle a gagné par exemple 500 000 euros par an à la tête de la fédération de tennis, et elle ose nous faire croire qu’elle y bossait durement. Au péril de sa santé ?

On rappelle, comme le fait ce thread (de gauche), que les fédés sportives tiennent grâce aux bénévoles, qui permettent à de grosses larves dirigeantes de se gaver sans rien foutre. Ce sont des fromages qui puent l’Ancien Régime. Mais ce coup-ci, si révolution il y a, elle ne viendra pas des francs-maçons.

On écoute cette mise en accusation, qui vient en plus du camp du Président, enfin, du groupe Horizons, mais c’est tout comme : 

Ce régime est tellement pourri qu’il ne peut que tomber, à cause de ses contradictions internes (la différence entre le discours et la réalité de la gouvernance), mais aussi externes : il est aujourd’hui ouvertement anti-français.

Et nous là-dedans ? On compte les bulles.

Oudéa-Castéra, le sketch de la caste


- Source : E&R

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