www.zejournal.mobi
Samedi, 27 Avr. 2024

Étude : La majorité des émissions de CO2 ont des causes naturelles

Auteur : Report24 (Allemagne) | Editeur : Walt | Jeudi, 30 Nov. 2023 - 18h25

Même si les fanatiques du climat réussissent avec leurs plans insensés de « zéro net », cela n’empêchera pas l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère. Car, selon une nouvelle étude, la majorité d’entre eux ont des causes naturelles. Selon d’autres études, le dioxyde de carbone ne joue de toute façon pas vraiment de rôle dans les températures mondiales.

Outre le fait que, selon d'autres études (voir nos rapports ici et ici ), le dioxyde de carbone ne contribue guère au réchauffement climatique, ce réchauffement est avant tout un problème urbain. Comme Report24 l'a déjà signalé , recouvrir de grandes surfaces avec du béton crée des îlots de chaleur locaux, qui influencent également les mesures de température. Dans les zones rurales, les augmentations de température sont relativement insignifiantes. De plus, selon une étude précédente, l’augmentation du CO2 serait une conséquence de l’augmentation de la température et non l’inverse. Mais la complexité du climat mondial ne devient apparente que lorsque l’on tente de dresser un tableau global de tous les facteurs, évolutions, etc. importants.

Une étude récemment publiée sur les sources de dioxyde de carbone dans notre air apporte également une contribution importante . Cela démonte certaines des affirmations des cinglés du climat concernant le CO2. Afin de pouvoir représenter leurs dogmes sur le « mauvais dioxyde de carbone », ils utilisent dans leurs bilans des hypothèses complètement différentes sur le « temps de séjour » des gaz traces dans l’atmosphère. Alors que les fanatiques du climat supposent (à juste titre) que les émissions naturelles de CO2 restent dans l'atmosphère pendant environ 3 à 4 ans jusqu'à ce qu'elles soient recarbonisées par les plantes, le dioxyde de carbone provoqué par l'homme resterait dans l'atmosphère pendant 50 à 100 ans. C'est comme une feuille sur un arbre qui dit : « Hé, tu es du CO2 humain, je ne te photosynthèse pas. Je veux du CO2 naturel !

Comprenez-vous à quel point cette affirmation est absurde ? Mais c’est la seule manière de surestimer à ce point les 5 % de CO2 anthropique dans les émissions mondiales totales de CO2. Et qui plus est : pour éliminer ces 5 pour cent environ (en fait encore moins, puisqu'il s'agit de « zéro net » et non de « zéro complet »), ces fanatiques veulent ruiner l'agriculture et conduire l'économie entière dans le mur.

Surtout, l’histoire de la Terre, avec ses changements constants dans les concentrations de CO2, montre que de telles fluctuations à la hausse et à la baisse sont tout à fait naturelles. Les affirmations selon lesquelles les émissions naturelles sont toujours compensées à 100 pour cent par les puits naturels – c’est-à-dire qu’il existe une sorte d’« équilibre éternel » – se révèlent totalement absurdes. Cela ressort également clairement des commentaires sur l’étude ( ici du Dr Engelbeen, fanatique du climat, et ici en réponse du Dr Harde). Dr. Harde explique que la contribution naturelle depuis 1958 de 31,2 ppm/an est environ six fois supérieure à celle des humains (5,5 ppm/an).

Cela signifie que même si l’on veut attribuer un certain rôle au dioxyde de carbone dans le changement climatique, la contribution humaine à ce phénomène s’avère relativement faible. Même si nous réduisions réellement notre empreinte carbone à « zéro net », l’augmentation provenant des sources naturelles resterait très élevée. Donc en fait, rien ne changerait.


Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...