Le « Covid » : une solution à la « crise des retraites » ?
Au risque de chuchoter à l’oreille du « parti de l’ordre », on est bien obligé de constater qu’une bonne « 10e vague » de « Covid » serait du meilleur effet sur le rétablissement de la cohésion nationale, autour d’un mensonge qui reste plus consensuel que le psychodrame des bassines.
Au vu de l’évolution des chiffres de la natalité dans l’ensemble du monde « immunisé » – contemporaine (de façon bien entendu entièrement fortuite) de certaines campagnes d’injection –, on aurait certes du mal à prétendre que le covidisme (hors Rivotril) constitue une réponse adaptée aux déséquilibres démographiques qui sous-tendent à long terme la tension affectant les régimes de retraite.
En revanche, comme les populations obscurantistes (dénoncées comme telles par Jacques « Spoutnik V » Sapir), mal immunisées – qui ne se font guère d’illusions sur leur « future » retraite – ont a priori moins tendance à manifester que les castors « tous protégés » du printemps 2022, le retour du calme aurait tout à gagner d’un petit coup de pédale sur ces lectrices PCR qui fournissent à la pandémie imaginaire son seul élément « d’existence » dans le monde réel.
Et si le « surmulot » transmettait « le Covid » ?
Et si ce sympathique rongeur convoyait aussi efficacement la fausse peste noire qu’il a jadis convoyé la vraie ? Selon des voies, qui plus est, si mystérieuses que même la fumée des feux de poubelles s’avérerait, comme une vulgaire chloroquine, incapable de repousser le « virus tueur » ?
Il faudrait bien alors que la jeunesse éco-anxieuse, confinée dans son safe space, retourne sur ses balcons pour applaudir à heure fixe des éboueurs dont la réquisition deviendrait enfin justifiable aux termes de cet état d’urgence permanent qui constitue, depuis les débuts de la Ve République, la substance même de la vie politique française.
Masqués sur Zoom, les influenceurs Aurore Bergé et Olivier Dussopt pourraient, du même coup, s’acquitter des devoirs de leur mandat – à savoir : nous tenir informés de l’usage de leurs sphincters et de l’harmonie de leur couple – sans plus avoir à craindre cette atteinte aux élus que favorise immanquablement – c’est bien connu – l’accès trop facile des homophobes à la voie publique.
Voilà donc une alternative à la dissolution (aux dissolutions !) qui mérite au moins d’être étudiée !
- Source : Le Courrier des Stratèges