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Vendredi, 29 Mars 2024

La légende du vaccin Partie 3 et 4

Auteur : Jean-Yves Jézéquel | Editeur : Walt | Mercredi, 29 Mars 2023 - 18h08

De la tuberculose à la Covid-19.

4.4 – La tuberculose

Le cas le plus emblématique de cette histoire des vaccins, reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner compulsivement des millions d’écoliers chaque année.

Les recherches de l’INSERM ont démontré que le nombre de décès par tuberculose avait baissé de 80 % au moment où fut introduit le vaccin BCG obligatoire le 5 janvier 1950 ! Les campagnes de vaccination n’ont pas modifié les courbes de la maladie. La tuberculose a continué à régresser au même rythme qu’avant les vaccinations obligatoires grâce à l’amélioration de l’hygiène et à la généralisation de l’eau courante. Nous savons, de plus, qu’être vacciné contre le BCG ne protègeait ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie. Toutes les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France sont pourtant vaccinées, mais socialement marginalisées et souffrant d’une mauvaise alimentation à cause de leur précarité et hygiène de vie.

Le vaccin de la BCG contient en lui des risques d’effets secondaires ! C’est la raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80, en Europe, sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué la quasi disparition des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Les sanatoriums et les antibiotiques avec la clofazimine, dès les années 50, ont été les vrais moyens d’éradication de la tuberculose et non pas les vaccins … 

Les vaccins contre la tuberculose posent des problèmes graves en 1927 en Angleterre, puis en Suède. En 1928, la Société des Nations organise un congrès sur le thème des vaccins. Le BCG est déclaré inefficace. En 1930 à Lübeck en Allemagne, 251 enfants sont vaccinés BCG : 70 meurent de la tuberculose généralisée, 130 parviennent à y échapper péniblement ; seuls 40 sur les 251 ne présentent aucun symptôme. En 1948, le Premier Congrès International du BCG à l’Institut Pasteur déclare ce vaccin inefficace, car « il ne favorise qu’une immunité très relative ». Cela n’empêchait pas les « autorités sanitaires » françaises de le rendre obligatoire en 1950 !

Le professeur Marcel Ferru, chef de clinique de l’hôpital de Poitiers, professeur de sciences fondamentales à la Faculté de médecine, condamnait le BCG. Il publiait son étude en 1977 : « La faillite du BCG ». L’OMS testait le BCG sur 260.000 enfants en Inde. Conclusion des experts de l’OMS : le vaccin n’avait, en effet, aucune efficacité : ce sont les conditions d’hygiène qu’il fallait changer !

4.5 – La Polio

Concernant la polio, l’historien David Oshinsky dans son livre « Polio, an American Story », raconte que le 12 avril 1955, le professeur Jonas Salk annonce à la télévision, la création du vaccin contre la polio ! Les familles se précipitent dans les centres de vaccination. Quelques semaines plus tard, la télévision et les journaux annoncent la contamination de 40.000 enfants vaccinés souffrant d’effets secondaires inconnus, 51 sont paralysés, 11 sont décédés. En 1958, le professeur de médecine Joshua Lederberg, prix Nobel en 58, dénonce « l’absence d’études sur l’impact de la vaccination dans l’organisme récepteur ». Pour ce professeur, il n’était pas acceptable d’exposer à des effets secondaires indéterminables des personnes en bonne santé et dont 99% d’entre elles élimineraient naturellement le virus si elles étaient hypothétiquement contaminées !

Dans la France ruinée par la guerre, les conditions de vie se sont dégradées : on comptait plus de 100.000 personnes dans les bidonvilles de Nanterre, de Saint-Ouen, de Noisy-le- Grand, et plus de 2000 sans abri dans Paris, comme le dénonçait l’Abbé Pierre le 1er février 1954. En 1957 la polio éclate en France à cause de ces conditions désastreuses de l’hygiène : on compte alors plus de 4000 contaminés. Une politique de relogement est engagée, le combat acharné de l’Abbé Pierre sort peu à peu de la misère bon nombre de « Sans abris ». La polio disparaît presque complétement en 1960. Le vaccin contre la polio devient obligatoire en 1964. L’Institut Pasteur déclare pourtant lui-même que la transmission du virus de la polio se fait par l’intermédiaire des eaux souillées, des aérosols et des aliments contaminés par les selles. Puisque la voie fécale est la principale cause de contamination, il convient de prendre des mesures de prévention par une campagne d’information sur les règles fondamentales de l’hygiène !

On se demande donc pourquoi rendre alors obligatoire le vaccin, quand on sait que ce n’est pas le vaccin qui va éradiquer le problème mais l’hygiène ?

4.6 – Le Tétanos

Nous savons que le tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d’individu à individu et la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage « La catastrophe des vaccinations obligatoires », le PR. J. Tissot, pose la bonne question : « puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie ?»

« Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément. On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance ».

En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive. Cette pratique a été abandonnée en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon.

Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est encore obligatoire comme par hasard.

La présence d’oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués. La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille et non pas contre le microbe.

Le Dr Méric précise :

« Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie. Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer ».

C’est pour cette raison que le vaccin contre le tétanos, non seulement est inefficace, mais il peut, en revanche, être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.

4.7 – La Grippe saisonnière

Chaque année à l’automne, les médias collabos arrosés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe saisonnière, en allant jusqu’à raconter que c’est gratuit. C’est un premier mensonge, car tout le monde sait que les labos sont payés par l’argent public et ce sont les usagers qui financent ces frais sous forme des prélèvements de la Sécurité Sociale.

Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, aux USA est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre. »

L’épidémiologiste Lone Simonsen des National Institutes of Health de Bethesda, écrivait dans The Lancet du 25 septembre 2007 : « il n’existe aucune preuve scientifique de l’efficacité du vaccin contre la grippe chez les plus de 65 ans… » On sait pourtant que plus de 65% des plus de 65 ans se font vacciner en France chaque année contre le virus de la grippe ! Les études d’épidémiologie comme celle de 2005 dans « International Archives of Medicine » démontrent que 76% des morts de la grippe étaient vaccinés. Les ayatollahs de la vaccination claironnent toujours que les vaccins diminuent de 50% les risques de mort par la grippe hivernale !

Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive.

4.8 – L’Hépatite B

Le vaccin contre l’hépatite B vient s’associer aux autres vaccins et, les spécialistes vaccinologues comme les autres observateurs des vaccins ont constaté que cette association s’attaquait très souvent au système nerveux de l’individu vacciné, qu’il facilitait l’installation de maladies auto-immunes en favorisant un vieillissement prématuré. 

Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’avait pas hésité à avancer des chiffres sans aucune base scientifique, mais qui avaient été suggérés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40.000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », (Cf., Libération le 4 septembre 1994.) Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

Le Dr Christian Spitz, pédiatre chargé de « l’information », n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. Ce chiffre représentait 70% de la population mondiale ! Personne n’a jamais relevé l’énormité du mensonge pour protester officiellement.

Une note interne, du laboratoire Pasteur-Mérieux dit : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie ». Cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère. Mais non, rien, aucune suite, l’impunité absolue et le crime continue allègrement ses ravages…

C’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, en étant juge et partie. Dans sa plaquette il affirmait : « la salive est un important vecteur de la contamination ».

Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel… Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire. En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.

Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne. Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : « l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an » ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées.

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B. Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics. Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français « normal » est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave à partir de la vaccination est très élevé. Mais cela, personne ne le dira jamais officiellement. Pourquoi ?

Dire sans vergogne qu’il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.

En 1994, The Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites :

« Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination ».

L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent et signent en affirmant qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, l’associé de Pasteur-Mérieux.

Les marchands de vaccins avec nos instances de santé complices, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens n’ont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent d’affirmer scandaleusement qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors que le Revahb possède à lui seul plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également. Encore du mensonge, rien que du mensonge !

« Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps » (Dr Ron Paul, Sénateur américain)

4.9 – H1N1 grippe aviaire

C’est la raison pour laquelle, les campagnes de vaccination comme celle du H1N1, devait impérativement passer par une campagne préalable de terreur organisée, il fallait distiller d’abord la peur, pour provoquer la possibilité de la vaccination. On sait à quel point cette campagne de Mme Roselyne Bachelot en 2005, fut un échec cinglant et on attend toujours les millions de morts annoncés dans le monde par cette « pandémie » de grippe aviaire ! Notre ministre de la santé achetait 13,7 millions de doses de Tamiflu et harcelait les journaux et les plateaux de Télévisions, pour qu’ils répandent la psychose dans la population. Les professeurs Jean-Philippe Derenne, pneumologue et François Bricaire, infectiologue, annonçaient dans leur livre « La grande menace de la grippe aviaire », Fayard 2005, plus de 500.000 morts en France ! Pour éviter ce désastre il fallait injecter le Tamiflu. Finalement sur les 67 millions d’habitants en France, 4 millions se laisseront convaincre par cette campagne mensongère qui fut un flop retentissant et une démonstration supplémentaire sur le mythe tenace de la vaccination dans les cerveaux toujours conditionnés par la propagande de la religion vaccinaliste…

4.10 – La Dengue

En 2015, Sanofi-Pasteur crée le vaccin Dengvaxia. On organise une campagne de vaccination dans les Philippines. 500.000 enfants sont vaccinés. Un an plus tard, tous les enfants vaccinés qui avaient été auparavant infectés par la Dengue, ne développaient aucun symptôme, alors que tous ceux qui étaient en bonne santé, sans avoir jamais été contaminés auparavant par la Dengue, développèrent tous des formes sévères de la maladie : on retira le Dengvaxia du marché ! Théoriquement, un vaccin doit anticiper le premier contact avec l’agent pathogène, puisque une fois le virus contracté, l’organisme est naturellement immunisé. Pourquoi Sanofi-Pasteur déclarait dans un communiqué que 70% à 90% des habitants des Philippines sont exposés à la Dengue au moins une fois avant l’adolescence ?! Dans ce cas, où était l’intérêt de vacciner cette population au Dengvaxia, à part celui des énormes profits financiers à faire sur le dos de braves gens ?!

4.11 – Le Coronavirus et la Covid-19

En avril 2020, les autorités sanitaires remettent le couvert : Jérôme Salomon commençait consciencieusement sa litanie des morts qui annonçaient les centaines de milliers de morts ; on le sait très précisément aujourd’hui : tous les chiffres étaient falsifiés (Cf., par exemple, entre autre source, la publication du chercheur de l’INSERM, le Pr Laurent Toubiana, « Covid 19, une autre vision de l’épidémie », ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas, les vérités d’un épidémiologiste, éditions l’Artilleur, 2022, 272 pages.) 

La terreur était relayée par une mise en scène fallacieuse des hôpitaux. On mentait, on falsifiait, on manipulait à grande échelle : toute l’opération s’étendait essentiellement à l’occident dans son ensemble, là où il y avait de l’argent. Toutes les autres parties du monde n’étaient pas concernées par l’hécatombe. Tous ceux qui restaient lucides et honnêtes étaient immédiatement catalogués « charlatans » ou « complotistes ». On s’arrangeait pour falsifier tous les tests et les autres opérations, à partir d’une modélisation mathématique erronée. Si quelqu’un ne voulait pas se faire vacciner, il devait au moins le faire pour préserver les autres ! Comment une vaccination pouvait assurer l’immunité générale ? L’argument n’avait aucun fondement scientifique, pourtant les autorités sanitaires s’acharnaient et s’acharnent encore aujourd’hui à rendre obligatoire cette vaccination par tous les moyens ! Très vite il fallait multiplier les injections ! Très vite on remarquait que les vaccins ne protégeaient pas de l’infection et ne permettaient pas non plus d’éviter de contaminer les autres ! On inventait la réplique des « variants ». Peu importe, les fanatiques de la vaccination s’acharnaient en assurant que « les vaccins permettaient d’éviter les formes graves de la Covid-19 » ! Et le cirque sur le vaccin continue puisque ce groupe des complices au G20 2022, ont planifié la création d’un « pass vaccinal » obligatoire pour voyager… Le nouveau ministre de la santé, François Braun, déclarait le 9 décembre sur BFMTV, qu’un rappel du vaccin anti-Covid sera désormais nécessaire tous les six mois à perpétuité !

5 – Il n’y a pas de suivi des accidents liés aux vaccins et la vérité est soigneusement occultée. 

Actuellement, l’industrie pharmaceutique s’est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est lucrative et sans risque, puisqu’elle est totalement financée par les gouvernements, l’argent public, et que les laboratoires qui se partagent le gâteau, sont protégées par des brevets supervisés par les Etats, et par une réglementation incompréhensible au commun des mortels. Cette industrie luxuriante appartient majoritairement à BlackRock/Vanguard essentiellement, de plus ces trusts financiers sont entre les mains de quelques-uns qui ainsi sont les propriétaires de la Planète entière, ou en voie de le devenir très prochainement et vont jusqu’à contrôler nos vies en étant à l’origine des décisions autoritaires prises en faveur des vaccins, au mépris de tout ce que nous apprend l’Histoire et grâce à la toute-puissance de l’argent ou des intérêts financiers largement au-dessus d’un quelconque souci du bien commun et de la santé publique. (Cf., articles du même auteur sur le sujet dans mondialisation.ca du 25 octobre 2022 au 30 octobre 2022)

C’est pourquoi, au sein des autorités sanitaires responsables de la santé publique, personne ne se soucie actuellement des risques réels que nous faisons courir à nos enfants en les vaccinant. S’ils tombent malades, juste après la vaccination, on vous expliquera qu’on ne peut pas démontrer le lien existant entre le vaccin et la maladie, ni entre le vaccin et la mort éventuelle de votre enfant ! Ce lien n’existe donc pas et ce genre de malheur toujours possible est dû à une pure coïncidence !

Ces cas arrivent tous les ans à des milliers de parents. Un enfant se fait vacciner. Dans les heures qui suivent, de graves réactions se manifestent allant des maux de tête aux vomissements, des éruptions d’eczéma, d’hyperactivité, des perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable, puis éventuellement la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance, puisqu’ils considèrent que le vaccin est le bien suprême de la médecine, la panacée, le sésame, le saint Graal de la « science médicale », un bien dont la réputation ne peut être entachée ou soupçonnée de faire du tort.

Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples « coïncidences ».

Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve. Ainsi, les autorités refusent d’admettre comme « réactions vaccinales » les accidents qu’elles présume être le fruit du hasard ! Faute de preuves « juridiquement défendables », nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement et passent dans les oubliettes de l’impunité. Il serait logique et moral que les laboratoires apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses, mais cela est impossible étant donné les falsifications d’origine et des observations qui continuent de confirmer ces falsifications ignorées par la légende vaccinaliste.

Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales… Alors qu’en France, les pouvoirs publics continuent abusivement de clamer compulsivement que les vaccins ne génèrent pas d’effets secondaires malheureux, surtout pas chez les enfants et qu’il faut continuer à vacciner.

Pour les autorités sanitaires, il ne peut y avoir aucun lien entre les vaccins et les accidents qui s’ensuivent. La majorité des médecins nie farouchement l’évidence du mythe vaccinal. 

Il est plus simple de déclarer qu’un enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c’est la « mort subite du nourrisson ». Injecter un vaccin dans l’organisme, introduit en lui non seulement des virus potentiellement dangereux, même artificiellement affaiblis, mais aussi des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas obligatoirement.

Une information transparente et complète doit être donnée sur les contenus exacts des vaccins ainsi que sur leurs dangers. S’il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées !

Les médecins qui prononcent le serment d’Hippocrate, doivent s’assurer qu’ils ne font pas courir de risque à leurs patients. Pour cela, il faudrait tout d’abord qu’ils soient eux-mêmes sérieusement informés sur les substances présentes dans les vaccins, et ce n’est pas le cas, car les laboratoires ne tiennent pas à en dire de trop : cela pourrait être dissuasif et mettre toute l’industrie en péril. Big Pharma préfère de toute évidence la mort de millions d’innocents à la mise en péril de ses profits financiers exorbitants…

6 – Différence entre les enfants vaccinés et les non vaccinés.

(Cf., Article du site reseauinternational.net)

L’une des recherches les plus complètes est un sondage comparatif qui est encore en cours, fait par le médecin homéopathe allemand Andreas Bachmair qui dirige une étude indépendante portant sur 17.461 enfants, elle compare la santé des vaccinés à celle des non vaccinés.

Les rapports de Bachmair ont en outre montré que les enfants non vaccinés souffrent très rarement des troubles de santé suivants : dyslexie, retard de la parole, énurésie, maladie cœliaque, sensibilité au gluten, reflux gastro-œsophagien. 

Selon une étude de Salzberger, sur 1004 enfants non vaccinés, aucun ne souffrait d’asthme, contre 8 à 12% des vaccinés ; 1,2% des non vaccinés souffraient de dermatite, contre 10 à 20% des vaccinés ; 3% des non vaccinés avaient des allergies, contre 25% des vaccinés ; et moins de 1% des non vaccinés ont été diagnostiqués avec un trouble de déficit de l’attention (TDAH), contre 5 à 10% des vaccinées.

http://vactruth.com/2014/02/26/unvaccinated-children-health

Une étude portant sur les enfants de 15000 mères, réalisée entre 1990 et 1996 en Guinée-Bissau, en Afrique de l’Ouest, a montré que le taux de mortalité était deux fois plus grand chez les enfants vaccinés contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.

Une étude néo-zélandaise a impliqué 254 enfants, dont 133 vaccinés et 121 non vaccinés. Cette étude comparative a révélé que les enfants non vaccinés jouissaient d’une santé bien supérieure en ce qui concerne ces troubles : amygdalites, asthme, éruptions cutanées allergiques, syndrome de la mort subite du nourrisson, infections de l’oreille et hyperactivité.

Les enfants vaccinés avaient des taux de maladie 2 à 10 fois plus grands que les non vaccinés.

http://www.vaxchoicevt.com/science/studies-comparing-vaccinated-to-unvaccinated-populations/

Dans la population des USA en général, un enfant sur 45 serait actuellement « diagnostiqué autiste à cause des vaccins ».

http://www.vaccinationcouncil.org/quick-compare-2/

http://www.thevaccinereaction.org/2015/12/cdc-1-in-45-children-diagnosed-with-autism/

Selon un sondage de Homefirst Health Services, portant sur 35.000 enfants, dont 90% jamais vaccinés, aucun n’a été diagnostiqué autiste.

Selon un sondage portant sur 9000 garçons de Californie et d’Oregon, les enfants vaccinés présentaient 155% de plus de troubles neurologiques du genre autisme ou TDAH.

http://www.vaccinationcouncil.org/quick-compare-2/

Dans le livre de Sally Fallon, « Nourishing Tradition’s Book of Baby and Childcare », « Tradition nourricière du bébé et garde d’enfants », cinq études ont été publiées, dont l’étude sur l’Afrique et l’Allemagne. L’ensemble des études concluent que les enfants non vaccinés bénéficient d’une meilleure santé que les vaccinés.

Une étude britannique réalisée en 2004 sur 8000 enfants non vaccinés, chacun accompagné de son dossier médical, a révélé que les enfants vaccinés subissaient deux à cinq fois plus de maladies et de troubles mentaux que les non vaccinés.

(McKeever aet TM. American Journal of Public Health. Juin 2004. V 94.)

Dans une étude effectuée en Nouvelle-Zélande en 1997, 1265 enfants ont été interrogés. Parmi les enfants qui ont été vaccinés, 23% souffraient d’asthme et 30% d’allergies, contre 0% dans le groupe des non vaccinés.

(Cf., Kemp, T. et ses collègues. Epidemiology. Novembre1997. 678-80.)

D’après l’étude réalisée en Nouvelle-Zélande en 1992 sur 495 enfants, les enfants vaccinés souffraient de beaucoup plus de troubles que les non vaccinés. Les maladies examinées comprenaient l’amygdalite, les infections de l’oreille, l’apnée du sommeil, l’hyperactivité et l’épilepsie. Les enfants vaccinés souffraient jusqu’à dix fois plus de ces maladies que les enfants non vaccinés.

(Docteur en médecine Fallon, Sally, Cowan, Thomas,The Nourishing Traditions Book of Baby and Childcare. New Trends Publishing, 2013. 112, 317.

Vactruth, Michelle Goldstein)

http://vactruth.com/2016/06/03/vaccinated-vs-unvaccinated/

Lorsqu’on est informé, lorsqu’on sait tout ce qui a été dit depuis le début de notre enquête, notamment à partir des travaux des historiens de la vaccination, on est sidéré d’apprendre que la justice elle-même cautionne les mensonges sur le vaccin, pire encore, elle sanctionne tous ceux qui ne se soumettent pas aux conséquences criminelles de ces mensonges !

En Nouvelle-Zélande, des parents ont refusé que leur enfant, devant subir une opération chirurgicale, reçoive du sang provenant de donneurs vaccinés contre la Covid-19. Le 7 décembre 2021, la justice néo-zélandaise leur retirait la garde de leur bébé de six mois après que la Haute Cour d’Auckland ait été saisie. Celle-ci nommait un médecin auquel la justice attribuait la garde de cet enfant avec le pouvoir de décider tout ce qui lui serait appliqué sur le plan médical, à la place des parents : le cauchemar absolu prélude à de grandes violences futures inévitables !

Bien que les organismes gouvernementaux prétendent qu’aucune étude comparant la santé des vaccinés à celle des non vaccinés n’ait été réalisée, la réalité est que plusieurs études comparatives ont été faites par des chercheurs indépendants aux USA et dans d’autres pays.

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies refusent de faire ce genre d’études parce que, disent-ils, « il serait contraire à l’éthique de les faire ». En réalité, ces études pourraient être facilement réalisées, puisque de nombreux parents, cultivés, informés, conscients et responsables, choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants.

Les preuves condamnant les vaccinations sont écrasantes. Les études faites en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, en Afrique, en Grande-Bretagne et aux USA en viennent aux mêmes conclusions.

La recherche montre indéniablement que les enfants non vaccinés jouissent d’une santé bien meilleure que les enfants vaccinés. Les enfants non vaccinés ne connaissent pratiquement pas de cas d’autisme, de troubles auto-immuns, d’asthme, d’allergies, de diabète et d’autres maladies infantiles ordinaires qui ont atteint des proportions épidémiques ces dernières années. 

Bien des experts virologues, épidémiologistes, vaccinologues, ont de nombreuses fois dénoncé la dictature médicale au profit de l’industrie pharmaceutique. En Italie, les autorités sanitaires ont imposé une obligation vaccinale de 12 vaccins pour les enfants de moins de six ans, décrétée par la ministre de la Santé Beatrice Lorenzin. Ce dispositif entrait en vigueur en septembre 2017. Les parents qui refuseront d’exposer leurs enfants aux conséquences malheureuses de ces vaccins ne pourront pas les placer en crèche, ni les mettre à l’école maternelle. Ils pourront néanmoins les inscrire plus tard dans le primaire, en payant une amende entre 500 et 7500 euros, « s’ils ont oublié de les faire vacciner » !

En France, avec Agnès Buzyn, les règles sanitaires allaient imposer 11 vaccins obligatoires pour les enfants à partir de janvier 2018 !

7 – L’imposture des vaccins et les conflits d’intérêts :

La vaccination n’a jamais permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais bien la prospérité économique. Ce sont des meilleures conditions de vie qui ont permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat, entraînant la disparition des épidémies. Le discours des médecins toujours convaincus par le sésame des vaccins, repose entièrement sur un phénomène de pure croyance et non pas sur des preuves scientifiques ! C’est la raison pour laquelle nous devons admettre que les médecins prosélytes de la vaccination, sont d’abord des sectateurs qui appartiennent à une secte pratiquant sa religion, sa croyance archaïque, dans le fétichisme de la dévotion vaccinale…

Quant aux ordures qui se servent de cette croyance archaïque du monde médical pour imposer leur Nouvel Ordre Mondial et contrôler la totalité de l’humanité numériquement enchaînée, ceux-là s’arrangent pour que le filon ne tarisse pas en provoquant la ruine économique qui assure la dégradation de la vie sur Terre et qui garantit la persistance des épidémies concomitantes, pourvoyeuses de profits exorbitants et de pouvoir totalitaire par les états d’urgences perpétuels… Que tous ceux qui hurlent au « complotisme » en lisant ces mots, prennent bien garde de ne pas s’étouffer d’hypocrisie !

Voici ce que rapporte le site libreactu.fr le 16 juin 2017 : « Agnès Buzyn a été rémunérée par les labos pendant au moins 14 ans ! »

Nous pouvons consulter les déclarations publiques d’intérêts de notre ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn lorsqu’elle était présidente du conseil d’administration de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) et de l’INCa (Institut national du cancer). Ces déclarations datent de 2012 et 2014 et seuls les conflits d’intérêts qui couraient encore lors des 5 années précédentes devaient être mentionnés.

Pourtant ces documents sont accablants pour celle qui considère que « les conflits d’intérêts entre experts et laboratoires pharmaceutiques sont un gage de compétence ». En effet, elle déclarait avoir été directement rémunérée pour diverses activités par le laboratoire Genzyme, désormais filiale de Sanofi, de 1998 à 2011 ! De plus, entre 2005 et 2011 elle était aussi rémunérée par les laboratoires Bristol Meyers-Squibb et Novartis. Ces deux laboratoires ainsi que Pierre Fabre et Schering-Plough (filiale de Merck) ont aussi financé entre 2005 et 2011 l’association Robert Debré que dirigeait Agnès Buzyn.

Ce qui peut se passer au niveau d’une ministre de la Santé, qui ne cache même pas de tels conflits d’intérêts avec le “Big Pharma”, explique largement comment nous en sommes-là aujourd’hui, sur le sujet archaïque des vaccins !

Comment imaginer une médecine libre et indépendante lorsque les intérêts financiers colossaux des laboratoires pharmaceutiques polluent en permanence les décisions ?

Les vaccins ne sont pas des médicaments parce qu’ils sont faits pour des gens en bonne santé et dans le but de prévenir les maladies visées par les vaccins. C’est pourquoi, il est normal de penser que tout vacciné devrait recevoir une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. Or non seulement l’information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent, il est nécessaire de le dire clairement, elle est parfaitement mensongère !

Plus un mensonge est répété, plus il devient la vérité, il adopte même un statut de dogme qui déclenche des crises d’hystérie dès lors qu’on ose le remettre en cause. L’histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges. Ce genre de mensonge est plus souvent un glissement lent et irréversible vers une falsification qui est perçue, mais tellement inavouable, que ceux qui l’utilisent pour dorer le blason de la médecine d’une auréole de scientificité, ne peuvent plus reconnaître l’erreur sous peine d’entraîner leur discipline dans la perte de toute crédibilité et dans l’ornière du charlatanisme qu’ils pensaient précisément combattre avec cette arme de choix, mais malheureusement factice !

Comme on l’a déjà vu, les vaccins empêchent parfois la survenue de maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais en facilitant du coup l’émergence d’autres maladies, car le terrain a été affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. Les vaccins effectués dans la petite enfance amoindrissent le patrimoine héréditaire immunitaire de l’individu et empêchent ce patrimoine d’apporter une protection efficace à son hôte durant toute sa vie. La démonstration avait été brillamment réalisée par un expert des vaccins, (Cf., article de J.Y.Jézéquel dans mondialisation.ca du 19 juin 2021 , « Vaccination anti-Covid : Dernier avertissement par le docteur Vanden Bossche ».)

Après avoir lancé un « appel solennel » sur BFMTV le 4 décembre dernier (https://www.breizh-info.com/2022/12/07/211704/vaccination-braun/), le ministre de la Santé, François Braun, était de retour sur la même chaîne le 9 décembre. Malgré les nombreuses révélations (https://www.francetvinfo.fr/replay- radio/le-vrai-du-faux/le-vrai-du-faux-les-vaccins-contre-le-covid-19-sont-ils-vraiment-ine\caces-contre-la-transmission-du-virus_5493510.html) sur la faible capacité à réduire la transmission de la Covid-19 des vaccins actuellement disponibles dans le pays, le ministre soutenait qu’il était nécessaire, désormais, de se faire vacciner tous les six mois à perpétuité ! 

A suivre …

Première partie :

La légende du vaccinPasteur et l’Histoire

Deuxième partie :

La légende du vaccin: le verdict de l’histoire sur la faillite des vaccins


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