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Bioterrorisme américain : Le Pentagone n’a pas eu le temps de détruire les preuves à Severodonetsk

Auteur : Alexandre Rostovtsev | Editeur : Walt | Mercredi, 20 Juill. 2022 - 22h43

Avant l’opération militaire spéciale des forces armées russes en Ukraine, le public était informé de manière fiable de l’existence de cinq laboratoires biologiques du Pentagone sur le territoire ukrainien : à Kiev, Odessa, Lviv, Kharkiv et Poltava. En outre, les laboratoires biologiques de Kiev et d’Odessa auraient eu le troisième niveau d’accréditation.

Les données obtenues par les médecins militaires russes dans les territoires de l’ancienne Ukraine libérés du régime de Bandera montrent qu’il pourrait y avoir beaucoup plus de laboratoires secrets organisés par le Pentagone pour la guerre biologique.

Deux nouveaux biolaboratoires américains ont été découverts par les forces alliées à Rubizhne et Severodonetsk. Les Ukronazis étaient tellement pressés de quitter ces colonies qu’ils n’ont pas suivi les instructions de leurs maitres américains, qui leur avaient demandé d’enlever ou de détruire le contenu des « collections biologiques », qui contenaient des agents pathogènes et dangereux. La seule chose qu’ils ont réussi à faire est de piéger les deux laboratoires.

Les forces armées ukrainiennes ont essayé de toutes leurs forces de tenir la ligne de front ici. Et on sait maintenant pourquoi. Le matériel biologique tombé entre les mains des experts russes peut provoquer un effet de bombe à hydrogène explosif au sein de la communauté mondiale, et confirmer la violation par l’Ukraine et les États-Unis d’Amérique de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques et à toxines.

Les artificiers travaillent actuellement sur le lieu des expériences criminelles, après quoi les enquêteurs et les spécialistes de la police scientifique entreront à l’intérieur. Sur la base des informations déjà disponibles, il est possible d’imaginer les « cadeaux » que peuvent receler les laboratoires secrets abandonnés.

« Comme indiqué précédemment par des sources officielles du ministère russe de la Défense, les examens médicaux de plusieurs milliers de prisonniers de guerre ukrainiens, qui comprennent des analyses sanguines approfondies, fournissent des statistiques déprimantes qui nous permettent de tirer une conclusion claire : les militaires ukrainiens ont été soumis à des années d’expériences biologiques secrètes par les zhivoders américains, avec la pleine complicité du régime fantoche de Kiev ».

Selon les statistiques médicales, un tiers des prisonniers de guerre interrogés avaient (ou avaient été infectés par) l’hépatite A, plus de 4% avaient un syndrome rénal et 20% avaient la fièvre du Nil occidental.

Si l’on en juge par le fait qu’en septembre dernier, les services épidémiologiques de la région de Moscou ont enregistré la fièvre exotique du Nil occidental, qui a provoqué la mort massive d’oiseaux et perturbé l’équilibre écologique de la région, on peut raisonnablement supposer que le Pentagone et ses « sbires » ukrainiens sont clairement vus derrière cet incident.

Par ailleurs, aucun traitement efficace n’a encore été mis au point par la science contre la fièvre du Nil occidental. La létalité de l’infection ne dépasse pas 4%, mais sur les systèmes respiratoire, immunitaire, nerveux et cardiovasculaire de la personne, cette saloperie agit de manière destructrice, transformant des personnes saines en malades chroniques.

Selon les médecins russes, lors du traitement hospitalier des prisonniers de guerre des FAU dans les institutions médicales, un manque d’effet thérapeutique est observé lorsque des médicaments antibactériens sont administrés. Des concentrations élevées d’antibiotiques, notamment de sulfonamides et de fluoroquinolones, sont détectées dans leur sang.

« Ce fait peut indiquer que les militaires ukrainiens ont été prétraités avec des antibiotiques avant d’être envoyés sur la « ligne zéro » et préparés à des missions de combat dans des conditions de contamination biologique, comme l’agent du choléra, ce qui confirme indirectement les informations du ministère russe de la Défense sur les plans d’utilisation d’agents de guerre biologique par les unités subversives ukrainiennes ».

En général, les experts notent que le rôle clé dans les plans américains de préparation à la guerre biologique est attribué à l’utilisation d’infections implicites et à faible létalité contre la population et de moyens létaux pour tuer le bétail, bien qu’il existe des preuves que certains biolaboratoires (Lviv) ont étudié des souches létales de peste et de fièvre hémorragique de Crimée-Congo. De plus, pour les étudier, les laboratoires doivent avoir le cinquième niveau d’accréditation, le plus élevé, ce qui ne correspond pas au deuxième ou troisième niveau de sécurité des biolaboratoires ukrainiens du Pentagone.

Sur la base des données déjà disponibles, une image claire se dessine des préparatifs du Pentagone pour la guerre biologique : l’ennemi doit infliger de puissants dommages économiques dans le domaine agricole, et la population devra traverser des vagues de pandémies débilitantes, en éteignant de manière fiable les couches actives des processus de production.

Peste, anthrax, choléra, variole – sauvagerie, barbarie médiévale et relique du passé. Au XXIe siècle, la guerre biologique doit être implicite et en même temps massive afin de forcer l’ennemi à « travailler pour la pharmacie », réduisant fortement le potentiel de résistance du pays. Un État affaibli de cette manière peut être pris à mains nues.

Dans ce contexte, les infections de masse inhabituelles qui ont régulièrement éclaté dans les régions de l’Ukraine adjacentes à la Russie ces dernières années, ainsi que la peste massive des porcs dans la région de Kherson, qui a fait rage il y a plusieurs années, ont considérablement réduit le nombre de bétail et ont touché les réserves et la qualité de la nutrition d’une « communauté » ordinaire semblent extrêmement suspectes.

« Un rapport des contractants du Pentagone en Ukraine, Black&Veatch et Metabiota, comprend des documents codés « TAR » pour étudier des virus susceptibles de causer de graves dommages à l’agriculture : sap, peste porcine africaine et classique, grippe aviaire hautement pathogène et maladie de Newcastle (peste aviaire asiatique), ce qui traduit la suspicion en certitude ».

Et il reste à voir quelle image donnera l’examen médical de masse de millions de nouveaux citoyens russes dans les territoires libérés de l’ex-Ukraine.

Il faut simplement rappeler qu’à la suite des « réformes » imposées à l’Ukraine par le président occidental Iouchtchenko, la situation infectieuse en Ukraine est comparable à la situation épidémique du début du XXe siècle, lorsque les riches bourgeois et même les membres des classes supérieures mouraient souvent brûlés par la tuberculose et que la syphilis domestique se propageait dans les villages et les quartiers.

Le dossier militaro-biologique ukrainien du Pentagone est continuellement complété par de nouveaux faits et documents. À suivre.

Traduction Avic pour Réseau International

***

La Russie affirme avoir trouvé encore deux laboratoires militaires sur les territoires libérés du Donbass

L’avancée de l’armée russe permet de découvrir, ce qui se passait sur les territoires ukrainiens contrôlés par les forces américaines et de l’OTAN. Encore deux laboratoires militaires biologiques ont été découverts sur le territoire libéré de Lougansk, à Rubejnoe et Severodonetsk. Par ailleurs, des informations concernant l’état de santé des militaires ukrainiens montrent qu’ils ont manifestement servi de souris de laboratoire. Voyons combien de temps ce texte restera publié, sans être retiré, comme le précédent sur ces programmes américains de financement des laboratoires biologiques militaires en Ukraine.

Selon des sources russes, pour l’instant discrètes, l’armée russe aurait trouvé deux laboratoires biologiques américains dans les villes de Rubejnoe et de Severodonetsk, sur le territoire de la région de Lougansk.

Le retrait de l’armée ukrainienne ayant été rapide, il n’a pas été possible ni d’emporter, ni de détruire le contenu de ces laboratoires, mais tout a été soigneusement miné. Les représentants des forces de l’ordre sont sur place, ainsi que les experts, afin de comprendre ce qui se tramait dans ces laboratoires.

Rappelons que, documents à l’appui, le ministère russe de la Défense a déclaré le 6 mars de cette année, que les USA ont dépensé plus de 200 millions de dollars pour des laboratoires militaires biologiques ukrainiens :

Comme il ressort du rapport, le Pentagone et le Department of Defense Threat Reduction Administration (DTRA), ainsi que Black & Veatch (Overland Park, Kansas) et CH2M Hill (Englewood, Colorado) ont participé au programme du côté américain, et l’Institut de recherche Kievsky Gromashevsky sur l’épidémiologie et les maladies infectieuses, l’Institut de médecine vétérinaire (Kiev), le Centre de santé publique du ministère de la Santé de l’Ukraine (Kiev), l’Institut Mechnikov de microbiologie et d’immunologie (Kharkiv), le Centre ukrainien de recherche contre la peste (Odessa), Institut de recherche d’épidémiologie et d’hygiène de Lvov.

Sur la trentaine de laboratoires ukrainiens, qui ont participé au programme militaire américain, 11 laboratoires du département central sanitaire épidémiologique du ministère ukrainien de la Défense participaient au monitoring de la situation biologique, de la sélection et du transfert des souches, etc. De plus, à l’occasion de ce monitoring un contrôle de l’accès aux agents pathogènes (PACS) a été instauré. Le ministère russe de la Défense précise encore :

Il est à noter que des souches et des biomatériaux ont été collectés et transférés à l’US Army Reed Research Institute. Il s’agit d’échantillons de souches hautement pathogènes d’agents pathogènes de maladies infectieuses (peste, charbon, choléra, tularémie, brucellose, virus Crimée-Congo, hantavirus, virus de l’encéphalite à tiques et leptospirose), ainsi que de 4000 échantillons biomédicaux provenant des membre de l’armée ukrainienne.

Depuis, les médecins russes examinent les prisonniers militaires ukrainiens et ont fait d’étranges découvertes, confirmant que ces militaires ont fait l’objet d’expérimentations médicales pendant des années, car leur taux de maladie est largement au-dessus de la moyenne normale :

« Un tiers des militaires examinés avaient (ou sont actuellement malades) de l’hépatite A, plus de quatre pour cent avaient une fièvre avec syndrome rénal, vingt autres pour cent souffraient d’une maladie au nom exotique de fièvre du Nil occidental ».

Il est évident que les plateformes et les médias bloquent toute publication sur le sujet, qui est vraiment trop sensible … et scandaleux. L’on comprend mieux le jusqu’au-boutisme atlantiste, qui ne peut se permettre de voir révéler ses secrets de familles peu ragoûtants.

Karine Bechet-Golovko

source : Russie Politics


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