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Mardi, 23 Avr. 2024

Vaccination obligatoire, les enfants seront injectés quoi qu’il leur en coûte

Auteur : Mathilde Debord | Editeur : Walt | Dimanche, 24 Avr. 2022 - 12h20

Emmanuel Macron ne s’en est jamais caché, il rendra la vaccination obligatoire s’il est réélu, sans doute à la rentrée prochaine : les doses ont été commandées sur une base de 100 % d’adhésion, les seringues pédiatriques pour les moins de 12 ans sont déjà prêtes. Elle a pourtant été déclarée illégale par la Commission européenne, abrogée en Nouvelle-Zélande et rejetée en Allemagne grâce à la mobilisation d’un collectif de magistrats : « La survenue de la mort n’est pas simplement une éventualité, c’est une certitude statistique. » Dans ce contexte, un État qui oblige ses concitoyens à se vacciner « tue avec préméditation ». Les Français sont-ils conscients de ce qui les attend si Emmanuel Macron est réélu ?

Les scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination : il est criminel d’inoculer à des enfants et des individus en parfaite santé un produit que les laboratoires n’ont pas fini d’évaluer (les essais cliniques se poursuivent en parallèle, d’autres ont été lancés à la lueur des premières données). Ils ont d’ailleurs eux-mêmes anticipé les risques de blessure et de décès puisqu’ils ont refusé d’assumer les dommages provoqués par les injections et qu’ils ont précisé dans les contrats qu’ils n’en connaissent pas les effets.

Olivier Véran et Emmanuel Macron le martelaient pourtant encore ces jours-ci : les vaccins sont sûrs et efficaces. Rien ne semble en mesure d’infléchir cette doxa au nom de laquelle des millions de Français ont été incités ou forcés à se vacciner ; ils nieront jusqu’au bout, les conséquences pénales auxquelles serait exposé le ministre de la Santé au titre des mensonges qu’il a proférés depuis un an sont incalculables. Peuvent-ils ignorer les alertes de la communauté scientifique ? Non, et ils le peuvent d’autant moins que ces risques se concrétisent aujourd’hui de manière palpable à travers plusieurs indicateurs. À quoi jouent donc Emmanuel Macron et Olivier Véran qui se dit prêt à « appuyer sur le bouton pour réactiver le pass vaccinal » quelques jours seulement après avoir déclaré qu’il ne servait à rien ?

L’obligation vaccinale envisagée par Emmanuel Macron relève-t-elle d’une intention de blesser ?

Études et séries de cas cliniques, autopsies, données de pharmacovigilance… le volume de preuves accumulées depuis plus d’un an interdit d’avoir aujourd’hui le moindre doute sur l’extrême toxicité des vaccins. BioNTech a pris le soin d’avertir ses actionnaires le 30 mars 2022 : il redoute que son vaccin, distribué par Pfizer, ne puisse jamais être homologué définitivement, voire que les pertes soient à ce point astronomiques qu’elles mettent en péril la viabilité de la société et la production de nouvelles doses.

Et pour cause : Pfizer espérait que les données des essais cliniques ne seraient publiées que dans 75 ans, la justice américaine a refusé et l’a condamné à les divulguer. Mais au-delà de ce que révèlent les premières données, une série de publications et d’annonces confirment qu’il est urgent de s’inquiéter sur la volonté du Gouvernement d’imposer demain les vaccins à l’ensemble de la population, notamment les enfants.

Que disent les dernières données de la littérature ?

Nous avons publié précédemment une série d’articles sur les risques vaccinaux et la sous-estimation des effets secondaires par la pharmacovigilance :

  • Allemagne : face à l’explosion des demandes d’indemnisation, les assureurs se sont immiscés dans le débat sur la vaccination. L’assureur BKK ProVita dénonce des effets secondaires dix fois plus nombreux que ceux recensés officiellement.
  • États-Unis : plusieurs chercheurs dénoncent une hécatombe vaccinale, avec près de 200 000 décès imputables à la vaccination à l’issue des 8 premiers mois sur le seul territoire américain (PantazatosKirsch).

Nous avons alerté notamment sur l’explosion des décès :

« Taux de mortalité 54 fois supérieur chez les enfants anglais vaccinés par rapport à leurs homologues non vaccinés… Olivier Véran ne voit toujours pas où est le problème, Emmanuel Macron clame son amour des enfants »

De nouveaux éléments renforcent les inquiétudes concernant la gravité et la réalité des risques vaccinaux :

 

« La protéine de pointe est neurotoxique et altère les mécanismes de réparation de l’ADN, la suppression des réponses à l’interféron de type I entraîne une altération de l’immunité innée, les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer ».
Stephanie Seneff, Peter McCullough

Trois études sèment particulièrement le doute sur la lucidité et l’intégrité d’Emmanuel Macron, et plus particulièrement sur les raisons de son acharnement vaccinal. Car quel responsable politique peut décemment vouloir injecter une quatrième dose et imposer une vaccination obligatoire, a minima sous la forme du passe face à un tel niveau de risque ? Les dernières publications en date auraient dû en effet déclencher un moratoire immédiat :

  • Les preuves d’une rétrotranscription de l’ARN vaccinal en ADN et sa possible inscription dans le génome humain ont été apportées cette année (Zhang et al.Chandramouly et al,). Une nouvelle étude (Aldèn et al.) confirme ce mécanisme et suggère une altération définitive de l’ADN avec pour conséquence, la réactivation chronique du COVID et de ses effets secondaires des années après l’injection :

  • Une étude publiée en preprint il y a plusieurs mois, publiée définitivement il y a quelques jours, décrit un mécanisme pathogène induit par la vaccination (l’altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I) avec un ensemble de conséquences délétères (Seneff et al.) :

« La protéine de pointe est neurotoxique et altère les mécanismes de réparation de l’ADN.
La suppression des réponses à l’interféron de type I entraîne une altération de l’immunité innée.
Les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer.
L’optimisation des codons donne un ARNm riche en G qui a des effets complexes imprévisibles.
Nous identifions également des perturbations profondes potentielles dans le contrôle réglementaire de la synthèse des protéines et la surveillance du cancer. Ces perturbations ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, une immunité adaptative altérée, une réponse aux dommages à l’ADN altérée et la tumorigenèse ».

Seneff S, et al. Suppression immunitaire innée par les vaccinations par ARNm du SRAS-CoV-2 : le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des microARN. Food Chem Toxicol. 2022 Apr 15;164:113008.DOI: 10.1016/j.fct.2022.1130Seneff S, et al. Suppression immunitaire innée par les vaccinations par ARNm du SRAS-CoV-2 : le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des microARN. Food Chem Toxicol. 2022 Apr 15;164:113008.DOI: 10.1016/j.fct.2022.113008

Comment expliquer que des citoyens ou des journalistes soient mieux informés qu’un président et son ministre, qui auront déboursé des centaines de millions d’euros en prestation de conseil pour déterminer la meilleure stratégie vaccinale pour les Français ? Est-ce entendable aujourd’hui ? Non, personne ne peut le penser.

La toxicité des vaccins ne peut plus être contestée aujourd’hui

La question qui se pose donc aujourd’hui est la suivante : depuis quand le Gouvernement sait-il qu’il expose les Français à un niveau de risque que rien ne justifie ? Le Dr Peter McCullough expliquait il y a près d’un an :

« La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 25 décès, ils ont tout arrêté. On a 200 rapports de décès en moyenne par an aux États-Unis tous vaccins confondus. Nous avons plus de 4000 rapports de morts aux États-Unis ! C’est de loin l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain dans l’histoire de l’Amérique […]. Sur la base des données de sécurité disponibles, je ne peux plus le recommander. Je ne peux pas le recommander. Il a dépassé tous les plafonds pour être considéré comme un produit sûr ».

Peter McCullough

Pourquoi les injections se poursuivent-elles en France alors que la responsabilité du vaccin a été formellement établie dans plusieurs décès, notamment d’enfants ? Les récentes données de pharmacovigilance sont littéralement vertigineuses :

  • près de 4 000 000 d’événements indésirables observés dans le monde (VigiAccess/OMS), dont 25 % seraient des effets secondaires graves (taux décalaré par l’ANSM) ;
  • en Europe, l’Agence européenne des médicaments (EMA) dénombre 1 746 550 d’effets secondaires (EudraVigilance), dont plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus ;
  • en France, l’ANSM recensait en décembre 2021 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations, 680 invalidités, 1 300 mises en jeu du pronostic vital. Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois ;
  • le taux de déclaration estimé se situe entre 1 % (Lazarus) et 5 % des effets réellement survenus (PantazatosKirschRose). Cela signifie que ces chiffres sont à multiplier par 20 ou par 100. Le nombre de morts ou de mutilés associés aux vaccins contre le COVID équivaut à celui d’une guerre ;
  • la majorité de ces effets sont relevés chez les 18-44 ans (40 %) et les 45-64 ans (30 %), c’est-à-dire chez ceux qui ne sont pas la population cible du virus.

Ces effets secondaires, notamment ces décès sont-ils pour autant tous induits par les vaccins puisqu’Olivier Véran a affirmé devant la représentation nationale qu’un d’eux ne peut leur être imputé ? Non en l’absence d’autopsies réclamées par la communauté scientifique, mais :

  • l’ANSM n’a pas été en mesure d’expliquer 44 % des décès sur lesquels elle a enquêté, sachant qu’elle a exclu de ses investigations 75 % de ceux recensés dans sa base, soit tous les décès survenus après l’âge de 50 ans et les morts in utero, ce qui signifie que ces 44 % de décès sont potentiellement attribuables aux vaccins.
    Si l’on considère que seul 1 décès sur 100 est effectivement déclaré en pharmacovigilance, on peut estimer à environ 66 000 le nombre de morts induits par les injections. Quel sera le bilan final de la vaccination comparé à celui du COVID sachant que le virus a perdu de sa létalité mais que, a contrario, les effets secondaires sont majorés à chaque nouvelle dose (ce phénomène fait partie des effets secondaires recensés par l’ANSM), et que chaque nouvelle injection est l’occasion de s’exposer à nouveau à un risque d’effet secondaire ;
  • une équipe de pathologistes allemands a montré que les injections étaient la cause du décès dans 90 % des corps qu’ils ont autopsiés, notamment ceux des adolescents ;
  • le Sénat a refusé sans fournir la moindre explication de donner aux chercheurs un accès aux données des décès toutes causes confondues selon le statut vaccinal. Pourquoi une telle obstruction ?

À titre de comparaison :

  • Les vaccins contre le COVID ont induit aux États-Unis (VAERS74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain ;

Source : https://openvaers.com/covid-data/mortality

  • Le Royaume-Uni a enregistré 5 fois plus de décès en 12 mois suite à la vaccination contre COVID que de décès dus à tous les autres vaccins combinés en 21 ans ;
  • Les effets secondaires enregistrés par l’OMS (VigiAccess) représentent 13 fois le volume de ceux recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe. Une étude récente a confirmé ce que l’on sait depuis août 2021 :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux ».

Diego Montano, Fréquence et associations des effets indésirables des vaccins COVID-19 signalés aux systèmes de pharmacovigilance dans l’Union européenne et aux États-Unis. Front Public Health. 2022 Feb 3;9:756633. DOI : 10.3389/fpubh.2021.756633

Qui peut encore douter de la toxicité des injections ?

Pour les plus sceptiques, l’association Vérity (France), Où est mon cycle ? (France) le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins.

Les indemnisation de victimes ont déjà débuté dans de nombreux pays où les médias alertent

Cette toxicité est aujourd’hui reconnue par plusieurs États (Japon où les médias alertent et relatent les histoires des victimes, Taïwan, Australie, Thaïlande, Singapour, Québec…) qui ont commencé à indemniser les victimes. L’Australie évoquait en début d’année plus de 80 000 demandes d’indemnisation, celles-ci atteignant jusqu’à 600 000 $, elle parle aujourd’hui d’une facture possible de 50 millions de dollars. Plusieurs pays (Vietnam, TaïwanBrésil) commencent à renoncer à vacciner une partie de leurs concitoyens, la Pologne refuse d’injecter de nouvelles doses et réclame la suspension de l’approvisionnement en vaccin imposé par l’Union européenne.

Seuls les outrances verbales d’Emmanuel Macron, l’omerta du corps médical et le déni du ministre de la Santé, entretenu notamment par le fait que les contrats ont transféré vers l’État la responsabilité des laboratoires en cas de dommages corporels, rendent cette réalité inaudible pour une majorité de Français. Le contexte sanitaire et l’efficacité des vaccins, réaffirmée par Emmanuel Macron il y a encore quelques jours, justifient-ils une telle mise en danger de la population ?

Pour rappel, les gouvernements ont été autorisés à administrer les vaccins contre le COVID sans attendre la fin des essais cliniques (08 février 2024 pour le vaccin Pfizersur la base d’une double promesse : endiguer de futures vagues pandémiques et pallier l’hémorragie de décès chez les personnes âgées. Ils ne seront ou non homologués définitivement que lorsque les laboratoires auront fourni les données de sécurité des essais cliniques.

Un an après, force est de constater que le miracle vaccinal n’a pas eu lieu. Les documents divulgués par le laboratoire Pfizer sur ordre de la justice autorisent au contraire à parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée.

Affirmer que les vaccins sont efficaces est un mensonge d’État

On savait dès décembre 2020 que les vaccins anti-COVID ne peuvent empêcher ni l’infection ni la transmission (Bleier et al.), ces paramètres n’ayant d’ailleurs jamais été évalués lors des essais cliniques (Desbiolles). On sait aujourd’hui qu’ils n’ont eu aucun impact sur l’évolution de l’épidémie :

  • Les CDC, l’OMS et des dizaines d’études l’ont démontré : le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale (Subramanian et al.), les pays vaccinés sont au contraire ceux où le virus circule le plus.
  • On parle désormais d’une efficacité vaccinale négative face au variant Omicron induite par les anticorps facilitants, dont le risque est suspecté depuis le début par les laboratoires (– 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna)La Belgique le confirme aujourd’hui : les communes les plus vaccinées sont celles qui enregistrent le plus de cas.
  • L’étude israélienne concernant la 4e dose montre une disparition encore plus rapide de l’efficacité que pour les deux précédentes doses, à la fois contre l’infection (négative à partir de la 4e semaine) et les formes graves (diminution à partir de la 6e semaine), associée à une flambée des cas dans les 7 premiers jours.

L’efficacité du vaccin est une illusion d’optique hormis tout au plus sur l’infime catégorie de la population pour laquelle il est indiqué

On sait aujourd’hui que les injections ne protègent ni des formes graves ni des décès, cette illusion d’efficacité (hormis tout au plus pour une infime partie de la population) repose sur l’évolution naturelle de l’épidémie et l’effet moisson de la première vague :

  • Ces risques n’ont jamais été évalués lors des essais cliniques, qui se sont « exclusivement focalisés sur le nombre d’infections symptomatiques confirmées par test PCR positif » (Desbiolles). Les personnes âgées, fragiles ou immunodéprimées n’ont d’ailleurs pas été incluses au même titre que les femmes enceintes. Leur vaccination au nom de la protection contre les formes graves est littéralement criminelle.
  • Gibraltar, pays le plus vacciné au monde (98 % de la population triplement injectée) affiche aujourd’hui un excès de mortalité de 157,23 % (OurWorldInData). A contrario, le Nigeria, pays l’un des moins vaccinés au monde (10 %), enregistre moins de 15 morts par million d’habitants versus 2 140 pour la France (144 274 mors au total), soit 142 fois moins de morts que la France malgré un taux de vaccination 8 fois moins élevé. Madagascar, avec une couverture vaccinale à 4 %, totalise moins de 50 morts par million d’habitants.
    Ont-ils besoin des vaccins ou avons-nous plutôt besoin qu’ils expliquent à Emmanuel Macron que les traitements précoces fonctionnent ? Il le sait parfaitement, c’est un secret de polichinelle : les hommes politiques vont se soigner à l’IHU de Marseille. Brigitte Macron l’a d’ailleurs avoué discrètement lorsqu’elle a contracté le COVID : elle a été soignée. Avec quoi ?
  • On rappellera enfin que l’agence écossaise de santé, entre autres (ce phénomène est aujourd’hui parfaitement documenté), a clairement démontré le rôle des anticorps facilitants (suspecté dans tous les documents d’évaluation des données du vaccin Pfizer) dans l’aggravation de la maladie (VAED), puisque dans ses données de septembre 2021, elle relève que 80 % des décès COVID-19 survenus en août 2021 sont survenus chez des personnes vaccinées.

[...]

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- Source : Le Point Critique

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